16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS]

loquace chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008

Messire John Edward, je vous remercie de votre présence. Il est important pour nous de connaître votre version des faits. Comme vous êtes avoyer, représentant du peuple, nul doute que votre parole est importante pour ce procès aussi je vous écoute.

L'entracte était terminé. D'habitude cela sert à se dégourdir les jambes, vider sa vessie et changer les décors maisi ici aucun décor n'avait changé, on avait juste ouvert quelques fenêtres pour aérer un peu. Et Léo en avait aussi profité pour achter un peu de maïs soufflé.

On avait annoncé la reprise du spectacle, la salle se remplit donc à nouveau de son public et on annonça l'entrée en scène des acteurs. La suite promettait d'être passinnante mais ils allaient devoir faire fort pour être à la hauteur de la première partie.

Les saucisses, mises à l'index, trouvèrent une petit place bien pratique et discrète dans un rouleau de parchemin.

Juste à portée de main ... assez près pour les déguster à deux doigts, en toute discrétion.

Enfin, autant qu'on peut être discret quand on est devant une assemblée ... à savoir quand quelqu'un d'important parlait.

Elle avait reçu le casque avec reconnaissance. Elle n'avait pas eu le temps de le remplir qu'elle avait été appelée à sa grande surprise, à témoigner.
Son tricot déposé à côté d'elle, le casque remplit très berk et menaçant de déborder si d'autres odeurs lui parvenaient aux narines, elle s'était levée puis rassise.

Heureusement, la levée de séance lui avait permis de s'esquiver, prendre qq bouffées d'air frais et faire qq pas pour se détendre.

Elle en profita pour vider et rincer le casque, réprimant qq hauts le coeur, puis retourna dans la salle en tentant de ne pas montrer combien elle trouvait ce procès loufoque malgré les efforts de certains pour le rendre crédible, tenant soigneusement le casque providentiel entre ses mains.

Elle jeta un coup d'oeil reconnaissant à Camy puis Léo -elle avait reconnu sa marque sur le casque- et espéra que les fenêtres resteraient ouvertes et que surtout les odeurs de saucisses et autres nourritures n'envahiraient plus la salle.

Se sentant mieux, elle put adresser un sourire aux personnes qu'elles connaissait puis glissant le casque à l'abri sous son siège, reprit son tricot et écouta la suite.

Mais que fais-je donc faire dans cette ... ? songea-t-elle.
Se résignant, elle continua à tricoter songeant que ce vert émeraude était joli pour une brassière.

as profité de la suspension de séance pour se mettre sur le péron du tribunal avec ses friandises a la chataigne et au chocolat

Palpapal Palpapal qui veut des Palpapal

deux pour le prix de trois vous le regretterez pas

Palpapal Palpapl................

Sembre se leva et de sa voix de basse, couvrit le brouhaha.

Monsieur le Procureur, Monsieur le Juge, j'ai appris que l'accusé persistait, jusque durant ce procès à proférer des menaces à l'encontre de ma cliente. Je souhaiterais que ces troubles cessent et j'aurais en conséquence, des pièces nouvelles à verser au dossier et un témoignage supplémentaire à faire entendre.

Mimique désolée et compatissante en direction du greffier Iskander puis du Juge.

Des rebondissements dans l'affaire en cours ...
Philippe avait en effet eu vent de nouveaux comportements éhontés du prévenu

Il chuchota à l'oreille de sa petite amie :

Ely ? Tu trouves normal, toi, que ce sal... ce co... cet abruti puisse conserver son poste de représentant de la loi, alors qu'il continue à perpétrer des menaces à l'enconte des citoyens ? J'te jure, si il nous menace, je lui en colle une ! J'ai comme une envie de meur... Pfff ...

Phil retrouva son calme en embrassant la belle Elysabeth

Et John se râcla la gorge...

D'abord je serai bref... Cette histoire je ne l'ai pas suivi tel un feuilleton sur papier recyclé genevois... Il a été porté à mon attention qu'un prêt avait été fait de la part de messire Antoine à la mimzelle Eireen. S'en ai suivit qu'à cela il y avait une histoire de robe et qu'il y avait aussi une histoire de don à l'Avoyerie... Vous comprendrez qu'étant donné ma charge d'Avoyer, je ne me suis pas trop souccié des détails de l'affaire mais j'ai plutôt encaissé le don pour soulager les soldes à notre force armée.

Donc de mémoire je serais porté à dire que se fût Eireen qui m'a fait ce don étant donné que c'est elle qui a fait le prêt et ça collerait avec l'impression que j'en ai. Par contre, mes souvenirs de ces dates lointaines sont flous étant donné que je ne suis pas un des principals acteurs de l'affaire. Je n'ai nullement été témoins des histoires de chantage, de bisoutage forcé ni d'amantage truqué... Si vous avez d'autres questions faite... Mais je ne vois pas ce que je pourrais rajouter de plus pour l'heure.

La pause avait fait le plus grand bien, même si l'odeur des saucisses persistait. Et voilà que Luc s'y mettait aussi avec les palpapal...
Elle n'avait jamais été dans un tribunal avant, mais celui-ci lui semblait on ne peut plus inusité.

En chuchotant à son tour, elle répondit à son ducaillon après le baiser.

J'ai pas trop compris pourquoi il était toujours en fonction. Une question de manque d'effectifs, je pense.
Mais effectivement, si il nous menace, je t'aiderai à lui en coller une.

Et elle l'embrassa à nouveau. On ne peut avoir trop d'une bonne chose.

Une question de manque d'effectifs, je pense.

Oui, c'est bien ce qui m'a semblé. La patronne de la police n'est pas là. Du coup, il leur faut quelqu'un pour assumer le rôle. Mais franchement, je trouve qu'il vaudrait mieux aucune police plutôt que ce vil individu. T'imagines ? D'ici à ce qu'il aille arrêter des filles qui font les boutiques pour un prétexte quelconque, qu'il les enferme dans les géôles de la ville et qu'il abuse d'elles ... La seule solution pour elles serait d'avoir des amis qui s'inquiètent et portent plainte. Et t'as vu le temps qu'il faut pour rendre un verdict ? Elles ont le temps de morfler, ses victimes. Si ça se trouve, c'est ce qu'il fait. T'aurais pas des connaissances disparues, des fois ?

Philippe prenait garde à ne pas élever la voix. Heureusement, la reprise du procès ne semblait pas se faire sur les chapeaux de roues. Apparemment, à Genève, il ne fallait pas être trop pressé ...

On va faire un petit tour dehors comme on a dit ? Prendre l'air, se promener une petite heure, boire un verre peinard dans la taverne du coin, puis on revient ... Elle est tentée, ma tentatrice ?

loquace chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008

M. je Juge,

Pourrions-nous poursuivre ce procès ? Messire l'Avoyer a témoigné comme convenu et il me semble que certaines personnes s'impatientent.

Car que nous restent-ils comme témoins à produire ?

Personnellement, je ne vois pas qui nous pourrions entendre, à moins que ces personnes se manifestent rapidement tant du côté de la victime que du prévenu.

[J'suis désolé si ca traine, mais je me demande comment je suis censé faire... Si j'avance trop vite, les gens râlent car ils ont pas le temps de s'exprimer. Si je traine, les gens râlent parce que ca va pas assez vite... Drôle de monde tout de même...]

Regardant Garwin:

- Nous avons repris! C'est toujours pareil depuis tout à l'heure... Je ne sais si Sembre à envie d'entendre d'autres témoins, mais c'est a lui et a lui seul de nous dire quand il a terminé. Ensuite, et seulement ensuite, je pourrai passer à la défense. Si nous n'écoutons pas tout le monde, c'est un vice de procédure.

Regardant Sembre:

- Avez-vous d'autres personnes à entendre, Sembre?

Monsieur le Juge, j'ai donné la liste de Dame Eireen au greffier, ma cliente ayant noté ce qu'avaient pu voir les divers témoins. Je puis la reprendre si vous le voulez. Je souhaiterait qu'y soit ajouté une certaine Sisi420 , qui ces derniers jours en taverne a entendu le dénommé Antoine espérer la mort de ma cliente. Cela fait beaucoup.

J'aurais au nom de la défense trois questions importantes à poser à notre avoyer si vous l'autorisez. Je les expose :

- Mon cher John, que penses-tu de l'idée de banque de l'accusée ? Est-ce que tu ne proposerais pas dans ce cas, la création d'une compagnie bancaire analogue à ce que fait la Compagnie du Léman pour le commerce c'est à dire assise sur un ensemble de participants et agréée par la Mairie plutôt que relevant de l'intiative d'un seul pratiquant des taux usuraires ?

- La seconde tient à l'insistance d'Antoine à réclamer le versement des traitements et salaires de sergent : est-ce coutume à Genève qu'il y ait une telle insistance ou les gardes, miliciens s'accommodent sachant qu'ils oeuvrent pour le bien commun en étant là ?

- La troisième tient au don effectué à la République. Est-ce que tu te souviens si le don t'a été remis par Antoine ou par Eireen et si c'est par Antoine, s'il t'a explicitement précisé que cela venait d'Eireen et non de lui ? Je sais que l'Avoyer est tellement sollicité que cette affaire est mineure mais elle peut, en l'occurrence avoir une importance pour la vérité judiciaire.

L'avocat passa la main dans sa crinière blonde et se rassit, se tournant vers sa cliente l'air rassurant.

Invité

Un temps de pause avait été demandé, je profitai donc de cet instant pour me rendre auprès de Clelia et Galehaut. Je leur adressai un faible sourire, faible en conscience qu’il s’agissait là d’étrange circonstance pour des retrouvailles. Puis je pris une grande inspiration pour reprendre un peu de courage intérieur et retourner sagement m’asseoir auprès de mon avocat, songeant qu'une fois ce calvaire fini, je pourrais avoir guise d'apprécier un peu mieux leur retour. J’avais pu entendre quelques expressions qui provenait de l’extérieur, j’eu l’impression de reconnaitre la voix de Luc .. mais lorsque j’entendis ''Palpapal Palpapal qui veut des Palpapal'', je ne pu qu’être certaine qu’il s’agissait bien de lui.

La séance me paraissait être une éternité bien qu’en réalité, elle avait débuté que depuis quelques temps à peine. Les témoignages se poursuivirent, je les écoutai tout autant les uns que les autres, et ce tout en silence. J’observai discrètement la liste des témoins, donc était passé Philippe, Elysabteh, John .. il ne manquait plus que Phonya, Galehaut, Clelia, Domenja .. et la dernière Sisi420.

C’était tout bonnement essentiel que chacun puisse apporter le témoignage de ce dont il avait été témoin puisque chacun avait été témoin d’un fait ou l’autre dans mon attestation de ce qui s’était produit depuis les deux derniers mois. Je me sentais fort apaisé du calme et du regard rassurant de mon avocat et je le laissai poursuivre en écoutant attentivement les questions qu’il posa à l’Avoyer. Je ne comprenais plus très bien le procureur par contre car .. peut-être que de son côté n’avait-il plus de questions à poser ou de témoins à recevoir, n’en demeurait pas moins qu’il en revenait effectivement à mon avocat, et à lui seul, de décider de cela pour ce qui me concernait. Fort heureusement, le juge avait bon ton pour rappeler à l’ordre ..

Je me permets d'intervenir. Je ne souhaite pas interrompre inutilement. Cependant, je crois que nous nous éloignons. Ce que dit Maître Sembre est sûrement intéressant, mais ce n'est tout simplement pas le moment, ni le lieu.

Seule la dernière question est de mise, mais l'Avoyer John a déjà répondu à cela.

Puisque je parle, je vais faire une demande à l'accusation. Serait-il possible que vous nous disiez clairement sur quels axes le procès se mènent pour vous. Pour le moment, cela part dans tous les sens. Alors, pour limiter ma réponse en taille, j'ai besoin de vos grands thèmes d'accusations afin de répondre à cela sans me disperser moi-même.
A ce que je comprends, l'ennuie gagne la salle. Alors un document de synthèse aiderait sûrement tout le monde qui a oublié la plupart des témoignages, du moins, je ne puis plus me souvenir des timbres de voix et n'ai qu'un tas de feuilles pour me rappeler les témoignages.

Je puis vous redonner la liste.

Citation :: En surlignement ceux que je souhaite voir à la barre des témoins. On ne va pas tous les faire venir non plus, on y sera encore à la fin de l'année. Et ca c'est sans compter tout ceux que j'ai oublier par nervosité.

Témoin du la mention du viol :

- Galehaut

Témoin de l’engouement d’Antoine pour ma personne

- Clelia_des_lys

Témoin des mes craintes de me retrouver seul avec Antoine

- Sulfura
- Guillaume_
- Noa de Valfrey
- Elysabeth Entendu(e)

Témoin des plaintes d’Antoine pour ses soldes ou pour son insistance pour que je parle à l’Avoyer ou de la raison pour laquelle j'ai fait l'emprunt

- Gabriel_d_ici
- Phonya
- Luc_la_misere

L’Avoyerie qui a reçu le don de 300 écus

-John Edward Entendu(e)

Témoin de mes malaises occasionnés par la situation du prêt ou questions et commentaires insistants d'Antoine sur le sujet.

- Philippe_pygmalion Entendu(e)
- Elysabeth Entendu(e)
- Domenja

Témoin des souhaits ou espoirs d'Antoine de voir mourir Eireen.
- Sisi420

Aussi pour entendre les témoins je crois qu'il faut procéder en deux phases : ce qui a trait au prêt, aux éléments matériels, à la cupidité d'Antoine et aux diverses angoisses d'Eireen j'appelle à la barre, dans l'ordre qui leur conviendra, Phonya Messires Luc la Misère et Gabriel d'ici et Dame Domenja quand elle reviendra de retraite.

Dans un deuxième temps, j'inviterai les témoins ayant à rapporter les faits qu'ils ont observé de connotation grivoise et sexuelles commis par Antoine à l'encontre de ma cliente, ainsi que les effets et les troubles produits sur Eireen. Il s'agit de Dame Sulfura et Clelia des Lys ainsi que de Messires Noa de Valfrey, Galehaut et Guillaume.

Enfin, il faudra ouïr ce qu'à à nous dire Dame Sisi420 quant à des réflexions s'apparentant à des menaces et invocations de mort, commises tout récemment par Antoine.

Suis je clair, Monsieur le Juge ? Le défilé des témoins peut il commencer ?

On va faire un petit tour dehors comme on a dit ? Prendre l'air, se promener une petite heure, boire un verre peinard dans la taverne du coin, puis on revient ... Elle est tentée, ma tentatrice ?

Et la tentatrice de murmurer en retour :

Quelle merveilleuse idée. Ça changera de l'odeur de saucisses et autres. Et puis, je pense pas qu'ils aient encore besoin de nous, non ?

Discrètement, afin de ne pas déranger ~~le cirque~~ les procédures en cours, le couple s'éclipsa.

hrp: je suis absente jusqu'au 9 ou 10 mars.

Andaevinn sourit, soulagé: la loi de genève ne l'autorisait pas à écourter ou dicter ses volontés au tribunal, par contre la proposition de Sembre était aussi claire qu'intelligente.

- Allons-y Maître. C'est parfait.

Hem ... j'appelle qui quand quoi ?

Regardant Iskander:

- Vous n'appellez rien. Ces gens ont déjà été convoqués. S'ils ne se présentent pas, vous pouvez éventuellement les siffler!

Puis, consultant la liste:

- Sauf cette Dame Sisi420, qui elle n'a pas été convoquée encore.

Tente de siffler un peu puis ... un regard au juge ... et se met à gribouiller une belle lettre de convocation, en croquant une saucisse ... ou deux ... ou trois.

(HRP : ça prend du temps, une belle lettre, tard ce soir sans doute)

Citation :: Dame Sisi ...

C'était un bon début, mais, bon ... cela manquait d'air.

Citation :: Votre Majesté impériale ...

Hum ... peut-être un peu exagéré.

Citation :: Dame Elisbeth ...

Oui, c'est bien cela.

Citation :: A Dame Elisabeth, dicte Sisi420,

Par la présente ... blabla bla

Zut ... pâté ... nouveau parchemin, on reprend.

Citation :: A Dame Elisabeth, dicte Sisi420

Dame Elisabeth,

Par la présente, à la demande du Juge Andaevinn, du tribunal cantonal de la République libre de Genève, je vous invite à venir relater des actes, gestes, paroles et humeurs dont vous avez été la témoin relativement au litige qui oppose Dame Eireen au sieur Antoine, directement liés à celui-ci ou permettant de jeter une nouvelle lumière sur celui-ci.

Vous pouvez vous faire assister d'un avocat dans cette démarche. Etant donné que tous les avocats de Genève sont déjà plus ou moins impliqués dans cette affaire, il vous faudra sans doute en trouver un qui ne soit pas trop décati et qui soit encore sain d'esprit, à l'ouïe acérée et pas trop verbeux, qui pourrait vous conseiller. Enfin, en somme, vous en avez le droit, nous avons tous ceux qui nous restent. Si vous en choisissez un, prenez bien soin de lui, que les maladies de fin d'hivers ne l'emportent pas. Une paire de mitaine, une bonne écharpe, un bonnet épais et un peu de vin chaud épicé devraient le tenir suffisamment alerte.

Je vous prie de croire, Dame Elisabeth, à l'assurance de ma parfaite considération.

Fait à Genève le premier mars 1460,

Iskander
Greffier de Justice au tribunal cantonal de la République libre de Genève

(HRP :adresse du jour : ici )

Et hop, c'est parti mon kiki ... pardon ... Monsieur le Juge !

Hum ... apprendre à siffler maintenant, avec discrétion et distinction ...

Ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petits riens, ça se chante ça se danse ...

Euh ...

Tiens, voilà mon pigeon qui revient, avec une réponse ...

Citation :: Expéditeur : Sisi420
Date d'envoi : 02/03/2012 - 08:23:45
Titre : Re: Convocation au tribunal cantonal de la R&eacut

Bonjour messire le greffier,

Tout d'abord je me nomme Sisi et non Elisabeth,de un.

Ensuite,je ne vois pas en quoi je devrais témoigner,je ne les ai jamais rencontré ensemble à moins que la mirabelle me l'ai fait oublié,ce qui est fort possible meme si je suis au courant de leur différent.

Et pour finir,je suis en voyage pour au moins encore deux mois avec mon mari et je ne compte pas du tout rebrousser chemin.

En espérant une bonne issue à ce jugement pour Antoine que j'apprécie,
Bien à vous,

Sisi.

Oh ... comme c'est gentil ! Elle a répondu ! Monsieur le Juge, nous avons reçu une réponse !

Regardez, tenez, lisez !

Euh ... non, je vais vous lire.

Et de prendre une voix adéquate

"Expéditeur : Sisi420
Date d'envoi : 2 mars 1460
Titre :Réponse à la Convocation au tribunal cantonal de la R...."

Hem ... c'est un peu abimé par la route ...

Donc ...

"Bonjour messire le greffier,"

C'est gentil hein !

"Tout d'abord je me nomme Sisi et non Elisabeth,de un."

Hum ... bon, je noterai cela pour les prochaines fois.

"Ensuite,je ne vois pas en quoi je devrais témoigner,je ne les ai jamais rencontré ensemble à moins que la mirabelle me l'ai fait oublié,ce qui est fort possible meme si je suis au courant de leur différent.

Et pour finir,je suis en voyage pour au moins encore deux mois avec mon mari et je ne compte pas du tout rebrousser chemin."

Évidemment, ça n'arrange rien.

" En espérant une bonne issue à ce jugement pour Antoine que j'apprécie,"

Pouvons-nous dire qu'il s'agit d'un témoignage en sa faveur ?

"Bien à vous,

Sisi."

C'est gentil tout plein, hein ?

Regardant iskander avec un demi sourire:

- Messire Sembre, on dirait que votre témoin n'a pas autrement envie de se présenter à la barre, et étant à l'étranger, je ne suis pas en mesure de la forcer à revenir! Souhaitez-vous renoncer à son témoignage?

chez moi : Ici qualité particulière : Evidemment inscription le : 02/03/2012

Guillaume entra dans la bâtisse, ayant demandé où se déroulait le procès à tous les pécores qu’il avait croisé… Enfin il y arrivait ! Il s’avança dans la salle et regarda autour de lui, impressionné de voir autant de monde et reconnaissant quelques têtes –ainsi qu’une odeur de saucisse..- et s’avança directement à la barre, pour une fois qu’il allait à un procès et qu’il n’était pas l’accusé.. :

-Salut tout l’monde, pour ceux qui m’connaissent pas j’suis Guillaume… Bon apparemment faut que j’témoigne, donc posez moi des questions et j’me f’rais un plaisir d’y répondre..

Puis il s’accouda à la barre en attendant.

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