[RP] Ambassade de Savoie

Soupir de la secrétaire. Tout ce qu'elle craignait.
Un combourgeois arrive, et reste silencieux, adossé au mur. elle le salue, espérant croisé un regard de soutient. Marguerite commencerait presque à comprendre pourquoi son employeur peut avoir un caractère parfois si autoritaire.

A nouveau, longue inspiration avant de reprendre la parole...

...

Mais Messire, c'est ce que j'essaye de vous expliquer ...

Il n'y a pas de 8 clos où sont reçus les émissaires ... c'est là l'une des particularités genevoises ...

Regard posé sur le chancelier ... puis vers le combourgeois ... puis à nouveau le chancelier, avec cette petite pensée qui lui traverse l'esprit "pourquoi donc me suis fait je remarquée ?"

chez moi : Belley qualité particulière : Rien inscription le : 18/07/2013

Le Chancelier salua l'homme qui arrivait, bien que celui-ci ne semblait pas vouloir participer à la conversation, restant silencieux.

Il faudrait, pourtant, c'est mieux de négocier dans une pièce, à l'abris de tous les regards.

Allaient-ils enfin accepter de lui en donner une ? Il y avait Nyon à rétrocéder, et il ne comptait pas y passer toute l'éternité.

Est-il si difficile de me fournir une pièce dans laquelle je peux rencontrer les autorités genevoises, je vous prie ? Contre une mine, je crois que cela n'est pas trop demander.

Maethor s'approcha, il avait pu contempler le courrier envoyé à la Confédération Helvétique, l'empire pensait réduire Genève en esclavage. Quel manque de tact avait-il pensé, ne pas s'adresser directement à Genève, espérer que le Conseil laisse tomber Genève l'impériale. N'avaient-ils donc rien appris qu'ils misaient encore sur la discorde ?

Pourquoi donc cacher aux genevois ce qu'ils devront apprendre ? Tous ont droit de parole, tous ont une voix, prenez vos aises et parlez sans crainte. Il n'y a pas de chef, de meneur ou de tyran à séduire mais toute une population qui attend que la Savoie rende ce qui ne lui appartient pas.
L'empereur vous a-t-il autorisé à nous restituer la mine ? Impossible disent vos tacticiens, si peu de foi.

Les diplomates étaient souvent surpris du fonctionnement du canton mais s'adapter, se conformer aux us et coutumes locales, n'était-ce pas là une bonne manière de faire connaissance ?

Maethor De Furia, simple genevois qui vous écoute avec attention, pour peu que vous portiez de bonnes nouvelles.

Marguerite flageollait ... l'homme commençait visiblement à perdre patience, et il lui faudrait l'affronter ... L'éternel dilemne commençait à lui cogner les tempes : l'affronter, et bonjour la trouille, ou ne pas l'affronter, et affronter dame Musartine, et bonjour la trouille ?

Notre âne de Buridan en était là, griffonnant frénétiquement son parchemin, à l'aide de l'écritoire portatifs, c'est qu'il y en a une qui demanderait moulte détails ... jusqu'à l'arrivée de Maethor.

Enorme soupire de soulagement, esquisse d'un sourire de remerciement à l'homme, il l'a sauvait d'une situation qu'elle n'osait pas vivre.

Maintenant, il y aurait beaucoup à rapporter, au travail Marguerite !

Bien le bonjour citoyen chancelier, je suis Johannes Gutemberg.

Ainsi vous venez pour discuter de la restitution de la mine que la Savoie a dérobée, voilà qui est en effet du plus grand intérêt.

Mais pourquoi le huis clos ? Les autorités genevoises ? Vous les avez devant vous mon cher. Nous sommes tous membres du consistoire des bourgeois de Genève. Ici l'avoyer de la république ne peut rien décider sans notre accord à tous. Je parle naturellement de l'avoyer légitime : messire Izaak qui fut élu démocratiquement par les genevois et que votre empereur, qui n'est même pas capable de respecter ses propres édits, a fait renversé.

Aussi, nous vous écoutons, qu'avez vous donc à nous proposer ?

Tanaisie a quitté la Provence sans déplaisir, ni plaisir d'ailleurs. Elle n'a pas réussi à éprouver la moindre envie d'y vivre un jour, ressentant plutôt comme un arrière-goût désagréable, sans parvenir y mettre un nom.

Elle erre, désoeuvrée, dans l'avoyerie plutôt calme, sans l'effervescence qui y régnait avant l'invasion de ces porcs. Schwein! Schwein! se marmonne-t-elle, comme une litanie, fière de connaître un mot étranger.
Elle sait bien, pourtant, que l'ennemi est multiple, mais elle cache sa perplexité devant cette évidence sous une fixation contre le teuton.

Et, chez Tanaisie, tout homme est susceptible d'en être, à commencer par le bellâtre qui s'expose lui aussi à une évidence de taille : Genève est un multiple.

Elle s'approche de la secrétaire de Musartine, a envie de la faire sursauter par un "Bouh" bien senti sur l'oreille mais s'abstient. Elle veut qu'on la respecte, Tanaisie.

Salvé Marguerite ! Y s' passe quoi ? Z'avez écrit à m'dame Musartine? Pasque ça m'évit' rait d'avoir à écrire à Germaine, rapport qu'elle dit que j' fais des fautes.

Tanaisie !

Comme un soupir de soulagement passe par là, Tanaisie pourra l'aider si d'aventure l'homme recommençait à parler, et s'il fallait lui répondre. Les membres du consistoire ici présents également d'ailleurs.

Oui, j'ai écrit à Dame Musartine, pensez bien que si elle apprend que je ne lui ai pas relaté la venue du sire, elle risquerait de me supprimer les gages ...

L'homme est venu pour parler de la Savoie, et de la mine de Nyon qu'ils veulent rendre, et l'homme veut en parler dans un placard privé, mais il a du mal à comprendre que ce n'est pas ainsi que cela fonctionne à Genève.

On dirait même qu'il a oublié que Dame Musartine était membre du conseil Ducal, et qu'elle a été mise à la porte de celui-ci, parce qu'elle tenait informée les genevois de ce qu'il se passait. L'information circule dans tout les sens ici, mais le messire n'a pas l'air habitué à cela. Dame Musartine m'avait déjà raconté que certains avaient du mal avec cela ...

Oh ! il va parler là ? non ?

Bien plus loquace avec ceux qu'elle connait et qu'elle estime être de sa condition, mais pas tous non plus ..., Marguerite reste à l'affût de la moindre parole à rapporter, prête à gratter le parchemin à nouveau.

chez moi : Belley qualité particulière : Rien inscription le : 18/07/2013

Les genevois arrivaient, un par un, peu à peu. Du monde à discuter, fort heureusement, alors que la situation était des plus graves. Écoutant son premier interlocuteur, il sourit avant d'y répondre.

Non. Nous n'avons pas eu l'autorisation de l'Empereur. Nous ne lui avons pas demandé non plus. Nos tacticiens se trompent, ou alors, ils ne savent pas jouer sur les lois. Assurément, cela pourrait être considéré comme une haute trahison que de rétrocéder Nyon à Genève, vostre Genève. Mais pas à Genève l'impériale, le comté. Certes, vous ne le reconnaissez pas, à tord ou à raison, chacun son point de vue, mais nous, vous et moi - à titre personnel et non dans le cadre de mes fonctions - partageons le même, j'espère. Il y a certes quelques détails à résoudre, mais cela sera fait en temps voulu.

Maethor, disait-il se prénommer. Un nom qu'il connaissait vaguement, un fait d'armes récent surtout, à vrai dire.

Ah, messire Maethor, ravi de faire vostre rencontre ... je vois que vous n'avez point été blessé lors de l'assaut de Fribourg par vostre armée. Quelques hommes supplémentaires auraient peut-être suffit pour reprendre la ville, mais malheureusement, il semblerait que l'expérience du marquis Margab, et de ses hommes, ait eu raison de vos troupes, bien que numériquement supérieure ... L'entraînement militaire italien semble être redoutable dans certaines provinces, vous devriez peut-être aller prendre des cours là-bas, bien qu'il semble que certains genevois préfèrent le Berry ...

Vous savez, il n'y a jamais de "bonnes" ou de "mauvaises" nouvelles pour tous. Tout est question de point de vue. Néanmoins, sur le vostre, cela pourrait devenir une "bonne" nouvelle, oui.

Un second homme arriva à peine eu-t-i répondu au premier, et une fois son "discours" finit, il y répondit spontanément.

Tout le plaisir est pour moi, citoyen ... Mais, appelez-moi Philip, nous sommes tous égaux ici vraisemblablement, au bonheur de certains et au grand dam d'autres.

Vous savez, chez "moi", en Empire, nous avons l'habitude de négocier dans des pièces fermées, mais nos coutumes sont différentes des vostres. Au fond, elles sont peut-être meilleures que les nostres, je ne sais pas. Quoi qu'il en soit, je n'ai pas le choix.

Vous n'aviez point besoin de nommer vostre avoyer, nous parlons du même, soyez-en assuré. Si j'avais voulu parler aux autorités reconnues par l'Empire, je me serai adressé au marquis Margab, et non pas à vous. Nous parlons bel et bien du même.

Quant à ce que j'ai à vous proposer, cela se résume en quatre lettres : Nyon. La mine d'or.

Le corps du chancelier boiteux se redressa, alors que toujours posé sur sa canne, et il écouta les deux femmes parlant avant de reprendre. Et pendant ce temps, un page venait de lui amener un court message qu'il regarda rapidement, avant de jeter un profond et long soupir. Les sourcils se froncèrent légèrement avant de se relâcher, et que le visage redevienne comme avant, neutre.

Mais avant toute chose, il va falloir mettre au clair un point. Je suis venu ici dans l'espoir de mettre un terme au conflit entre Genève et la Savoie. Néanmoins, je trouve cela totalement incorrect de vostre part d'envoyer deux armées genevoises, agrémentées par le Berry, avec cinquante-huit soldats au total à l'intérieur sur la Savoie afin de lancer vostre contre-offensive. Nous sommes à l'heure actuelle la seule et unique province qui vous tend une main et vous semblez obstinés à lui couper. Nous pouvons régler pacifiquement ce conflit. Vous avez vostre type de diplomatie, qui n'est pas du goût de tous, nous avons la nostre. A la différence, c'est que la Savoie vous propose la paix. Vous n'avez pas besoin de nous attaquer pour l'obtenir, ni reprendre Nyon, nous vous l'offrons déjà. Épargnez le sang de ces genevois prêts à se battre pour leur liberté, je vous prie, cela est totalement inutile. N'attaquez pas ceux qui vous proposent la paix, mais déferlez-vous plutôt sur ceux qui ne vous offrent que la guerre comme issue. La Savoie n'a jamais voulu de cette guerre, non, jamais, mais nous avons été obligés d'y participer en tant que vassal de l'Empire. Ne confondez-pas vos amis et vos ennemis, cela pourrait s'avérer être une erreur capitale.

Que la citoyenne Cameliane et que le citoyen Fernand cessent de marcher sur la Savoie, c'est notre seule condition pour que les négociations commencent, qui seront courtes j'imagine, et je l'espère. Nous voulons la paix, vous voulez Nyon. Faisons un cessez-le-feu au moins le temps des négociations, le temps que nous discutions, que le consistoire genevois valide ou invalide la proposition, et que le conseil ducal en fasse de même. Ne tentez pas la mort lorsque l'on vous offre la vie.

L'italien sourit en écoutant le savoyard.

Vous parlez de la sortie qui a viré la générale italienne à la tête de son armée et s'est payée le luxe de venir narguer l'empire à Genève. Nous avons joué de malchance, les effectifs n'ont pas tapé, moi i compris, sinon le dénouement aurait été tout autre.
Là où l'empereur a voulu nous taxer, nous nous sommes franchisés, là où il a voulu casser la rébellion, nous nous sommes battus.

Que cherchait donc ce diplomate.

Peut-on admirer votre lettre de créance ?

Nyon offerte, l’apitoiement d'une hypothétique guerre en Savoie, il savait la province autrefois riche au bord du gouffre, prête à craquer à la moindre bousculade mais il se rappelait encore sa réponse faite à l'empereur, excursion estivale.

Un mot d'un ami la prévenant du discourt tenu par le diplomate savoyard... Son sang ne fit qu'un tour... bouillonnante, rageante, elle prit plume et vélin, production année 1456, puis expédia le ramier en le lançant en l'air de toutes ses forces...

Citation :: Monsieur de Talleyrand,

Vous dites que la Savoie a été obligée de participer au massacre des genevois alors qu'elle ne l'a jamais voulu ? Ne pensez-vous point qu'il y a dans vos mots moquerie à notre égard ? Lorsque l'on ne veut point de quelconque acte, l'on sait dire non. La vassalité est une merveilleuse excuse n'est-ce pas ? Perdre ses prérogatives, sa noblesse, ses privilèges aurait été la pire infamie pour toute la noblesse savoyarde. Et je sais de source sûre que la plupart des savoyards furent ravis de ce qu'il nous arrivait.

Quant à notre destination, la Savoie serait donc la seule terre de l'Empire ? N'oublieriez-vous pas les quatre vingt dix neufs autres villes impériales monsieur de Taleyrand ?

Dernier point, nos effectifs... votre naïveté monsieur me fait sourire... Gentiment sourire je précise.

L'Empire va souffrir monsieur, les représailles ne font que commencer.

Que Déos soit notre témoin et lève notre bras armé en appelant à la vengeance.

Paix, paix ! Il n'y a pas de paix !

Capitaine Caméliane,
Campagne paisible bourguignonne,
Le 30 juillet de l'an de grasce 1461.

Post Scriptum : la mine d'or, notre mine d'or, nous la reprendrons lorsque nous le désirerons, elle n'est pas à mettre dans la balance du marchandage comme s'il s'agissait d'une once de poissons, tout genevois que soit le poisson.

Citation :: A Philippe de Talleyrand, chancelier de Savoie

J'ai pris connaissance de votre missive adressée à la chancelière confédérale. Nous sommes dans le pays des imprimeurs, et les nouvelles vont vite. Nous avons coutume d'utiliser les chutes de papier recyclé (les petits modèles des livres des vertus réformés, qu'on garde toujours avec soi, en occasionnent beaucoup) pour y imprimer des petites blagues, et emballer des friandises au caramel. Nous n'avons pas trouvé de friandise assez conséquente pour être emballée par votre considérable épître. Aussi, nous y avons consacré des rames entières de papier tout neuf, afin de la faire circuler parmi nos troupes et leur remonter le moral en ces temps difficiles où les distractions sont rares et les tourments abondants.

Cependant, votre missive a cessé de me faire rire quand j'ai cru comprendre que vous étiez sincère. Je m'adresse donc à vous sans biais ni sarcasme. Il semble que la mine d'or de Nyon soit un cadeau empoisonné que vous ait fait votre empereur. J'apprends que vous venez en notre avoyerie pour tendre la main. C'est tout à votre honneur, mais je crains qu'il ne soit trop tard. Ludwig Von Frayner n'a pas su se contenter de la belle victoire qui était la sienne, et il voudrait semble-t-il réduire la population de Genève à néant, et son entourage ne paraît pas avoir le cran de lui faire savoir combien ce rêve puéril est intempestif. En plus d'être déshonorante la situation de Genevois est tout simplement invivable. Sans université, sans possibilité d'élire ses dirigeants, sans possibilité de circuler, somme toute sans possibilité d'appliquer les préceptes aristotéliciens -et vous savez combien pieux sont les gens du Léman- vous comprendrez qu'il n'est pas en l'état d'arrangement ni palabres qui se puissent envisager.

L'empereur des Romains a préféré bastonner plutôt que bâter une bête qu'il ne pouvait abattre. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir prêté le flanc, notre vieil Izaac adore ce genre de choses. Ce n'est pas vers nous qu'il faut vous tourner, monsieur Talleyrand. C'est vers votre empereur, il vous faut le convaincre de rendre Genève à défaut de lui rendre la raison, ou bien rompre l’allégeance qui vous lie. Sans quoi, bien que touchés par votre sollicitation, nous n'avons pas d'autre choix que de prendre les armes.

Bien à vous,

Zarathoustra, bourgeois de Genève

Invité

Dame Braie entra dans une sale où elle avait une clé à Genève la ville sembla relativement apaisé:

Bonjour il y a quelqu'un? Je suis la chancelière de Savoie.

bah oui. Il estait la en train de manger un bout de jambonneau quil tenais de sa dextre. Une choppe de bière dans lautre main. Il passe dans les couloirs puis

Bonchoir rounch-scrounch chez pour quoi ? Je suis... rounch-scrounch lavoyer de genf...

Mangeant tranquillement son tardif dîner il regardait la femme

Invité

"- Bonsoir monsieur l'avoyer, je suis Braie, chancelière de Savoie. votre diner à l'air très bon."
Elle lui sourit en guise d'apaisement.

Antoine finissait tranquillement son jambonneau, plus que deux boucher et hop il n'y avais plus que l'os. Mince que faire de l'os, son chien n'était pas la, il regardait a droite puis a gauche et ce décida pour l'envoyer direction la cheminée. Un geste rapide et bref, une morte lente et douloureuse pour ce bout d'os

Braie? Hum. .. Bien. Je me nomme antoine

Il prit une bonne rasade de bière puis posa la choppe sur le bureau.

Oui en effet il est très bon, merci ! Que puis-je faire pour vous?

L'homme lui accorda un franc sourire, sa main invitait la chancelière à prendre place sur un siège tandis que lui même s'asseyait paisiblement.

Invité

Braie s'installa .

Je venais ici pour que ma province et la votre puisse parler et tenter de se comprendre même si c'est pour parler du temps qu'il fait. Rien de plus Smile

Antoine défait légèrement sa jambe de bois

Parler, sans problème, nous avons plein de chose sur lesquels nous pourrions parler... tenter de se comprendre risque d’être plus délicat, les différence sont si grande ! mais nous pourrions au moins essayer!

par quelle sujet voudriez vous commencez ?

Invité

"- Voyez je pense que l'on peut se respecter et je ne viens pas en opposition , je viens de moi même ici. Voyons déjà je pourrais vous demandez comment se passent vos relations avec le ch, vous n'avez pas eu de chance avec cette guerre."

Bien sûr que nous pouvons nous respecter, nous ne sommes pas des barbares sanguinaires, peut-être même espérer nouer des amitiés !

Nos relations avec la CH, il y a eu discussions, le conseil des XII comporte deux Genevois dont moi-même, Je peux affirmer que cette guerre a fait du dégât, elle nous a divisé... mais les choses finissant toujours par s'améliorer nous nous sommes ressoudés, les liens entre les différents cantons se sont étoffés, bien sûr, des divergence politiques et religieuses existent, cela est normal ! Mais dans l’ensemble, la guerre opposant l'empire a l’Helvétie, et particulièrement à Genève, a permis de démontrer aux plus mauvaises langues, que notre Union était nécessaire, afin de compléter notre foi et nos valeurs, j'en ai eu encore la preuve en ce jour !

Invité

"- je vois cela bien bien que pensez vous de vos relations avec la Savoie?"

je tient a dire qu'il reste encore quelques mauvaise langue, particulièrement remonté, on ne sais même pas pourquoi ... il s’agissait pourtant d'ami ...

Nos relation avec la Savoie, je n'en sais rien... et vous que penser vous de vos relation avec Genève ?

Invité

Nous avons une mauvaise image parfois mais franchement je trouve cela bien bête, qu'avons nous de différend? une vision différente de la religion, cela n'a pour moi rien de dramatique. Nous nous sommes bien entendu par le passé pourquoi ne pas recommencer?
Ne pas se parler je trouve cela bien absurde.

Invité

Le problème n'est pas la religion, Genève sous mon mandat du moins et soumis au simultanéum. .. Je suis d'avis de croire que chacun peut vivre ensemble malgré ses opinions religieuse.
En revanche je suis d'avis de croire en votre promptitude à foncé en armée sur Genève a la moindre occasion. .. C'est le ressentiment que j'ai, je n'ai pas la connaissance d'affirmer que cela sois une vérité.
Le problème vient de nos opinions politiques, vous acceptez de mettres des taxes et d'obéir a votre empereur. .. la est une différence de taille... mais cela n'empêche de nous parler en effet...

Invité

Vous savez ce n'est point un blocage, actuellement pensez vous que la Savoie seule soit votre ennemi?

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