16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS]

Tout en mangeant ses saucisses léo suivait le procès qui allait de rebondissements en rebondissements.
De temps en temps il chuchotait un commentaire à Caméliane.

Miam... Shlurp....

T'as vu y'en a qui mettent le bazar, le proc n'est pas content, pour peui qu'ils se fassent expulser ça va faire du spectacle...

Croc...

AVEC UN AUTRE HOMME! Si ça se trouve c'est avec Iksander qui propose ses sucettes à tout le monde.

Gloum..

Oh! En plus elle n'a jamais vu un sou de l'argent promis.

Raoum....

D'après toi qui est l'assassin?

Gros soupire...
Alors elle mit le paquet.

- Léo, encore un mot, et je te demande en mariage là tout de suite devant tout le monde. Fais gaffe, suis cap !

Ultime solution pour qu'enfin il se taise.
Si avec ça il ouvrait encore la bouche autrement que pour manger c'est que vraiment il n'avait peur de rien.

Mais tentée malgré tout elle lui répondit...

- Avec la matraque dans le petit salon...

Saucisses à succès.

J'en étais content. Je les avais achetées à un marchand qui m'a dit qu'elles étaient d'authentiques saucisses genevoises, fabriquées par des moines dans leur monastère, selon une recette ancestrale. Des saucisses millénaires, avec de la viande de cochon. Et beaucoup d'épices disait-il, pour le goût.

Et du gras aussi, manifestement.

Il avait bu toute la soirée et avait insister pour me dire que le gras et les épices, c'est ce qui donnait le goût, et les bout de viande de cochon, la texture. Puis il avait encore plus insisté sur le secret de la recette.

Elles avaient l'air ... et bien, de saucisses, du genre qu'on vend pendant les courses, les combats de coq ... ou aux spectateurs de Soule, pendant qu'ils crient. Les gens ne demandent pas les secrets de fabrication pendant qu'ils crient.

Heureusement.

Je vis Leo en engouffrer plusieurs ... et lui fit un petit signe indistinct de la main. ... entre l'encouragement et la mise en garde...

Puis j'hésitai. Il faisait encore froid. Si je laissais brûler les autres, cela ferait de la chaleur ... ou pas. Si ... avec toute cette graisse et toutes ces épices, cela ne pouvait que faire de la chaleur. Et des odeurs aussi, mais, bon, aucun combustible n'était tout à fait parfait. Ce ne pouvait pas être pire que la bouse de dromadaire séchée. Enfin, je n'en étais pas sûr. Avec les épices ... ?

Tout au spectacle et ses agapes, leo... écoutait distraitement les réponses de Caméliane.
Comme assez souvent entre hommes et femmes, ce que disent les uns n'est pas forcément ce qu'entendent les autres.

Cameliane a écrit:: Léo, encore un mot, et je te demande en mariage là tout de suite devant tout le monde. Fais gaffe, suis cap !

Mais leo entendait, enfin quand on dit entendait il n'entendait pas exactement des mots précis mais saisissait plutôt une idée générale:

Quels commentaires spirituels, ce que tu es es hautement intéressant. Je suis suspendue à tes lèvres et je regrette de ne pas avoir apporté de quoi prendre des notes. Ces perles de sagesses que tu me prodigues seront perdues pour la postérité.

Cameliane a écrit:: Avec la matraque dans le petit salon...

Et léo entendit:

Tu devrais faire faire signe à Iksander qu'il te faut d'autres saucisses, tu as bientôt fini les tiennes. J'adore te voir manger tu devrais continuer. N'hésite pas à commander aussi des bières, les femmes adorent quand les hommes boivent de la bière, plus ils en boivent mieux c'est.
Sinon je crois c'est avec la matraque dans le petit salon.

Aussi répondit-il:

Tu as raison je vais en redemander. Franchement je ne regrette pas d'être venu ça me détend un peu des études. Par contre ça commence à s'endormir un peu, tu crois qu'il y'aura des nouveaux coups d'éclats? Après l'entracte peut être.

Puis il fit signe à Iksander de mettre les petites soeurs.

loquace chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008

M. le Greffier, dois-je vous rapeler que nous sommes non seulement dans un tribunal mais aussi en session de procès.

Et vos gestes ne passent pas inaperçus.

Certes, l'odeur alléchante de vos saucisses nous attirent, aussi pourquoi ne pas nous en faire profiter ce qui nous ferait patienter jusqu'à l'arrivée de Dame Elysabeth.

Seigneur Petit Christos... par Titus, Sucellus et Aramis...

Un regard vers le haut, ho quel joli plafond à la françoyse aux belles poutres.
Vous voulez garder la santé ?
Ne restez pas à côté d'un Léo.

- Léo... tu travailles trop. Tu devrais te détendre plus souvent.

Elle se voyait mal se lever, passer devant Léo sans lui écrabouiller un
orteil ou deux puis se mettre à genoux à ses pieds, en plein milieu de l'allée, les mains jointes en
une prière et dire "Ô Léo, veux-tu être mon époux pour la vie ? Pour le
pire et le meilleur ? M'expliquer où est le Nord et où est le Sud ainsi
que les deux autres points évêques pour tout le restant de tes jours ?"

Non non, même sous la torture elle ne pourrait pas.

Stoïque, elle resta sur le banc, sagement, se demandait si elle n'allait pas prendre le tricot en court de sa Océ pendant qu'elle témoignerait...

Ma foi ...

Demandé si gentiment, je n'osais pas lui refuser.

Et bien, avec grand plaisir. Vous verrez, c'est très ... fin et complet comme met. Il y a du goût, des petits endroits tendres et d'autres croquants.

J'espère que cela vous plaira, Monsieur le Procureur.

Et de lui servir une belle série sur un tranchoir. Puis regarder le juge, en hésitant ...

Et voilà, elle était maintenant appelée à la barre.
Après avoir serré fortement la main de Philippe, elle s'avança.
Pendant ce temps, des saucisses changeaient de mains, et l'odeur, plutôt que de lui ouvrir l'appétit, commençait à lui donner la nausée. Elle ravala et essaya de rester le plus loin possible du greffier et de ses saucisses.

Pendant que le greffier servait les saucisses, elle croisa les mains devant elle et attendit les questions de, ou des, avocats. Elle ne savait trop quoi rajouter, Philippe avait déjà bien expliqué.

Andaevinn prit la parole:

- Pour la dernière fois, supprimez-moi ces saucisses. Nous ne sommes pas a la cantine! Avalez-moi cela ou je les donne a mes roux!

Puis se retournant vers Dame Elysabeth:

- Mes excuses pour cette interruption. Messires? Des questions?

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Dame Elysabeth, vous êtes ici comme témoin. Qu'avez-vous à déclarer devant cette cour ? Connaissez-vous le prévenu ? Avez-vous été témoin de certaines scènes en taverne ?

Océ tricotait férocement, luttant contre cette nausée persistante dûe à l'odeur des saucisses grasses et épicées - en prime du poisson pas frais ! quoique ?-
Elle lâcha son tricot, se mit à compter sur ses doigts et regarda Camy discrètement espérant attirer son attention rien que par la force de son regard.

Elle blémit subitement et leva un doigt fébrile pour demander la parole !

Attendant qu'on la lui donne, elle regarda paniquée autour d'elle, voir si il n'y aurait pas un seau ou une bassine dans la salle.

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Garwin potassait ses dossiers, car quelque chose lui manquait. Dans l'attente du témoignage de Dame Elysabeth, il s'adressa au juge tout en s'excusant de sa prise de parole.

M. le Juge,

Permettez-mois d'intervenir encore une fois mais quelques points importants n'ont pas été soumis. En effet, en relisant mes dossiers et notes diverses, Messire Antoine aurait été sollicité par Dame Eireen et après signature d'un contrat afin que celui-ci verse la somme de 300 écus à l'avoyerie, par son intermédiaire et qui lui serait remboursée ensuite par Dame Eirreen.

Seuls deux personnes pourraient à mon avis confirmer cette transaction, car des preuves existent probablement au niveau de l'avoyerie ou du marché.

Aussi, M. le Juge, je vous demande instamment de faire citer, Messire John Edward afin de nous donner sa version des faits ainsi que d'apeler à la barre, Messire Antoine, afin qu'il nous explique clairement cette transaction.

Je vous remercie.

Bon, quand il faut, il faut.
Une grande respiration, et...

Je suis arrivée à Genève le 16 janvier dernier et j'ai fait la connaissance de Antoine peu après. Je ne saurais préciser quel jour exactement.
De mémoire, la première fois que je l'ai rencontré il célébrait son mariage. Il avait fait le tour de toutes les tavernes de Genève. Je me souviens d'ailleurs qu'il a mis plusieurs heures à s'en remettre, plus d'une journée, même.

Philippe est venu me rejoindre à Genève le 18 janvier et nous avons commencé à élaborer nos plans d'avenir. Le premier objectif étant, bien sur, l'achat d'un champ.
Antoine venait d'ouvrir sa banque et nous en parlait constamment. Il voulait nous faire un prêt mais nous trouvions les conditions trop risquées. Les intérêts étaient trop élevés, le temps de remboursement très court, et de plus nous n'avions rien à laisser en gage. Mais pour le gage, Antoine nous disait qu'il pouvait nous faire un spécial et prêter sans gages. Malgré notre refus, il revenait à la charge.
Heureusement nous avons trouvés ici des amis merveilleux qui nous ont prêté ce qu'il nous fallait et ce, sans conditions et sans délai de remboursement. Et je suis fière de dire que je pourrai bientôt rembourser.

Elle prit un bref moment d'arrêt avant de poursuivre.

Je peux vous dire qu'à quelques reprises, Antoine est venu en taverne demander ce qui lui était reproché. Je lui ai répondu une fois mais me suis fait dire qu'il ne s'adressait pas à moi. Mais il n'était pas question que je quitte l'endroit, Eireen était terrorisée à l'idée qu'elle pourrait se retrouver seule avec lui. Alors je restais avec elle, et je la raccompagnais chez elle à la fin de la soirée. Je gardais un balai près de moi mais je n'ai jamais eu à l'utiliser pour la défense.

Je ne sais pas si il y a autre chose que vous voulez savoir.

Elle attendit la suite.

L'agitation de son amie l'inquiéta...
Son visage blême lui fit comprendre la situation...
Un regard aux alentours,
sur les bancs,
sous les bancs,
dans les coins de la salle du Tribunal,
sous les chaires des justiciers,
près de la porte,
nul baquet...
Puis elle regarda Léo, dont le casque posé à côté de sa fesse droite,
tout près du bord du long banc, lui donna une idée...

Elle se pencha à son oreille, pointant d'un index sûr l'objet de son souhait.

- Léo... tu permets... ? Une urgence... tu m'as dit qu'un casque pouvait sauver de toute situation, et être utile à moult usages... Océ t'en sera reconnaissante ad vitam eternam.

Se levant à demi, passant devant Léo, se faisant toute petite, elle attrapa le chef de métal et le tendit à son amie dans un regard complice, sourire aux lèvres se voulant rassurant...

Philippe en eut assez de cette vilaine odeur de graisse brûlée.
Il se leva et sorti de la salle quelques longues minutes

...

Puis il revint avec un pichet et 2 godets.
Il se rendit jusqu'à la barre.

Ely ? Un petit rafraichissement ?

Philippe tendit un bolet de vin blanc bien frais à Elysabeth

En attendant qu'ils se décident à te poser des questions ... à ta santé !

Andaevinn soupira en regardant philippe...

- Bien, Messire Garwin, accordé pour ce qui est de l'Avoyer. Je demande à Messire John Edward de bien vouloir venir corroborer ce témoignage.

Il indiqua:

- Vous aurez tout loisir d'interroger M. Antoine dès que nous aurons fini d'interroger les témoins de l'accusation. D'autres questions pour Mme Elyzabeth avant que nous poursuivions?

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Dame Eysabeth, je suppose que vous vous êtes rendus en taverne. Je voudrais savoir quel était le comportement du sieur Antoine en cet endroit de même pour Dame Lauralou, tenancière de la taverne ?

Est-ce que certains propos qui ont été échangés vous ont choqués ?

loquace chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008

Dame Oce06, vous avez été citée comme témoin par le sieur Antoine.

Qu'avez-vous à déclarer en cette cour ? Nous vous écoutons.

Philippe avait entendu, bien malgré lui, le soupir poussé par Son Honneur le Juge Andaevinn.
Il savait que son poste ne lui permettait aucun écart. C'est ainsi qu'avant qu'Ely ne réponde, il apporta la cruche jusqu'à la table du Juge

à la bonne vôtre

Attendant qu'on lui pose des questions, ou qu'on l'autorise à retourner près de son ducaillon, elle observait la salle.
On ne pouvait parler de procès conventionnel, du moins de son idée de procès conventionnel. Elle n'avait aucune idée, en fait, du déroulement normal d'un procès, mais elle avait plutôt l'impression que les saucisses n'en faisaient pas partie, ni le pain, le fromage, les sucettes et le maïs soufflé, peu importe ce que c'était.

À sa grande surprise, elle vit Philippe se lever et sortir de la salle. Inquiète, elle gardait les yeux rivés sur la porte et poussa un soupir de soulagement lorsqu'elle le vit revenir.
Ses yeux s'arrondirent de surprise lorsqu'il s'approcha avec un pichet et deux godets et qu'il lui en tendit un des deux. Machinalement, elle le prit.

Du vin blanc ! Oh, quelle bonne idée. Ça changerait de l'odeur des saucisse et ferait peut-être partir ses nausées grandissantes, du moins l'espérait-elle. Elle en prit rapidement une gorgée avant de murmurer à son ducaillon.

Merci, tu es un amour.

Et de déposer rapidement un baiser sur les lèvres de son sauveur, oubliant pour le moment qu'elle était à la barre des témoins, jusqu'à ce que la question du procureur la ramène à la réalité.

Et bien, je ne vais pas souvent à la taverne de dame Lauralou, et les rares fois où j'y ai mis les pieds, le comportement de dame Lauralou était correct.
Quant à Antoine, avant la plainte, il était insistant pour nous faire un prêt mais tout de même poli. Ensuite, il venait plutôt demander des explications, aux autres car j'ai eu l'impression qu'il m'ignorait, ou demander à Philippe de retirer son affiche qu'il trouvait trop grosse, ou encore menacer de nous mettre en procès pour diffamation ou je ne sais trop quoi. J'avoue que je ne l'écoutais plus vrai...

Avant même de pouvoir terminer, voilà qu'un autre témoin était appelé.
Elle faisait quoi, maintenant ?
Elle restait là comme un pantin ?
On se moquait d'elle, ou quoi ?

Dites, je peux aller me rassoir si ma réponse n'est pas nécessaire ?

Et Philippe d'en remettre une couche ...

Messire Procureur ! Vous me permettrez de vous rappeler à l'ordre.
Dame Elysabeth a la parole. Je vous prierai de bien vouloir la laisser terminer.
Et de l'écouter jusqu'au bout. Même si le bout est sans doute arrivé.

C'est le monde à l'envers, ma parole !

loquace chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008

Dame Elysabeth, vous avez été citée comme premier témoin, Dame Oce06 attendra que j'en ai fini avec vous.

Ce que je voulais savoir en fait, c'est les supposés gestes qu'auraient subis Dame Eireen en ce lieu commis par le sieur Antoine.

Quant à Dame Lauralou, je suppose qu'elle était présente à ce moment-là. N'a-t-elle eu aucune réaction aux supposés gestes et propos du sieur Antoine ?

Un sourire à son héros de ducaillon, puis elle attendit la réponse à sa question.
Plutôt qu'une réponse, elle entendit, surprise, la question suivante.

Je n'ai pas été témoin de ces gestes, seulement de la peur de Eireen de se retrouver seule avec Antoine. Et ce n'était pas une peur feinte, elle était vraiment paniquée.
Par conséquent, je ne saurais donc dire si dame Lauralou était présente ou pas, ou si elle a eu une réaction.

Elle avait de plus en plus hâte de regagner sa place et un semblant de normalité.

loquace chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008

Je vous remercie Dame Elysabeth, pour ma part je n'ai plus de questions.

Messire Philippe Pygmalion, je vous ferais remarquer que vous n'avez aucune autorité en ce tribunal si ce n'est la défense de votre cliente, alors tenez-en vous à votre fonction d'avocat et non de serveur. Merci.

Invité

Je poussai un petit soupir discret, observant mon avocat du coin de l’œil l’air de dire : C’est normal que le procureur demande un témoin de l’accusé avant qu’on est fini les nôtres ?!

Puis je sursautai légèrement lorsque j’entendis Philippe parler un peu plus fort. J’ouvris grand les yeux me disant que je voudrais pas voir le Comte en colère .. Ca pouvait se compredre, je ne comprenais plus rien moi non plus de la marche et le bon ordre à suivre ..

Je griffonnai rapidement sur un parchemin les noms de tout les témoins qui seraient citer à la barre. Chacun d’eux avaient été témoins de l’un ou l’autre des faits et évènements que j’avais exposé dans mon témoignage. Cela ne signifiait pas que tous avaient été témoins de tous. Ainsi quelques uns avaient été témoins de divers choses mais a divers moments.

Je tendis donc mon parchemin très subtilement vers mon avocat .. me demandant encore pourquoi les témoins de l’accusé commencaient a être demandé à la barre alors qu’on avait toujours pas fini avec les miens …..

Parchemin tendu à mon avocat :

Citation :: En surlignement ceux que je souhaite voir à la barre des témoins. On ne va pas tous les faire venir non plus, on y sera encore à la fin de l'année. Et ca c'est sans compter tout ceux que j'ai oublier par nervosité.

Témoin du la mention du viol :

- Galehaut

Témoin de l’engouement d’Antoine pour ma personne

- Clelia_des_lys

Témoin des mes craintes de me retrouver seul avec Antoine

- Sulfura
- Guillaume_
- Noa de Valfrey
- Elysabeth

Témoin des plaintes d’Antoine pour ses soldes ou pour son insistance pour que je parle à l’Avoyer ou de la raison pour laquelle j'ai fait l'emprunt

- Gabriel_d_ici
- Phonya
- Luc_la_misere

L’Avoyerie qui a reçu le don de 300 écus

-John Edward

Témoin de mes malaises occasionnés par la situation du prêt ou questions et commentaires insistants d'Antoine sur le sujet.

- Philippe_pygmalion
- Garwin
- Elysabeth
- Domenja

Edit Pour modification de : ''J’écartelai les yeux ..'' pour '' J'ouvris grand les yeux ..''

» [RP] Procès contre Antoine pour coups et trahison [en cours]
» [RP] L'affaire Antoine
» [HRP] plainte contre Eireen pour sorcellerie - conversations entre joueurs
» plainte contre Eireen pour TOP - diffamation - faux témoignages - Et tentative escroquerie
» Demande d'inculpation du sieur Antoine pour TOP et escroquerie