[RP] Ambassade de Savoie

- Bonjour à vous, Précye. Serait-ce vous qui remplacez Edhjerda-Constantine ?

Une voix qu'elle n'a point entendue depuis fort longtemps. Une esquisse de sourire en le voyant.

Bonjour Sembre, en effet je prends la succession de Dame Edhjerda. Je pense qu'en ces lieux, personne ne se formalisera si nous laissons de côté le protocole pour opter pour le tutoiement.

Et sans détour, on rentre dans le vif du sujet. Precye prend le vélin tendu.

Je vais le porter instamment à qui de droit. Je peux d'ores et déjà vous signifier que nous sommes dans la même lignée puisque la Savoie souhaite ardemment une paix durable avec l'assurance de ne point être victime d'attaque dans quelques mois. De plus, si cela peut être gage de faire avancer la concorde entre nous, j'ai ici une déclaration du duc régnant, désapprouvant totalement la traversée du territoire savoyard par les armées des Croisées. Une fois la paix revenue, je gage que la Savoie et Genève pourront travailler équitablement sur des accords et des échanges. J'oeuvre en ce sens et je pense qu'il en est de même pour toi.
Spoiler:

- Bon, ... heu .. il est très tard, je vous laisse et je rentre à l'auberge. Bonne soirée à vous

Bonne soirée Sembre, je vais en faire autant.

Et une Precye qui revient, prévenue par Nicbur lui même. Alors qu'elle fait tout ce qui est en son pouvoir pour avancer voila que le bruno va attaquer cette nuit l'armée entre Genève et Annecy.

Bien. Faudrait voir à calmer les ardeurs de votre chef d'armée. Il n'aime pas les diplomates c'est un fait mais s'il aime Genève il pourrait tout du moins agir pour son bien et non le contraire. Quoi qu'il en soit, l'armée qu'il compte attaquer cette nuit entre Genève et Annecy est vide, elle a déjà été attaquée la nuit dernière et les six personnes restantes qui y étaient sont mortes.

Sembre suivit Précye de retour de la Chancellerie du MAO et l'entendit protester, comme en riant sous cape, du coup de grâce porté aux quarteron de soldats en retraite ... tout ce qui restait des 4 armées croisés.

Bonsoir Précye. On va dire que c'est regrettable mais ces soldats perdus constituaient un péril pour tous les voyageurs. D'ailleurs, il y a deux jours 4 jeunes gens faiblement armés de bâtons et d'un panier contenant une galette et un pot de beurre pour la grand mère de Caméliane ont été salement agressés. Faut savoir arracher la mauvaise herbe.

Toutefois, c'est pas à Genève qu'il faut aller car notre armée était sagement dans l'enceinte de la cité. L'avoyer de Fribourg peut être t'en dira plus ou Berne. Mais on a vu à Aix que ça réglait d'un coup la question de la trêve. Plus d'armée, plus de combattants et la Bourgogne va y perdre cher en prestige.

On pourrait fêter ça ?

Je comprends tout à fait Sembre mais la question que je pose est pourquoi alors que ces belligérants ont été exterminés la nuit dernière, Bruno et son armée partent cette nuit afin de les exterminer alors qu'ils sont morts et qu'il ne va trouver personne mais par contre il va entrer en territoire savoyard.
Je veux bien croire, qu'ayant déjà prévenu mon duc les conséquences ne seront point de matière à cesser toute relation entre nous bien évidemment que non mais je tiens tout de même à souligner qu'à agir ainsi, ce chef d'armée ne sert pas les intérêts de Genève ni le processus de paix actuellement en cours. Je vais de toute manière me rendre en avoyerie de Fribourg rendre compte de ceci.
Plus de trêve certes mais si ça ne te dérange pas nous allons attendre que tout soit signé et scellé et ensuite je te promets que je fêterais ça avec grand plaisir.

Leo... se doutait bien que si l'ambassdrice de savoie voulait parler d'urgence à un genevois c'était pour parler de l'action de l'armée de Fribourg, et là Fribourg c'était son rayon.

Si je peux me permettre d'intervenir, Bruno n'est pas chef de l'armée genevoise. En fait il n'est pas chef du tout. C'est un fribourgeois de fraîche date qui a tenu à participer à la guerre au sein de l'armée de Fribourg.

Par le fait qu'il ait intégré l'armée au sein du groupe de notre lieutenant génréral et le fait que la lance de commandement ait été décimée au combat il s'est retrouvé à brandir l'oriflamme et je sais que notre avoyer et notre lieutenant général supportent de moins en moins ses initiativres.
Ils ont même demandé aux soldats de quitter l'armée.
Si vous le souhaitez, demandez confirmation à l'avoyerie de Fribourg, vous pouvez aussi directement contacter notre lieutenant général, Capt.blair.

Quand à l'armée croisée réfugiée chez vous elle n'était pas entièrement détruite.
Ils sont encore au moins trois dedans.

Une attention particulière à ce que vient de lui dire Leo. Ainsi donc, il vient de lui confirmer ce qu'ils supputaient avec son Duc, le fait que ce soldat fribourgeois ait agit de manière impulsive et sans aucun ordre donné. Il agit bel et bien de son seul fait.

Je vous remercie pour ces précisions Léo et de venir nous rassurer en nous informant que ses agissements ne sont vraisemblablement pas toléré par votre avoyer et votre capitaine général.

Si je puis me permettre d'intervenir, Lionel n'est pas genevois. En fait, il est consul fribourgeois des genevois de passage à Fribourg, nommé par nous et de ce fait, membre gracieux de notre conseil genevois.

Pour notre avoyer, voyez avec madame Notwen. Pour le capitaine général Baphomet, voyez avcec la chancelière Gaia.

Preciosaa a écrit:: Je comprends tout à fait Sembre mais la question que je pose est pourquoi alors que ces belligérants ont été exterminés la nuit dernière, Bruno et son armée partent cette nuit afin de les exterminer alors qu'ils sont morts et qu'il ne va trouver personne mais par contre il va entrer en territoire savoyard..

Je crois que c'est un problème de logique Précye. Vous devriez savoir que la logique militaire est à la logique ce que la musique militaire est à la musique.

Même si c'est à Fribourg (et à Berne si Gaïa en a été préalablement avisée sinon il ne s'agit même pas d'une opération helvète) de s'expliquer pour Bruno et de s'expliquer avec Bruno le cas échéant, cet état de fait plaide pour le manque de maîtrise et d'expérience du capitaine concernée. La seule chose que je puis dire c'est que Genève n'est en rien concernée.

Merci Izaac et Sembre, pour ces précisions, il va de soit que la Savoie ne considère Genève comme nullement responsable de ce qui s'est produit et comme prévu, le conseil savoyard demande donc une lettre d'excuse pour la violation du territoire savoyard et je suis allée porter le dossier en avoyerie de Fribourg où je discute avec Dame Ellisal.

Son neveu était enfin officiellement nommé au poste de Chancelier de Savoie.

Citation :: Citation:

Au bon peuple de Savoie,

Bonjour!

Nous annonçons à ce jour la nomination de Messire Fenthick Galanodel au poste de chancelier de Savoie, il devient ainsi le responsable de notre diplomatie. Nous lui souhaitons une réussite dans ses nouvelles fonctions.

Tous unis pour la Savoie!

Laclemanus de Chenôt,
Duc de Savoie.

Spoiler:

Suite à l'alinéa de ce texte et les incidents survenus en Savoie il y a deux jours, nous demandons à ce que Petitfrère et ses deux accolytes soient sévèrement réprimandés par vos soins ou alors emmenés sur nos terres afin d'être mis en procès.
Etant présente sur Genève j'ai pu noter avec satisfaction que les personnes incriminées ne se trouvaient plus sur le sol savoyard depuis hier et je l'ai notifié dans le rapport fait à mon Duc.
Je gage qu'un simple rappel à l'ordre de votre part à leur égard serait plus judicieux qu'un lourd procès, de manière que bien que certains d'entre eux se targuent de faire ce qu'ils ont envie, ils puissent comprendre qu'en agissant comme ils l'ont fait c'est toute la trêve qui vient d'être signée qu'ils remettent en cause, et ils pourraient éventuellement penser aussi aux genevois et à leur désir de paix et de reprendre leur vie quotidienne.
Je ne doute pas que vous saurez leur faire entendre raison. Je souhaite également savoir où nous en sommes sur la lettre d'excuse que nous vous avons demandé de bien vouloir adresser au LD et qui ne concerne bien entendu que la violation de leur terre souveraine, la Savoie considérant que pour le reste ce n'est qu'action légitime d'acte de guerre.

Pour les incidents en Savoie dont je ne connais par la nature exacte, recommandation avait été faite par Izaac d'aller jouer ailleurs mais cela n'a peut être pas été entendu par tous. Pourtant au-delà de la Savoie, il y a bien des endroits où s'amuser dans un sens conforme à l'intérêt de tous.

Sur les relations avec le Lyonnais, nous remercions la Savoie de son intervention et de son analyse de la situation comme un acte de guerre, en espérant qu'elle sera partagée au confluent de Rhône et Saône.

Pour Genève, une proposition de texte en réponse est actuellement en débat. Je ne peux donc ici en dévoiler la teneur exacte puisqu'elle peut être amenée à bouger ou à changer du tout au tout. Néanmoins, je ne trahis aucun secret et ne crains pas d'être démenti en précisant que Genève soutient le Capitaine Cendres qui a exécuté, en soldat, les ordres qui lui ont été donnés, et ne peut donc encourir la moindre poursuite personnelle.

Un savoyard arriva dans la nuit. Monté sur un cheval, emmitouflé dans une cape de voyage, il était méconnaissable de tous, et surtout, invisible.
Ce ne fut que lorsqu'il fut sous le nez du garde de l'Hotel de ville de Genève qu'il releva sa capuche, et se présenta.

Garde, allez dire à Izaac, Mélian, Caméliane, Amsterdam ou à celui qui connaitre le nom de Fenthick Galanodel, qu'il l'attend aux portes.
Vous serez heureux d'être rapide.

Il sera son épée, anxieux. Non, le Galanodel ne se déplaçait jamais pour badiner, ce qui était dommage d'ailleurs. Et ce soir encore, la lune retiendrait son souffle, tandis que lui, anxieux, expirait son anxiété par le nez, et sentait son calme pragmatique remonter en lui après la longue chevauchée.

Alex avait à son tour sceller son cheval pour partir avec son ami et CAC Fenthick à la rencontre des autorités génevoises. Le duc avait refusé toutes gardes qu'il jugait futiles et partit telle une ombre dans la nuit.

Il entendit à quelques mètre son ami Fenthick, hurlant pour se présenter aux gardes et décida d'avancer vers sa compagnie. Dés qu'il fut à sa hauteur, il le salua de la tête, ne partageant aucun mot.

Une chose était certaine... Les plus belles miches, c'est Elvy qui les avait... Toujours fortement occupé, John, Avoyer de Genève, était à son bureau. Il s'affairait à sa tâche avec la plus grande attention. Ses mains survollaient délicatement une des miches d'Elvy et déjà il salivait à l'idée de ses dents venant mordre là dedans... Un peu de coulis était tout près... Le lait serait parfait! En effet, c'était un art que de se faire la tartine parfaite!

Un garde se présenta à son bureau. Il y a avait visiteurs à l'Avoirie! Bonne nouvelle ou peut-être pas... Les miches devraient attendre après-tout. Mais bon, des miches fermes et tendres à la fois, c'est mieux à deux. Ça pouvait attendre... Ce soir... Enfin bref! Un dénommé Fenthick était aux portes et il avait demandé n'importe qui au pire qui connaissait son nom. Bah John le connaissait ce nom, pas personnellement mais là n'était certes pas la question! C'est que l'Avoyer se planifiant un brin de commerce avait apprit qu'il était le CAC Savoyard, du coup, John répondait à la demande de l'homme...

Il se leva et se rendit aux portes pour se présenter à eux...

Mes salutations. Bienvenu à Genève, je suis John Edward, l'Avoyer... Est-ce que je peux vous être d'une quelconque utilité?

Le Duc remercia de la tête les soldats qui les laissèrent pénétrer dans l'enceinte de la ville. Un homme vint à leur rencontre se présenta. Dés qu'il eut fini, il le salue respectueusement et se présenta à l'avoyer.

Bonsoir et merci de vos voeux de bienvenu. Je suis Alex Van Wever, Duc de Savoie. Je souhaiterai m'entretenir avec de qui de droit concernant l'agissement de dame Amsterdam au sein de notre église à Annecy. Le sieur Fenthick m'accompagne.

Il se tut et attendit la réponse de l'avoyer.

John se gratta la barbe... C'était tout de même curieux se déplacer ainsi pour un "agissement dans une église"... Afin bref il reprit la parole hôchant la tête.

Et bien enchanté pareillement. Il est bien de voir comment Déos fait bien le destin... Je voulais justement m'entretenir avec vous deux mais sur un tout autre ordre d'idée qui je crois, est bien plus important pour nos deux États qu'un quelconque geste en une église... Tout de même, si vous avez prit la peine de faire tout ce chemin je ne sous-estimerai point la gravité de la situation et étant l'Avoyer de Genève comme déjà mentionné, et bien je suis alors votre interlocuteur pour l'affaire ou comme vous dites, le qui de droit.

Il les invita à prendre place dans l'ambassade de Savoie pour discuter...

Donc si vous me disiez de quoi il s'agit d'abord pour que je puisse ensuite enchaîner avec mon propre propos...

La tartine attendrait du coup... Une discussion à tenir qui tombait bien.

Invité

Dame Braie n'avait plus de représentant pour la République de Genève, ainsi pour qu'aucuns liens ne soit faussés entre les deux elle décida de se rendre au bureau savoyard de Genève. Précédé par son valet elle se présenta au bureau d'entrée puis on lui montra l'ambassade de Savoie. Elle s'aaprocha et entendit du bruit elle frappa alors à la porte

Il eut un petit sourire. Sans nul doute que la discussion voulue par l'Avoyer de Genève porterait en son sein les mots "fer" et "poissons". Mais il pouvait se tromper.
Aussi, après lui avoir sourit, il laissa passer son Duc dans l'Avoyerie, et, non sans sourire à nouveau, pénétra en ces murs, dont il avait plutôt entendu parler durant la dernière année écoulée.
L'Avoyer passait pour un homme tout à fait correct, et sans nul doute que la discussion saurait être constructive. Il prit le pas, après que tous se furent assis, de prendre la parole.

Je pense que des remerciements pour votre accueil s'imposent, d'ors et déjà. Aussi, soyez remercié, Maistre Avoyer, de celui-ci, qui se trouve plaisant.
Concernant ce qui nous amène, il s'agit d'une affaire d'église, en effet, et pour sûr que cela peut paraître bénin, et soyez assuré que si nous pouvions penser à autre chose que cela en cet instant, il nous ferait grand plaisir que de nous en empresser.
Simplement, ayant conscience que, le dernier soucis d'un réformé genevois dans une église savoyarde fut la goutte qui conduisit la Confédération Helvétique et l'Aristotélité en une Croisade, nous préférons prendre nos précautions.

Il eut un sourire, et inclina la tête.

D'autant qu'une visite ne coûte rien, et évite bien des malentendus.
Je ne vous apprendrai rien, en rappelant, Maistre Avoyer, que la Savoie est Aristotélicienne Romaine, et Concordataire, et qu'en conséquence, nous sommes liés à l'Église de Rome. Ce qui implique que nous fassions respecter un certain nombre de chose, dont la principale, la première et la plus inconditionnelle de toute est sans doute l'impossibilité d'un prosélytisme religieux public.

Or, Amsterdam, que je connais de surcroît, ancienne annecienne, et maintenant genevoise et réformée convaincue, accompagné du sieur Zarathoustra, membre de votre consistoire des bourgeois, se sont livrés à une sorte de cérémonie réformée, en l'Église d'Annecy.
Et il nous est difficile de penser que ces deux personnes, surtout celles-ci d'ailleurs, n'aient été au courant des lois savoyardes.

En conséquence, nous profitons de cette visite, sommes toutes courtoise, et qui, semble t il nous offre des possibilités de discussions annexes prolifiques pour tous, pour vous rappeler que la sanction immédiate à tout acte de prosélytisme public se trouve être la reconduite à la frontière.
La Savoie n'est pas fermée aux réformés genevois, mais tout démonstration publique de cette fois sera ainsi sanctionnée. Cela dit, non comme une menace, mais bien pour que vous le rappeliez à vos gens, et que vous ne vous en offusquiez pas, ou qu'un nouveau peintre illuminé ne s'amuse à déblatérer de fausses rumeurs sur un soi-disant acharnement savoyard.
Des lois se font respecter, voilà tout.

Il eut un sourire, et se tut.

John se gratta la barbe...

En gros, ils ont prié dans votre église et parce qu'ils sont eux et non vous ça pose un problème? Quel Dieu ont-ils prié pour que je comprenne la situation? Et quel "rythe" vous nous parlez au juste? Et peut-on ouvrir la porte que cesse le tapage?!

Il se leva et alla accueillir la demoiselle...

Demoiselle, bienvenue, prenez place... Revenons-en à la cérémonie réformée... Ils ont toujours bien pas saigné un mûlet? Ils ont pas embrasser une poule? Pas claqué de cochon? Sûrement pas décorer un boeuf ça y'a que moi qui veut faire ça et bien sûr ça l'a aucun espèce de rapport avec la réforme... Il n'empêche pas que je sois curieux à savoir ce qu'est une "cérémonie réformée" selon-vous... Question que je connaisse bien les actions qui furent posées. Aussi, je vous demanderais gentiment pendant que nous sommes ici gentiment et en toute bonne foi à discuter, que ces Genèvois soient traités avec le meilleur des égards. Comme vous l'avez dit, un est membre du Consistoire Bourgeois et l'autre une amie personnelle.

Cela dit, ne voyez pas cela comme une menace. Cela ne l'est pas malgré les rumeurs qui disent que le Genèvois moyen est une brute mûnie d'un gourdin... Pourtant l'homme Genèvois, il est homme Helvête! Vous ai-je déjà parler de l'Homme Helvête?

Il prit un vase contenant de l'eau et non des fleurs et en versa des verres...

Prenez donc... L'eau est source de vie agréable!

Invité

Dame Braie entra et regarda l'homme en question, elle lui sourit mais il l'appela demoiselle, elle fit révérence au duc et à Fenthick puis s'installa laissant les hommes discuter.

Invité

Personne ne répondait dame Braie se leva donc et entreprit de se présenter:

Bonsoir je me présente dame Braie de Féternes, chancelière de Savoie.

John eu un sourire sincère pour la Dame et se leva pour lui serrer la main.

Bienvenu à Genève alors Dame Braie. Je suis ravi de votre présence ici et j'espère que nos rapports seront des plus cordiaux. Votre homologue se nomme Sembreendevant... Un homme charmant aux talents diverses. Si votre Duc, ne souhaite pas élaborer sur la précédente question, je me tournerai vers votre CAC pour vous signifiez que Genève est prêt à vendre du poisson contre du fer. Notre prix est 17,50, les quantités, on s'arrangera. J'aimerais connaître votre prix de vente de fer question que nous rapprochions nos peuples par cette choses si bellement doré que le commerce!

Concernant les autres propos diplomatique, notre Chancelier saura vous accompagner.

John eu un autre sourire...

Invité

dame Braie serra la main.

Bien je lui dirais donc pour la demande, je serais ravie de rencontrer mon homologue afin de rendre les relations Savoie/ Genève des plus prolifiques.

Invité

Permettez mais où puis je rencontrer mon homologue?

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