Vous souhaitez faire partie du Consistoire des Bourgeois de la République

Mouais... je viens de prêter serment mais je note que le vieux a déjà ses clés alors qu'il ne l'a pas fait. Il y a quelque chose de pourri dans le royaume de Dieu. Déjà qu'on laisse traîner un évêque dans les couloirs...

Je sais pas si sa chaise roulante passe toutes les portes, il faut du temps pour se mettre en biais, faire tourner les roues... patience mon ami.

Citation :

Urgell, sous le soleil et dans l'attente ...

Caméliane,

Si tu penses que malgré mon éloignement je peux encore être utile, je continuerai à servir Genève en faisant le maximum, sinon, je profiterai du soleil catalan en faisant la sieste.

Bigmamma di Foscari Widmann d'Ibelin

Citation :

Bm,

Ne doute jamais que Genève puisse se passer de toi, de tes service et de ton dévouement. Ta place est ici, au Consistoire, même de loin on peut veiller au grain, les pigeons voyagent vite de nos jours grâce à une bonne alimentation à base de céréales helvètes.

Porte-toi bien, donne-nous de tes nouvelles ainsi que d'Adri,
Bises à tous deux,
Camy

PS: je remets un gros paquet d'orge et de maïs au messager, veille à son arrivée qu'il ne l'ai pas ouvert pour se faire un gruau.

Citation :

Expédié de Catalogne

Citation :

Je puis seulement participer au Consistoire les semaines qui viennent et seulement en conseiller sans charge. Temps de retraite ou peu s’en faut, en terre catalane, je demeurerai tourné vers les batailles et rudes joutes de là-bas et suivrai de là-bas les affaires genevoises.

Même si en ces temps estivaux, les chancelleries sont désertes, il y a un travail minimum que je n’aurai le loisir, ni l’envie de faire par temps chaud. La Catalogne a aussi bien des charmes à goûter, la Méditerranée et les nuits barcelonaises notamment.

En diplomatie, les affaires sont en ordre pour que Genève fasse entendre sa voix, tonnante comme son cor martial ou douce et nuancée comme son hexenscheit. Cela passe par la construction d’une alliance entourant la France et s’appuyant sur les Etats, de petite taille certes, Genève étant le plus petit, rejetant la domination des puissances par tous les moyens et pas seulement la parlotte. Sur les Etats, mais aussi, surtout, sur les partis indépendantistes qui partout luttent contre des unionistes. Le travail sera long mais il est entrepris et pas seulement en Catalogne.

Il est loisible l’avoyère et au conseil de le compromettre de plusieurs manières :

- La première est que l’usage du bon plaisir entraine à Genève la dispersion de nos faibles moyens et des actions détournant de ce but pour une gloriole éphémère quand gloriole il y a. L’équipée de bras cassés à Vesoul n’apporte rien à Genève pas plus que de vouloir aller en Catalogne en armée en passant par Lyon. Deux armées genevoises là bas et l’affaire serait déjà pliée, Genève dotée possiblement de naves et d’écus sonnants et trébuchants. Les coups d’épée n’ont d’intérêt que si ce ne sont pas des coups d’épée dans l’eau.

- La seconde c’est d’oublier que l’Empire et Royaume de France sont des ennemis de Genève telle qu’elle est et veut être, alliés de l’Eglise surtout pour le dernier nommé. La pire erreur serait de parler avec eux et de négocier quelque chose qui tournerait à notre détriment. Tenir éloigné Vonafred, Namay, Fenthick et autre engeance de nos tables de négociations est la condition de notre progrès. Il faudra en effet porter des coups à l’Empire.

- La troisième enfin c’est de voir petit. Ce serait un tort de raisonner comme cela pouvait se faire en sortant de la première croisade. Genève a une place à prendre dans le monde, avec les règles qui prévalent en les faisant tourner à notre profit, c’est à dire en les détournant quelque peu. Si nous traitons en Catalogne, en Bretagne demain ailleurs et plus loin, les brigandage pour 10 écus sur les chemins du voisin, les prises de villages voisins sans aucun apport symbolique ni financier favorisant la puissance de Genève, c’est hors de saison et ça renvoie à l’histoire ancienne, à la mentalité de ceux d’avant voulant faire passer quelques coups de gourdin échangés avec les Comtois pour une épopée plus grande que la guerre de Troie.

Une seule pensée doit servir de guide à notre action : Rappelez-vous que jusqu'à nouvel ordre nous sommes trop faibles pour ne pas être intransigeants.*

*

Spoiler:

Epluche quelques missives... fait de gros yeux...

Citation :

Cher Isk,

C'est avec horreur que je constate avoir laissé en attente ton courrier demandant à faire parti du Consistoire, je t'en demande pardon...

C'est un plaisir que de t'avoir parmi nous, aussi ta demande est acceptée d'emblée. Cependant, j'aimerai que nous discutions plus en avant de la direction diplomatique que prendra Genève, je t'envoie donc un petit mot sous peu,

En attendant, porte-toi bien,
Bises,
Camy

Léo, Luc et Anton, hâte de travailler avec vous aussi.

Citation :

Camy,

Pour ce qui concerne la diplomatie, je rejoins Sembre dans ses lignes générales, mais pas nécessairement dans la forme ni dans l'a priori.

Je ne veux pas voir de complot là où quelque chose peut être expliqué par l'incompétence ou la bêtise, ni prendre comme a priori l'action d'une autre contrée comme étant le fruit d'un complot contre Genève.

Dans un même ordre d'idée, je préférerais une approche plus subtile des relations avec les contrées tierces, qui s'éloigne de la logique "main ouverte, poing fermé", qui s'apparente plus à une diplomatie des ultimatums. Je sais combien je me démarque de la tradition diplomatique genevoise en cela.

Nous pouvons être fermes sur nos positions, mais ouverts dans la discussion. Mais en étant trop fermes dans la discussion, trop imbus de nous-mêmes voire franchement grossiers, nous nous fermons des opportunités ou des gens.


Pour en revenir à l'essentiel, oui, je proposerais de conclure des alliances fortes avec la Catalogne, le Ponant, l'alliance Celtique et, j'oserai le dire, la Provence.

Pour la Catalogne, je suis convaincu du fait que la solution ne viendra pas de la victoire militaire, mais d'un accord politique. La Victoire militaire est peut-être à portée de main. Ou pas. Mais nous sommes nulle part au plan de l'arrangement politique. Sans un tel arrangement, nous ne faisons qu'y déplacer du sable, avec notre sang, et le leur. Leur ennemi tient bon depuis un an et demi. Ils ne vont pas s'en aller dégoûtés par une défaite militaire. Ceux qui sont morts se relèveront. Et nous avons besoin d'un allié catalan fort.

Je proposerais de maintenir un statut de paix avec l'Empire et la France, et de le renforcer. Ce sera une paix précaire, je ne l'ignore pas. Mais nos relations avec certaines contrées peuvent devenir ou rester bonnes, au delà des tensions avec les géants qui les gouvernent.


L'action militaire doit être envisagée pour atteindre ces objectifs quand elle est nécessaire, soit pour soutenir un allié autrement que par des mots, comme en Catalogne, soit pour rencontrer les objectifs essentiels de Genève. Une action de voleurs de poules contre une ville qui ne nous a jamais rien fait, juste pour rouler des mécaniques, constitue non seulement un gaspillage de nos ressources, mais nous déforce un peu plus au plan diplomatique. Je sais, ce n'est pas Genève qui a décidé cela. Mais quand la fine fleur du groupe qui mène l'assaut est constituée de notables genevois, si Genève ne l'a pas commandité officiellement, celui qui a été agressé peut légitimement se demander qui est derrière cette agression sinon Genève, comme se fait-il qu'elle l'ignore et comment se fait-il qu'elle la permette si elle ne l'ignore pas, ou, en somme, si nous sommes bêtes, incompétents ou comploteurs.


Pour ce qui concerne les relations avec l'Eglise, nous devons défendre la tolérance, car telle est notre loi. Genève abrite et protège la Réforme. Elle ne professe pas la Réforme. Lorsque nous parlons au nom de Genève, il me semble capital de distinguer cela, et d'agir en vue de faire respecter le Simultaneum et l'indépendance de la Cité.

L'Eglise a des comptes à nous rendre. Mais les Aristotéliciens ont autant de droits que les Réformés en notre cité, notamment celui d'avoir un représentant.

Pour ce qui concerne les comptes à nous rendre de l'Eglise, je proposerais de réclamer à l'Eglise réparation pour la croisade, et de lui proposer la paix, de manière pérenne, dans le cadre du Simultaneum. Cela me semble une bonne base de négociation.


Voilà à ce stade.

Cordialement,

Iskander

Citation :

Sembre,

Je comptais t'envoyer une missive, avec quelques questions, mais sans le savoir tu les as devancé en donnant le fond de ta pensée. Je t'ai lu et relu et te remercie de nous donner ton avis. Qui est TON avis personnel. Peut-être n'est-ce pas la vision que nous avons tous de Genève.

L'épopée de Vesoul ne fut pas particulièrement faite au nom de Genève, même s'il peut résulter des conséquences négatives. Mais qui d'entre nous pourrait condamner les campagnes et amusements fait à titre personnel pour ne pas laisser ses jambes s'engourdir et l'épée rouiller dans son fourreau ? Personne n'en a le droit.

Les genevois sont intrépides, téméraires, grandes gueules, provocateurs, et il n'est de l'autorité de quiconque que de les parquer dans un enclos à bovins ou autres bêtes cornues. Une campagne militaire n'est donc honorable que parce qu'elle a été décidée et qu'un pacte la justifie ? La Catalogne est légitime pour cette raison mais une attaque sur un village par quelques genevois est donc condamnable par l'ensemble du Consistoire ? Nenni à mes yeux. N'importe quelle campagne est importante, et parce qu'elle a été réfléchit, discutée, organisée et qu'elle a un but pour x raisons valables aux yeux de ceux qui la mènent, est tout autant honorable qu'une campagne pour aider la Catalogne.

En mon fort intérieur, j'ai rouspété, un peu, lorsque j'ai appris ce qu'il s'est passé à Vesoul. Puis je me suis rendue à la raison. Et qui serais-je pour étouffer les libertés d'actions et de décisions d'autres genevois ? Juste une genevoise qui tient elle aussi aux libertés tant chéries par nous tous et que nous vantons tant par delà le monde connu. Bien au contraire, il faut laisser l'épanouissement se faire. Ils ont fauté ? Et bien ce sera à la justice comtoise d'oeuvrer pour les mettre au coin avec un bonnet de mulet sur le chef. Et nous savons tous que cela ne les arrêtera pas. Et c'est tant mieux ! Un genevois étouffé est un genevois mort.

Genève n'est pas faible. Genève c'est une pensée, un rêve, un idéalisme, et c'est nous tous qui la faisons vivre, chacun à sa mesure. Chaque guerre menée contre elle la renforce jour après jour. Genève attire du monde, les gens veulent la voir, veulent sentir l'odeur fleurie qui se dégage d'un état souverain où l'on peut vivre en toute liberté. Elle se fera attaquer à nouveau un jour ? Parfait ! Nous la défendrons et la reprendrons des mains des étouffeurs de libertés.

Les chandelles de mon bougeoir commencent à vaciller aussi je termine rapidement cette lettre. J'ai bien pris note que tu renonces au poste de Chancelier tout en désirant rester au Consistoire et te remercie pour tout le travail accompli jusqu'ici.

Puisse la farniente et la méditation reposer ton corps et ton esprit.

Caméliane.

Avec plaisir Lionel.

Lui sourit puis rejoint la caserne...

Citation :

Camy,

Ton pigeon s'est égaré. Je l'ai transmis à Sembre.

Bon ... j'ai un peu lu.

J'aimerais qu'on puisse débattre de la politique internationale de Genève.

Ce que tu proposes est une forme d'isolationnisme absolu, et le fait que Genève devienne et s'étende comme havre absolu, envers et contre le reste du monde.

Si cela devient le cas, nous n'aurons plus vraiment besoin de diplomatie. Juste une estrade pour rire des diplomates que les contrées étrangères nous envoient et leur lancer des légumes et des fruits plus frais.

Il est vrai que, ces derniers temps, Genève a avancé dans une autre optique diplomatique, que Sembre a résumée. Ce que tu proposes est un changement de cap, je vais dire "virement de bord lof pour lof".

Donc, voilà, j'aimerais que le débat soit ouvert et que l'on puisse en parler.

Enfin, moi, écrire de loin, vous, en parler au Conseil, à Genève.

A tout bientôt.

Cordialement,

Iskander

Citation :

Ho que non Isk, il est hors de question que l'on jette des fruits pourris aux diplomates qui viendront nous rendre visite. Politesse, respect, sans obséquiosité, sans fierté mal placée, avec amabilité et écoute, tout en restant ferme sur notre position. Combien de fois ai-je eu les petits cheveux sur la nuque - tu sais ceux qui frisouillent juste à la lisière du cuir chevelu - qui se sont hérissés en entendant l'accueil fait à certains diplomates. Main de fer dans un gant de velours, voilà comment je vois la diplomatie, les relations - je ne parle pas obligatoirement de traités - avec les autres pays doivent être fructueuses et représenter un avantage pour Genève avant tout.

Nous en reparlerons de toute manière, dans un petit moment et au bon endroit, tes missives seront toujours les bienvenues.

Je t'embrasse,
Camy

Et une mouette passe par là, porteuse de missive à l'avoyère

Citation :

Camélia,

le bonjour !

Comme tu le sais, intégrer le consistoire est une chose qui me tiendrait à coeur, comme tu le sais, je suis actuellement en voyage, et comme tu le sais, je n'ai toujours pas pu emménager. Néanmoins, tu sais également qu'emménager à Genève est une chose que je souhaite ardemment, et ce pour plusieurs raisons maintenant.

Toujours est-il, comme je te l'ai déjà précisé, ma gouaille, mon expérience, mes silences parfois, j'ai bien l'intention de les mettre au service de la ville, car j'ai un défaut (une qualité ?) : lorsqu'une ville me tient à coeur, il me faut m'investir pour elle.

Tu connais donc toutes les problèmatiques, et j'aimerais savoir s'il m'est donc possible d'intégrer ce consistoire, si oui, sous quelle conditions.

En attente de ta réponse,

Muse.

PS : La mouette est rieuse, et n'arrête pas de faire "amoua amoua amoua", désolée du vacarme potentiel occasionné, mais ça vous donnera une sensation de voyage exotique ... oui fin exotique ... bon bref.

Installe le drôle de volatile sur le dossier d'un siège pour répondre tranquillement...

Citation :

Chère Muse,

Alors, vu que tu as - presque - tenue promesse pour la question que tu sais, je vais tenir la mienne et te tiens au courant sous peu, disons quarante huit heures tout au plus, il me faut consulter le Consistoire.

Mais n'oublie pas... il reste du travail sur... la question... rigole pas, c'est un vrai chemin de croix...

Ta mouette est sage, quelques sardines du Léman lui ont coupé la chique. Comment ça il n'y a pas de sardines dans le Léman ? Mais si, elles remontent le Rhône et viennent frayer par chez nous. Je t'emmènerai à la pêche tu verras.

A tout bientôt, prend soin de toi même si je sais que tu ne le feras pas,
Amitiés,
Camy

Garwin, c'est normal, vous n'avez pas encore prêté serment, ni John d'ailleurs, un oubli peut-être.

Citation :

31 Juillet, an de grasce MCDLX

Musartine,

Ce jour, le Consistoire s'est prononcé pour ton acceptation au sein de notre Conseil, sous conditions, que voici :

1) Tu prêteras serment de prime allégeance à Genève, la prestation est indiquée dans Le fonctionnement des Instutions de la République de Genève.

2) Tu t'engages par écrit à emménager à Genève dès ton retour de Catalogne, sauf en cas de force majeure telle qu'une guerre ou une grave maladie.

3) Tu t'engageras dans la Milice Cantonale comme tous les membres du Consistoire.

Te souhaitant bonne réception de la présente,
Au plaisir de te voir t'installer le plus rapidement possible,
Amitiés,
Caméliane,
Avoyère de la République Libre et Souveraine de Genève.

Citation :

Tortosa, le 31 Juillet 1460.

De Musartine,
A Caméliane, avoyère du Canton de Genève.

le Bonjour !

Ayant reçu réponse du consistoire, les conditions étant celles qu'imposent le respect du fonctionnement des institutions, à cela se rajoutant des raisons d'ordre privé, moi Musartine m'engage, en ce jour, à m'installer le plus rapidement possible à Genève, après mon retour de Catalogne.

Musartine.

Précision

je m'apelle Anton VOyl et pas Voyle... ....

Par contre il existe Susane Voyle mais j'ai aucun lien

Citation :

Camy,

Je crois que je vais prendre congé. C'est mieux, pour moi.

A tout bientôt !

Cordialement,

Iskander

Citation :

À notre Avoyère,

Je me permets d'expliquer cette note par un extrait de nos lois:

Un candidat d'opposition, malheureux lors de l'élection en mairie, est de droit Conseiller, s'il a obtenu au moins 10% des voix.

Citation :

Ceci, expliquant mon serment de fidélité là où il se doit reçu par ma plume.
Bien vouloir en prendre note et voir je vous prie, à ce que les justes clefs me soient envoyées à Fribourg.

Cordialement,

John Edward.

Citation :

John,

C'est un immense plaisir de te revoir ici comme Conseiller, place que tu n'aurais jamais dû quitter. Que tu ne m'apprécie pas et que tu n'aimes pas certaines décisions est une chose, mais que tu te tiennes à l'écart du Consistoire qui a besoin d'hommes et de femmes impliqués, dévoués et passionnés par Genève en est une autre. Ton devoir et ta place sont ici et ta contribution aux discussions et prises de décisions en commun aussi.

Tes clefs vont t'être remises dès que possible par le gardien des trousseaux.

Cordialement,
Caméliane.

Citation :

Cher Isk,

Genève a besoin de toi, de tes conseils, de tes lumières.

Pour l'instant, je te demande de rester s'il te plait, et d'aider déjà à l'élaboration des calculs d'indemnités pour les genevois impliqués en Catalogne ainsi qu'à la discussion concernant un éventuel impôt que tu souhaiterai voir mis en place. Le veux-tu bien ?

Amitiés,
Camy

Citation :

Camélia,

1- Félicitations
2- dis je peux continuer à faire parti du consistoire ?
3- tu me dis hein ? et dès que tu m'as dit, si c'est oui, ben je refais le serment
4- en plus j'aime vraiment la fin, tu sais quand la main se déssèche toussa toussa ?
5 - J'ai faim
6- Je m'entraine à faire des missives de phrases courtes. J'ai fait des progrès ?
7 - Comme je devrais être sur le retour (mais bon, j'ai pas trop compris quand toussa toussa) j'ai écris à Julia bonCoin, pour la garde genevoise.
8 - du coup, ben je m'impatiente de pouvoir déménager bientôt
9- ben du coup, quand je serais de passage sur Valence, j'irais les titiller un peu, j'en suis impatiente
10 - du coup (tu as vu la suite logique hein ?) si y en a qui veulent découvrir les coutumes Valentinoises, et qu'ils ne sont pas effrayés par les moutons, je veux bien leur faire découvrir
11- j'arrête là
12- ah non ! prends soin de toi

Muse.

Lis le mot... Tin... po potib une fille pareille...

Citation :

Muse,

En vrac :

Ramène ta fraise, c'est Cromwell qui va être fou de joie.

Bien sûr que ta place est ici !

Ne change rien à ta manière de parler ou d'écrire, c'est comme ça qu'on t'aime ou te déteste.

Bises, ne fais pas attention à toi, éclate-toi du mieux que tu peux,

Amitiés,
Camy