[RP] Ambassade de Franche-Comté

A ceux qui ne connaitraient pas les subtilité comtoises, j'interprète de manière objective le message de dame Epson :

Epsonstylus a écrit:

Citation :

A l’avoyer de Genève

&

Aux membres du Conseil des Bourgeois et de la Diplomatie
(Aux hérétiques de Genève, point de salut.)



Dans la nuit du 4 au 5 septembre, un tragique incident à eu lieu (une embuscade a été tendues) aux portes de Dole. Les défenseurs ayant attaqué l’armée du gouverneur Derdekan qui souhaitait entrer dans les remparts de la cité comtoise. Des personnes ont été blessées, dont l‘une gravement.

Je tiens à vous informer que votre délégation (hélas) est en parfaite santé (, que nous les avons manqué de peu) et que toute la lumière sera faîte sur cette affaire (et que vous ne saurez jamais ce qui s'est passé).

Pour le moment rien ne permet d’indiquer si il s’agit d’une négligence de la part du maire de Dole, le Sieur Honneur, ou si il s’agit d’un acte purement criminel issu d’une vengeance personnelle ou visant à nuire à nos rapports diplomatiques (en résumé, allez vous faire voir. On a raté les vôtres, point final).

Une demande de procès avait été faite, mais la procure l’a renvoyée, le dossier n’étant pas monté convenablement, elle a jugé que le travail était bâclée. (pas de preuves, pas de témoignages) (bien entendu, il n'y aura pas de procès, compte tenu que les soldats comtois ont agi pour le bien du comté).
L’affaire sera donc instruite comme il se doit et refera l’objet d’une demande de procès (aux calendes grecques).

En attendant, le maire de Dole a reconnu ses torts en privé et nous attendons qu’il s’exprime publiquement (il nous fallait un lampiste puisqu'on a raté les Genevois). Les victimes quant à elle ont été prises en charge par les autorités comtoises et seront dédommagées dans les plus brefs délais (en langage comtois : jamais).

Je tiens à réaffirmer que vos diplomates sont en sécurité et que rien ne gênera la progression du processus diplomatique que nos deux contrées ont entrepris (on va essayer de se rattraper le prochain coup. Izaac et ses sbires ne perdent rien pour attendre).

Cordialement (je ne vous aime pas).



Epsonstylus,
Connétable de Franche-Comté

Regarda et vit les propos de Louvela

Elle vit encore elle ?

Il haussa les épaules

Je ne suis pas ici pour elle... J'ai reçu ceci de grandson

Citation :

Expéditeur : Accrosenseo du lys noir
Date d'envoi : 2009-10-25 09:14:01
Bonjour à vous,

Je suis dame Accrosenseo, diplomate du canton de Grandson en Helvetie.
Viens de ma parvenir ce document , pouvez-vous m'en confirmer les écrits et me confirmer qu'ils viennent de vous?

Dans l'attente de vostre réponse,
Son excellence,
Dame Accrosenseo

[quote="--Shenkj"][quote="Imladris"]


Dôle, le 23 octobre 1457

Nous, Shenkj, Franc Comte, au nom du parlement décretons que :

Compte tenu des informations nous parvenant de la Confédération Helvétique et au nom du Saint Empire,
Compte tenu de la forte présence de réformés et au nom de l'Eglise Aristotélicienne,

Avons décidé d'étendre le périmètre de sécurité de la Franche Comté, en conséquence :

art-1 Attendu qu'il y a actuellement,près de la ville de Grandson, un certains nombre de soldats
et voulant prévenir toute effusion de sang :

Sommons la ville de Grandson à la reddition.

art-2 Vous donnons ultimatum à une réponse pour le 26 octobre 1457 à 15h00.

art-3 En conséquence de cette reddition, au nom du Saint Empereur, vous assurons que tous les sujets
actuellement dans ladite ville et dans son territoire seront traités avec la plus grande humanité,
conserveront la jouissance de leurs effets personnels et pourront se transporter avec lesdits effets
dans n'importe quelle partie des possessions du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ.

Art-4 Invitons tout ressortissant extérieur à Grandson à quitter au plus tôt ladite ville




Enfin, la Franche-Comté apporte tout son soutien à la décision du Duché de Savoie concernant l'annexion de Genève .

Shenkj, Franc Comte,





Imladris Van Ansel, Chancelier de Franche-Comté, Vicomte de Voiteur

Je tiens à vous dire que ce message est un faux pour ce qui est de la Franche-Comté... J'ai comme l'impression qu'il y a une conspiration impériale pour nous empécher de nous rapprocher de vous

Je vous présente mes excuses les plus sincères et vais de ce pas faire un démenti catégorique

Déclaration officielle de notre Comté :

Citation :

Nous, Franc-Comte Shenkj, affirmons que la missive, de la présente déclaration du 23 octobre 1457, qui évoque la reddition de la ville de Grandson, est un piètre tissu de mensonges.
Nous demandons au canton de Grandson en Helvetie de ne pas prendre en compte le communiqué qui leur a été parvenu faisant acte de l'ultimatum à une réponse pour le 26 octobre 1457.
Aucune discussion n'a eu lieu en Franche-Comté faisant acte de tels propos.
Nous essayerons de faire le nécessaire pour trouver les personnes mal intentionnées ayant agit en notre nom et voulant semer le trouble en agissant de la sorte.

Faict à Dole le 25 octobre 1457.
Par la Franc-Comte Shenkj.



Témoin:
Imladris Van Ansel, Vicomte de Voiteur
Chancelier par interim

Citation :

Excellence,

Nous vous remercions pour la diligence dont vous avez fait preuve afin de nous rassurer quant à vos intentions. Genève ne s'était point laisser abuser par ce qui ressemble à s'y méprendre à une tentative ridicule de sabordage des relations diplomatiques cordiales que nous avons vu naitre entre la Franche comté et la CH.

Nous prenons également vos excuses comme le signe de la bonne foy et de la bonne volonté qui ponctuent depuis quelques temps nos rapports, bien que nous ne vous tenions point comme responsable de ces agissements condamnables.

Genève vous aidera à trouver et à châtier comme il se doit les fourbes qui sont derrière toute cette affaire.

Mélian du Lys,
Chancelier de la République.

Imladris arriva et remis la missive aux gardes à l'entrée :

Citation :

Je soussigné, Fccasper de Valfrey, Chancelier de Franche Comté

Certifie que Messire Imladris van Ansel est actuellement détaché au canton de Genève par la présente et jusqu'à nouvel ordre de ma part.

Fait à Dole le 3 novembre 1457

Notwen apprit qu'un nouvel Ambassadeur apportait ses lettres de créances.
Elle descendit le saluer dans l'antichambre de l'avoyerie.

Soyez le bienvenu, Messire Imladris !

Permettez-moi de vous féliciter pour vostre nouvelle fonction, et de saluer le sage choix de vostre chancelier. Vous êtes l'un des principaux artisans de la fraternité retrouvée entre la Franche-Comté et Genève, ce titre d'Ambassadeur n'est donc que juste récompense pour vos efforts passés.

Je vous souhaite beaucoup de succès dans vostre mission.


Notwen salua courtoisement le nouvel Ambassadeur.

Et ben à peine nommer ambassadeur, je vais devoir vous poser deux questions si vous le permettez.

La première concerne le cas d'un comtois qui serait retenu en Confédération Helvétique. Les autorités comtoises sont bien évidemment inquiètes car il serait détenu par les membres du Lion de Juda. Il se nomme Artmaniak et est diacre de son état. Auriez vous des informations à nous communiquer sur cela? Toute aide sur cette affaire est bien entendu la bienvenue.

La seconde question porte sur le Béarn. Notre ambassadrice là-bas nous informe que le Canton de Genêve a déclaré la guerre au Béarn. Pourriez vous me communiquer la dîte déclaration. C'est pour recouper nos informations. Et si c'est vrai, pouvez vous me dire les raisons de cette déclaration?

Merci d'avance pour vos réponses.

HRP pour la première question, en fait on ne sait pas ce qu'attendent les joueurs du Lion, ça nous aiderait de savoir ^^ /HRP

Messire, sachez que par la présente, nous nous ooposons aux membres du Lion de Juda. Si on nous demande de les "liquider" nous le ferons.

Mais sachez aussi, que la FC a décidé également de en pas intervenir militairement contre Genève. Nous n'interviendrons pas contre vous et nous désapprouvons l'amalgame fait entre votre cité et les hérétiques du Lion de Juda.

Nous sommes en période électorale mais je pense que vous pouvez coompter sur notre neutralité.

Il y a encore une ou deux questions que nous devons statuer mais je vous tiens au courant

De Berne, par pigeon :

Citation :

Votre Excellence,

je vous remercie de la neutralité de la FC, et comprends parfaitement votre engagement contre le Lion de Juda, que je partage.

Sauriez-vous nous dire ce que deviendrait cette neutralité si des armées hostiles à Genève demandaient un droit de passage par la Franche-Comté ?

Bien à vous,
Notwen de la Concorde

Exactement la question que je me posais, Excellence. QU'en sera-t-il de la neutralité franc-comtoise si des armées de Sa Majesté Très Aristotélicienne, le roi de France, demande passage à travers votre territoire?

Au fait... Mes plus sincères félicitations pour votre élection à la mairie de Dôle.

Justement c'est une des questions que nous nous posons

A l'heure actuelle, le débat converge vers un refus de voir des armées françaises en terre d'Empire (ou en tout cas en FC).

Mais comme je vous l'ai dit c'est toujours un point qui doit être trancher.

Je signale que le Comte Debenja, notre ancien chancelier, est devenu Franc Comte. Je pense que Genève le connait très bien

Excellence,

Je reviens vers vous pour faire la contastation malheureuse qu'une de ces armées soit disant croisées serait en Franche Comté, à Poligny pour être exact. Devons nous considérer cela comme le résultat de la décision du Conseil de Sa Grandeur le Franc Comte quant à la question du droit de passage desdites armées au travers de ses apanages?

Par ailleurs, Genève, toujours fidèle et cohérente dans sa politique, vous prie de remarquer que le prêtre-traitre-assassin Yohann65 se trouve au sein de cette armée. Comme elle le fit avec d'autres, la République Souveraine de Genève réclame la mise au arrêts de ce personnage et sa mise à la disposition de sa justice. je vous prie d'entendre cette supplique avec humanité, sérieux, diplomatie et bienveillance. Notre Peuple de pourra souffrir de voir son territoire souillé encore une fois par cette raclure.

Je vous remercie, Excellence, de vos bonnes dispositions et de la sagesse des dirigeants de votre Comté qui mérite le nom de Franche.

Pour l'armée à Poligny c'est notre armée et pas celle de Yohan

d'ailleurs pour Yohan 65

voici une déclaration officielle

Citation :

Nous, Debenja von Riddermark, Franc Comte, demandons au nom du parlement de Franche-Comté à Messire Yohan65 de se livrer immédiatement aux autorités de genève pour répondre de ses crimes lors de la Croisade contre Genève.

Si dans un délai de deux jours, Messire Yohan65 ne se rend pas aux autorités comtoises ou helvètes, nous le déclarerons persona non gratae et le traquerons sur nos terres.

Fait à dole le 20 décembre 1457
Au nom du parlement
Debenja von Riddermark
Franc Comte

Je vous remercie Excellence. Soyez sûr que Genève n'oubliera pas les bonnes dispositions de la Franche Comté à son égard. Vous ne pouvez imaginer les sentiments de joie, de justice et de gratitude qui règnent en nos coeurs.

Si la Franche Comté a un quelconque souhait à nous adresser, nous tenterons d'y répondre dans la limite de nos moyens.

Je vous prie, Excellence, de remettre nos salutations les plus amicales à Sa Grandeur le Franc Comte Debenja. Je vous prie aussi d'accepter nos remerciements les plus sincères pour vos bons offices de diplomate.

De rien par contre nous aimerions savoir ce que vous pensez de cette déclaration de Son Eminence le Camerlingue ?

Citation :

A l’Universalité des fidèles,



Les évènements récents nous poussent à nouveau à prendre notre plume pour faire part au monde de notre grande joie face aux succès rencontrés, par l'action conjuguée de la Sainte Eglise et des vaillants béarnais, contre l'organisation brigande hérétique appellée "Lions de Juda", en Béarn, et la mise à bat de la pseudo-république hérétique dite "léonine". Nous saluons à ce titre l'action menée par la population béarnaise et par les Saintes Armées, coordonnées sur place par Monseigneur Acar de Ventoux, second de l'Ordre des Chevaliers francs.

Aujourd'hui un nouveau défi se présente au monde. Si les Lions ont été empêchés de mener à bien leurs funestes desseins, il n'en est pas moins grand temps de mettre fin de manière définitive à la menace que laisse planer l'engeance hérétique et que les événements n'ont que trop rappellés.

C'est pourquoi la Sainte Curie réaffirme aujourd'hui de manière solennelle la croisade contre les Lions de Juda, qui, rappellons le, n'a jamais pris fin. Nous félicitons les provinces qui ont d'ores et déjà répondus présentes à l'appel de l'Eglise aux côtés des Saintes Armées, et conférons aux hommes mobilisés, par la présente, le statut de croisés avec les droits et obligations afférents à cette qualité.

Nous tenons à rappeller que la croisade contre l'engeance n'est dirigée contre aucune cité que ce soit, mais uniquement contre les Lions. De nombreux regards se tournent aujourd'hui vers Genève, accusée d'abriter et de soutenir les Lions. De par notre volonté de paix et de conciliation, nous enjoignons par conséquent la cité de Genève à prendre ses responsabilités et à affirmer de manière ferme son rejet des hérésies, et à procéder à l'expulsion le cas échéant des Lions pouvant se trouver sur son sol.

Enfin, nous appellons les provinces qui ne l'ont pas encore faites à se joindre à la lutte. Le combat contre la menace hérétique transcende les frontières pour concerner l'ensemble du monde aristotélicien qui doit, aujourd'hui, présenter un front uni pour assurer la glorieuse victoire de la Vrai Foy.

Deus Vult !


Ad majorem dei gloriam


Tibère de Plantagenêt, dict Rehael,
Cardinal Camerlingue

Faict à Rome, le XX décembre de l'an de grâce MCDLVII de notre Seigneur

Citation :

Nous, Debenja Von Riddermark, Franc Comte,

Suite aux actions en Béarn, qui amènent la déclaration de croisade,

Déplorons l'agression du Canton de Genève à l'encontre du Béarn et les moyens utilisés lors de cette action, déplorons les victimes faites entre les deux camps.

Condamnons fermement et sans aucune ambigüité cette hérésie scélérate et traitresse qu'est le Lion de Juda et nous nous engageons à les traquer sur notre territoire, sans répit ni pitié.

Condamnons le vol caractérisé des caisses de la Confédération Helvétique par des membres du Conseil Confédéral, même pour rembourser le Béarn, puisqu'aucune raison ne peut justifier un tel acte.

par la présente, nous édictons :
- que nous resterons neutre entre le Canton Souverain de Genève et les provinces de France.
- que nous n'accepterons pas le passage de troupes étrangères sur notre sol exceptés les Saintes Armées.
- que nous poursuivrons les hérétiques du Lion de Juda sur notre sol comtois.

Fait à Dole
Par le Franc Comte Debenja Von Riddermark
Le 21 décembre de l'an mil quatre cent cinquante sept

Envoyé à Rome :

Debenja a écrit:

Citation :

A la très Sancte Curie, représentante du Très Haut et de Sa Sainteté le Pape Eugène V auprès des fidèles de l'Eglise Aristotélicienne,

Nous, Debenja von Riddermark, Franc Comte, annonçons ce qui suit :

- Nous avons pris acte de la déclaration de Son Éminence le Cardinal Camerlingue Tibère de Plantagenêt, dict Rehael

- Nous avons remarqué que Son Éminence parlait en son nom propre et non au nom de la Curie et demandons donc une confirmation de la très Sancte Curie au sujet de cette croise.

- Nous avons remarqué qu'en date du huitième jour du mois de mars de l'an de grâce MCDLVI, Son Eminence Lorgol annonçait la fin de la croisade, nous ne comprenons donc pas comment nous pourrions poursuivre une croisade terminée et demandons donc des précisions quant à cela.

- Nous déclarons que nous préférons la solution diplomatique à l'usage des armes et demandons que tout soit mis en œuvre pour éviter le massacre d'innocents.

Fait à dole le 21 décembre 1457
Au nom du parlement
Debenja von Riddermark
Franc Comte

Debenja a écrit:

Citation :

A la très Sancte Curie, représentante du Très Haut et de Sa Sainteté le Pape Eugène V auprès des fidèles de l'Eglise Aristotélicienne,

Nous, Debenja von Riddermark, Franc Comte, nous vous faisons part de nos craintes suites aux récentes déclarations du Chevalier-Sénateur de la Congrégation des Saintes Armées, Izidore de Castelléo, qui annonce la reconnaissance des armées du Connétable de France, Anthémios de Deliancourt, dict LeKaiser, comme armées Croisées, et ce afin de participer à la Croisade annoncée par Son Éminence Tibère de Plantagenêt, dict Rehael, Cardinal Camerlingue. Hors, nous n'avons reçu aucune réponse à notre dernière requête.

De part ce fait, nous ne reconnaissons, pour l'instant pas la Croisade. Et nous ne considérons pas qu'il y en ait une. Nous déplorons l'entente tacite française avec l'église pour faire passer en croisade ce qui n'est qu'une action guerrière, allant à utiliser abusivement ce terme comme un sésame.

Nous vous faisons aussi part de nos craintes sur les nombreuses pertes que ce conflit engendrera. Nous tenons à signaler à la très Sancte Curie de bien tenir cela en compte. Si Genève est au final, la destination des armées Croisées, de nombreux fidèles périront pendant et après le conflit.

Nous tenons aussi à signaler que les hérétiques étant à la base du conflit se trouvent encore et toujours au Béarn.

Nous demandons à la très Sancte Curie de bien réfléchir et de privilégier la solution du dialogue plutôt que la solution armée. Le dialogue est l'arme d'Aristote, les épées sont armes du sans nom.

Fait à dole le 22 décembre 1457
Au nom du parlement
Debenja von Riddermark
Franc Comte

Etat d'urgence à Dole avec l'accord du franc comte

Citation :

Décret d'exception du 23 décembre 1457

Nous, Imladris Van Ansel, maire de Dole, déclarons par la présente l'Etat d'Urgence sur la capitale de Franche-Comté : Dole.

Vu le refus des autorités romaines d'écouter les doléances de la Franche-Comté,

Vu le stationnement d'une armée française soi disante croisée à Dijon demandant le passage à Dole,

Vu le refus du Parlement comtois de laisser libre passage à ses dîtes armées croisées sans que l'Eglise Aristotélicienne ait répondu aux questions de Sa Grandeur Debenja von Riddermark,

Nous, Imladris Van Ansel, proclamons en accord avec le franc Comte Debenja von Riddermark :
- demandons à la population doloise de faire des réserves en nourriture en conséquence,
- demandons à la population doloise de se tenir prêt à défendre le sol sacré de l'Empire, de la Franche-Comté et surtout de la capitale Dole,
- interdisons le commerce aux soi disant croisés sous peine de poursuite,
- interdisons toute aide sous quelques formes que ce soit aux troupes françaises,
- fermons les portes de la ville à toutes armées n'ayant pas reçu d'autorisation du Parlement Comtois

Comtois, Rends-toi !
Nenni, ma Foi !

Pour l'Empire,
Pour la Franche-Comté,
Pour Dole,
Imladris van Ansel,
Vicomte de Voiteur, Seigneur de Charency,
Maire de Dole