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| 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] | |
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+22Domenja sylphael Noa gabriel woodland Guillaume luc la misère John Edward Oce6 Elysabeth bloudas clelia philippe_pygmalion Personne lauralou leo Antoine Cameliane SembreEnDevant Freng Akhilleúsyon Garwin Andaevinn Iskander 26 participants | |
Auteur | Message |
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Cameliane Bourgeois
chez moi : Dans les bras de son époux. Ou à genoux devant lui. Pour lui emberlifiquoter ses lacets. qualité particulière : Capitaine de l'Edelweiss inscription le : 07/08/2009
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 2:52 | |
| Une chose à éviter à tout prix - pourtant elle le savait - ne jamais être assise aux côtés de Léo quand il a faim. Un homme ça doit manger, sinon il ne tient pas en place. Et Léo ne faisait pas exception à la règle. Chose amusante tout de même, elle aimait bien qu'un homme mange bien. Sauf des choses croustillantes et qu'il fallait prêter attention à ce qui se disait alentours. Il avait beau mâcher doucement, le maïs ne se laissait pas faire comme ça. Ses côtes ressentirent le coude de son frère, elle pencha son oreille vers lui et rougit comme une pivoine en écoutant ses paroles...
- Léo !! Tu...m'enfin...
Il n'épargnait jamais sa pruditioude.
- Non merci Léo, c'est gentil mais je n'ai pas faim... je ne sais que penser de toute cette affaire... il y a quelque chose de... je sais pas... comme quelque chose qui sonne faux...
Sourcils froncés, elle regardait les gens qui intervenaient dans cette affaire désolante pour chacun.
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| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 3:24 | |
| Dame Eireen, je sais que vous vivez des moments douloureux mais je dois faire avancer ce procès. Et quelques questions, non rassurez-vous, rien de grave, me trottinent dans l’esprit. C’est ainsi que je me demande si le sieur Antoine ne vous a pas hypnotisé, comme le félin qui attend sa proie. Aviez-vous l’impression d’être sous son charme ? Dans l’affirmative, vous, une faible femme, c’est bien cela Dame Eireen, avez succombé à ses avances. Ainsi, le sieur Antoine pourrait être ce prédateur, prêt à bondir sur sa proie.
Mais une chose me choque, Dame Eireen, pourquoi n’avez-vous pas dès le début de cette rencontre forcée, éviter de le voir en taverne. Si les faits étaient répétitifs, pourquoi vos amis présents en taverne ne sont pas intervenus ? Etiez-vous amoureuse du sieur Antoine ? Vous savez, je comprends votre situation, vous vous êtes laissée dominer par cet ignoble séducteur. J’aimerais tellement vous aider, mais si nous voulons avancer, il nous faut des preuves solides.
Une dernière chose et ceci afin de vérifier l’emploi du temps du prévenu, pourriez-vous me dire les jours où celui-ci est venu chez vous pour vous importuner ? Je vous remercie Dame Eireen. Prenez bien soin de vous. Une dernière question, quelle serait selon vous, le châtiment que vous réserveriez à ce genre d’individu ? | |
| | | Freng Akhilleúsyon loquace
chez moi : Lausanne qualité particulière : Maître du monde inscription le : 06/08/2010
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 9:21 | |
| Freng n'appréciait pas particulièrement de devoir essayer de casser l'image des autres. Mais cela s'imposait. Avec seulement ce discours, il aurait mérité la pendaison. Quoi qu'il n'avait rien en particulier contre Eireen, son devoir l'appelait à la plus grande sévérité à son égard. C'est pourquoi il fronçait les sourcils à chaque instant et plus encore quand elle parlait de détails en contradiction avec ce qu'Antoine lui avait dit. Il observait aussi attentivement son expression corporel. Il se faisait des réflexions sur l'épisode de la sucette. Freng trouva le geste assez déplacé après des descriptions salaces. Il voyait bien que certains ne se tenaient qu'avec difficulté. Franchement! voir aussi un distributeur de saucisse! Ha! mais certains n'avaient donc aucune morale... Quoi qu'il se dit qu'il avait faim finalement. Snif! il avait pris des parchemins innombrables, mais de quoi manger! Et non! il ne s'abaisserait pas à manger du parchemin. Cela risquerait bien de le faire déconsidérer et ce n'était pas là chose qu'il lui fallait. Il prit alors à regarder Gertrude la plante verte. Freng avait hésité à prendre Jean-Jacques le furet. Mais si la sympathique bestiole s'était pris d'envie de croquer du mollet, cela lui eut causé tort. Gertrude était verte et silencieuse. Qu'elle délice d'avoir une personne qui vous écoutait ainsi!
Toujours est-il que notre charmant moustachu chuchota quelques mots à la victime - en avocat zélé, Freng appelait Antoine victime de ce procès. Ensuite, il nota deux ou trois informations, reçu une lettre de la femme de l'accusé. Il ne voyait pas pourquoi il refuserait de la représenter et répondit laconiquement afin de pouvoir suivre le procès en toute quiétude.
Il vit aussi - quel observateur, entre la sucette, la plante verte et son client - qu'Antoine s'énervait. Il lui murmura quelques formules réconfortantes telles que :
"Ne t'en fais, nous montrerons ses mensonges" ou "As-tu vu le match hier?" Hein? mais non, il n'a pas pu dire la dernière phrase. La dernière compétition de soul était il y a longtemps! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 15:40 | |
| Elle était bonne la sucette ! D’abord parce que c’était rassurant et en plus ca avait bon goût. Mais lorsque le procureur s’adressa à moi, je l’a retirai timidement pour l’a ranger .. histoire de l’a terminer un peu plus tard. Tu parles d’une idée d’offrir des sucettes en plein tribunal .. ! J’écoutai attentivement ses propos puis je me contentai d’acquiser d’un petit geste de la tête en guise d’approbation. Le juge lui accorda l’autorisation de poser ses questions, ainsi je demeurai tout aussi attentive à la suite du déroulement bien que j’étais tout autant nerveuse. C’était bien ca le soucis .. Tout les regards étaient braqué sur moi tentant de voir le moindre de mes gestes et réaction et après ils nous disaient : Dénoncez-les !!! Bah oui, c’était à se demander pourquoi les victimes d’ordinaires gardaient le silence aussi longtemps .. Je conservai mes mains jointes sous ma poitrine, le plus droiement que possible. Je ne me sentais vraiment pas bien, mieux valait que j'évite de trop bouger pour ne pas perdre connaissance.
'' Dame Eireen, je sais que vous vivez des moments douloureux mais je dois faire avancer ce procès. Et quelques questions, non rassurez-vous, rien de grave, me trottinent dans l’esprit. C’est ainsi que je me demande si le sieur Antoine ne vous a pas hypnotisé, comme le félin qui attend sa proie. Aviez-vous l’impression d’être sous son charme ? Dans l’affirmative, vous, une faible femme, c’est bien cela Dame Eireen, avez succombé à ses avances. Ainsi, le sieur Antoine pourrait être ce prédateur, prêt à bondir sur sa proie.''
- Lorsque j’ai rencontré le sergent au cours des premières fois, il était gentil et d’agréable compagnie. Il me faisait rire, il était drôle et il aimait me voir rire. Je voyais donc en lui, à ce moment là, une personne en qui je pouvais avoir confiance, d’abord parce qu’il était Sergent et puis aussi car il avait une compagne. Je ne voyais pas bien au début comment de simple bise ou petite attention aurait pu se transformer en un véritable tourment. Je croyais qu’il agissait pour me protéger en quelque sorte et pour me témoigner une amitié honnête, pure et sincère. Je n’ai pas eu l’impression d’être sous ses charmes puisque je voyais Antoine comme .. euhh ..
Je cessai de parler un instant, cherchant la manière poli de le dire un peu mieux. Je m’éclairci un peu la voix, mal à l’aise de dire la suite mais je me devais tout de même de le dire puisqu’il s’agissait là de la vérité.
- Je voyais Antoine comme un ami gai. Il entretenait une relation à l’époque avec un homme et ainsi je me disais que je n’avais rien à craindre d’un homme qui aimait aussi les hommes. C’est donc sur cette optique que je ne pouvais imaginer ses gestes de la même manière que s’il avait s’agit d’un homme un peu plus viril par exemple. Lorsqu’on considère un homme comme son ami gai, on ne porte pas la même attention aux gestes qu’il peut poser à notre encontre. Ainsi oui, je dirais que je me suis sentie hypnotisée, engourdie par l’idée que s’il m’embrassait sur la joue se n’était pas bien grave .. il était mon ami gai. Je n’ai donc aucunement succombé à un quelconque charme de sa part, ce n’est pas vraiment le genre d’homme qui pourrait me plaire.
'' Mais une chose me choque, Dame Eireen, pourquoi n’avez-vous pas dès le début de cette rencontre forcée, éviter de le voir en taverne. ''
- Je suis tavernière à la Part du Lion. Ainsi mon emploi consiste à passer du temps en taverne pour servir les clients et entretenir les lieux, avec le sourire le plus que possible. Je me dois d’être présente régulièrement et je craignais de perdre cet emploi auquel je tiens tant. Le nombre de chope ingurgités en taverne par les clients en une journée peut parfois être impressionnante car c’est moi qui le soir passe de longues heures à toutes les nettoyer et à les ranger sur les tablettes pour le lendemain. Avec le nombre de voyageurs qui passent, le soir il est essentiel de remettre la taverne en un état de propreté. Et avec ces sapins qui semblent vouloir prendre domicile définitivement en nos tavernes, on retrouve des épines séchés à des endroits si inusité que vous ne pourriez vous imaginez le temps que cela prend pour toutes les ramasser.
- Au fil du temps, voyant que ses gestes et paroles devenaient plus prononcés, je m’arrangeais pour ne plus sortir seule. Ainsi le soir, j’entrais en taverne s’il y avait d’autres gens autours. Cela évitait qu’il apparaisse déplacé. Je rentrais ensuite avant que les tavernes se vident entièrement pour éviter de me trouver seule avec lui. Il n’aimait cela, lorsque je quittais il disait toujours : '' Déjà ? '' Je n’avais du tout envie de rester là suivant le départ d’autres gens présents puisque tout ce qu’il attendait était de se retrouver seule avec moi.
''Si les faits étaient répétitifs, pourquoi vos amis présents en taverne ne sont pas intervenus ? ''
- Bien que je n’avais pas parlé de la situation précisément de crainte que l’on me juge ou de porter préjudice à son couple, plusieurs gens ont été témoins de l’insistance d’Antoine et de son obsession de moi. Plusieurs on réagit aussi sans que j’ai eu besoin d’expliquer quoique ce soit, c’était assez évident parfois.
- Lorsqu’il m’a menacé de viol et qu’il m’a prise de force sur ses genoux, mentionnant que je ne pourrais porter plainte, Galehaut était présent. Il s’est emporté contre lui, forçant Antoine à me lâcher, puis il l’a giflé fortement car il trouvait que son comportement vis-à-vis de moi était inopportun. Galehaut m'a ensuite raccompagné chez moi.
- Le lendemain, en taverne, Sulfura a pu constater à quel point Antoine était collant et toujours après moi. Elle n’aimait pas cela puisqu’elle voyait que cela m’importunait. Elle lui a poliment demandé de me laisser tranquille et qu’il était insistant à mon égard.
- Un autre soir, j’ai quitté la taverne de la Part du Lion, car Antoine devenait une fois de plus trop insistant, je me suis donc rendu à la taverne de Guillaume. Celui-ci avait également constaté à l’occasion qu’Antoine était soutenu à mon égard. Je me souviens des paroles qu’il a eu ce soir là : '' Peut-être lui faudrait-il autre chose que la parole pour qu’il comprenne ? ''
- Une autre fois, un voyageur est arrivé en notre Canton, Noa de Valfrey. Il voyait la manière dont Antoine agissait avec moi et il a constaté mon malaise également. Je me souviens de ce qu’il m’avait chuhoté : '' Vous voudriez que je reste ici jusqu’à ce qu’il parte ? '' Et j’avais acquiescé de la tête. Noa s’est aussi rendu compte à quel point Antoine souhaitait vouloir rester seul avec moi. Ainsi, il est donc resté jusqu’à ce que le sergent quitte, puis ensuite nous sommes rentrés, il m’a gentiment raccompagné.
- Un jour, une amie à moi se trouvait en taverne et nous discutions tranquillement. Il s’agit de Dame Clelia Woodland. Nous discutions de chose de jeune femme lorsqu’Antoine est entré. Il s’est montré déplacé dans ses propos à mon encontre et elle trouvait que pour un ami il était pas mal collant, telle qu’elle me l’avait elle-même dit. Elle s’est rendu compte que je n’étais pas à l’aise, elle donc rester avec moi le temps qu’Antoine quitte et ce sans que je n’ai a le demander.
- Puis encore une autre fois. Nous nous trouvions en taverne, Dame Clelia, Sieur Gabriel Woodland et quelques autres dont je n’ai pas souvenir exactement, nous discutions sur le sujet de l’amour. Comment une jeune femme pouvait t-elle savoir si elle est en amour ?! Ainsi, tout le monde était en convenance et donnait son point de vue mais Antoine ramenait inlassablement le sujet d’une manière à caractère sexuel. Et je me souviens que ce soir là, j’étais assise derrière le comptoir de la Part du Lion et Clelia a changé de place ainsi que Gabriel pour venir m’entourer. Ils ont bien remarqués à quel point Antoine semblait obséder par le sexe et qu'il s’empressait toujours de venir prendre la première table non loin du comptoir pour se trouver non loin de moi. Ce soir j’étais soulagée que des gens s’en soient rendus compte et qu’ils aient pris d’avance les places qui m’entouraient.
'' Etiez-vous amoureuse du sieur Antoine ? ''
- Non, aucunement ! C’est Antoine qui était amoureux de moi, il me l’a d’ailleurs mentionné à deux reprises. Ce pourquoi il insistait à ce que je sois sa maitresse secrète.
'' Vous savez, je comprends votre situation, vous vous êtes laissée dominer par cet ignoble séducteur. J’aimerais tellement vous aider, mais si nous voulons avancer, il nous faut des preuves solides.''
Je me tus, acquiesçant d’un geste de la tête à cette affirmation, il fallait bien poursuivre et j’en étais consciente, aussi douloureux pouvait être tout les mauvais souvenirs passés de l’affaire en cours.
'' Une dernière chose et ceci afin de vérifier l’emploi du temps du prévenu, pourriez-vous me dire les jours où celui-ci est venu chez vous pour vous importuner ? ''
- La toute première fois, ce fut dans la semaine du 15 au 21 janvier. La semaine suivante de l’emprunt plus précisément. Si je ne m'abuse, il s'agissit de deux jours suivant son mariage (ig) avec Dame Bloudas. Je m’en souviens qu’il était marié car lorsqu’il est arrivé chez moi, j’étais terrifié et je lui ai demandé de rentrer chez lui trouver sa femme. J’étais aussi en colère et je lui ai demandé : ''Que penserait ta femme de te savoir ailleurs en ce moment ? '' Et il m’a répondu : '' C’est pour ca que je dors parfois dans l’autre chambre. Ca laisse le temps à Bloudas de moins s’énerver si je rentre le matin.'' Et j’ai du utiliser le fait que l’Avoyer habitait juste en face pour le dissoudre d’entrer chez moi. Je ne suis pas bien fière d’avoir du cité notre Avoyer pour qu’il parte mais c’était le seul moyen de lui faire comprendre qu’il n’avait lieu d’être chez moi à une heure aussi tardive.
La deuxième fois, c’était juste avant mon départ pour St-Claude, la veille du 29 janvier.
'' Je vous remercie Dame Eireen. Prenez bien soin de vous. Une dernière question, quelle serait selon vous, le châtiment que vous réserveriez à ce genre d’individu ? ''
- Je n’ai aucune intention malsaine à l’intention du Sergent. Tout ce que je souhaite s’est qu’aucune autre jeune femme ne se retrouve prise au piège et coincé dans la même situation que celle que j’ai vécu. Je souhaiterais aussi qu’il prenne conscience de l’importance des liens du mariage et la fidélité qu’il se doit d’avoir envers son épouse. Tout ce que je demande Messire le procureur soit de terminer de rembourser les 300 écus de départ que j’ai emprunté et qu’il cesse d’agir de la sorte avec moi.
A ce jour, j’ai 295 écus de rembourser, il ne me reste que 5 écus pour attendre les 300 écus, le montant du don plus précisément.
Je voudrais qu’il réalise tout le mal et la pression qu’il m’a fait subir. La perte de qualité de vie que j’ai eu durant ce temps et même encore aujourd’hui. Je suis craintive, je n’ose plus sortir seule, et j’essai tant bien que mal de m’alimenter un peu mieux.
Je voudrais qu’il comprenne que ce qu’il a fait est mal.
Je sentais encore mes yeux qui s’embuaient, j’étais blessé au plus profond de mon être, la honte de ne pas en avoir parlé plus tôt. Je me gardai de cligner des yeux, je ne voulais pas pleurer de nouveau, je demeurai donc ainsi devant le juge et le procureur, complètement figée, la honte de ne pas avoir mentionné tout cela à sa femme, la crainte prégnante qu’on ne me croit pas. |
| | | clelia
chez moi : conflans qualité particulière : sans inscription le : 18/02/2012
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 16:45 | |
| Elle entra dans le grand bâtiment, majestueux mais froid, un tribunal n’était jamais guai, ni chaleureux … Elle déposa son casque et ses armes a l’entrée. Et marcha d’un pas lent, parcourut des yeux les numéros inscrite sur les portes, afin de ne pas ce tromper, Elle releva sa capuche qui lui couvrait à demi son visage pour mieux lire, Toutes ses portes,…elle y était presque,.... Elle traversa le grand couloir, croisant des personnes qui cherchait comme elle d’autres salles pour d’autres affaires … Elle repensa aux indications que lui avait données son amie, salle d’audience…, concernant tel affaire…. Voilà, c’était là…, elle poussa la porte doucement, s’arréta un instant, regarda discrètement les personne présente, le procès était bien avancé, Elle vit son amie de dos, au premier rang.. Qu’elle endroit étrange pour des retrouvailles … elle aurait préférer une taverne, un endroit plus chaleureux devant une bonne choppe de bière.. Elle devait attendre un pause pour allez la saluer, Elle était là pour la soutenir, l’aider dans cette épreuve..De par sa présence … Elle repensa au pli d’Eir, lui expliquant pourquoi elle ce retrouvais en ce lieu, Pourquoi n’était t’elle pas surprise par l’accusation porté sur Antoine, elle l’avait plusieurs fois croisé en taverne devant une choppe avec Eir et d’autres, Elle avait remarqué les gestes et les paroles d’Antoine envers son amie, méme avant son mariage avec bloudas.. Elle avait même trouvé bizard le comportement de celui-ci qui n’avait pas changé même âpres son mariage, Au dernier rang elle reconnut la cape qu’elle avait offerte à un ami qui partait sur les chemins parcourir le royaume, Elle s’approcha de lui sans bruit posa sa main sur son épaule, pris place a ses coté sans dire un mot, ecoutant Eir répondre aux questions , | |
| | | Cameliane Bourgeois
chez moi : Dans les bras de son époux. Ou à genoux devant lui. Pour lui emberlifiquoter ses lacets. qualité particulière : Capitaine de l'Edelweiss inscription le : 07/08/2009
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 17:16 | |
| Elle écoutait... concentrée... et tentait d'imaginer les scènes... Jamais en vingt trois années de vie un homme ne l'avait embêtée à ce point là, et toutes les fois où un homme lui faisait des compliments un peu trop appuyés, elle quittait immédiatement la taverne. Une femme doit savoir se mettre à l'abri et ne laisser personne souiller sa réputation.
Quelques murmures à l'oreille de son frère, trop de choses lui échappaient...
- Léo... je ne comprends pas certains mots, comme piscologique, enfin un mot comme ça, et pourquoi dit-elle qu'Antoine est gai et que ce n'est pas le genre d'homme qui lui plait ? Antoine est gai et joyeux, c'est pour ça qu'il est assez apprécié, même s'il s'emporte de manière parfois exagérée.
Son sang ne fit qu'un tour lorsque Eireen expliqua un détail sur Antoine. Elle faillit se lever et parler avant que cela n'aille trop loin... Cela ne regardait personne... Toute l'horreur de la situation lui apparut soudainement. C'est tête baissée qu'elle se rendit compte d'une chose...
Certaines personnes aime faire du mal, le provoquer, et ne font rien pour l'empêcher...
Des brouhahas dans la salle lui firent lever la tête. Ici à Genève, il est des choses à ne pas dire, à ne pas faire. Eireen n'avait pas encore appris qu'elles étaient ces choses là... Et elle risquait de s'en mordre les doigts si elle ne les apprenait pas très vite.
Mâchoires serrées, elle sortit une gourde de son panier et la proposa à Léo.
- C'est du cidre breton... | |
| | | Iskander loquace
chez moi : Transhumant qualité particulière : sans inscription le : 13/12/2010
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 17:34 | |
| Retourner les saucisses ... puis écouter un peu ... beaucoup ...
Il y avait des paroles ... paroles ... humeurs ... des choses.
Des faux pas ... des fausses notes.
Comme le son d'une cloche fêlée.
Je retirai précipitamment les saucisses du feu pour qu'elles ne brûlent pas, puis écoutai encore.
Après les paroles, il y eut le silence. | |
| | | Andaevinn badaud
chez moi : Genève - Confédération Poissonière Helvétique qualité particulière : conseiller municipal inscription le : 16/11/2010
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 19:28 | |
| Andaevinn regarda Sembre:
- Il y a-t-il certains autres témoins que vous voudriez faire entendre à la cour? Ou puis-je demander à Messire Antoine ou à son avocat de présenter sa version des faits? | |
| | | bloudas
chez moi : Geneve qualité particulière : conseillé inscription le : 10/11/2011
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 19:38 | |
| Ayant avoir recu la lettre du greffier. Elle se rendit donc a la cours a son tour. Bien sûr qu'elle appuierait son époux.
Elle s'installa a un banc attendant qu'on la demande. | |
| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 21:07 | |
| M. je Juge, je n'en ai pas terminé, j'ai encore quelques questions à poser à Dame Lauralou ainsi qu'au prévenu
Puis rappelant Dame Eireen.
Vous dites que le sieur Antoine était gai et qu'il fréquentait un homme ? Mais quel rapport avec votre relation ? Veuillez m'excuser Dame Eireen, mais je voudrais comprendre. Savez-vous Dame Eirren que vous portez en tant que victime de graves accusations contre la sieur Antoine, qui pourrait être considéré comme un sodomite. En avez-vous conscience et quelles sont vos preuves ? Dame Eireen, je suis là pour vous aider or, malgré votre plainte, vous évoquez les faits et gestes de votre ami Antoine. Ainsi donc, vous le connaîtriez bien plus que ce que vous nous avez dit, n'est-ce pas ? | |
| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 21:31 | |
| Dame Lauralou, vous présentez cet homme, Antoine, en quelques mots. Et pourtant, vous le trouvez sympatique. dès la premier pas franchi dans votre taverne. Un client de plus, c'est un ami de plus, non ? J'espère que vous avez de bonnes raisosns de penser que le sieur Antoine est innocent de ce que l'on accuse. Or, hier soir, je me suis rendu dans votre taverne, et j'ai constaté que vous étiez ivre. Et quand j'ai voulu offrir une tournée générale, les fûts étaits vides. J'en déduis que votre taverne serait peut être un repère d'alcooliques dont vous faites partie.
M. le Juge, en fonction des éléments cités, je demande le retrait en tant que témoin de Dame Lauralou. | |
| | | Andaevinn badaud
chez moi : Genève - Confédération Poissonière Helvétique qualité particulière : conseiller municipal inscription le : 16/11/2010
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 21:36 | |
| Andaevinn soupira.
- Messire le Procureur, nous entendrons à nouveau dame Lauralou quand son temps viendra. Elle n'a visiblement pas pris la peine de lire l'ordre de passage des témoins devant ce tribunal.
Il sourit.
- J'entendrai alors à nouveau votre requête à ce moment, si cela vous convient. Nous en jugerons sur les faits.
Il opina:
- Avançons je vous prie. Dame Eireen, ou Maître Sembre, qu'avez-vous à répondre à la question du Procureur? | |
| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 21:47 | |
| M. le Juge, vous m'aviez permis d'interroger Dame Lauralou et le sieur Antoine. Fort occupée, Dame Lauralou est absente. Bien, M. le Juge, je l'interrogerai plus tard ainsi que le sieur Antoine.
Les doutes de Garwin le tourmentaient. Les questions se faisaient plus précises, mais les réponses imprécises. Douter, douter, non il lui fallait des preuves. En plus, Dame Eireen avait soulevé quelque peu l'intimité du sieur Antoine. Mais dans ce cas, rien...une affaire bizarre. Garwin était déterminé afin que la vérité éclate au grand jour. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 22:19 | |
| Je sentais quelques regards se poser sur moi et je ne m’en sentais pas bien à mon aise d’entendre quelques bruissements en chuchotement. Le juge n’avait-il pas préciser qu’il était interdit de prendre la parole sans l'avoir demandée ?! J’essayai tant bien que mal de me concentrer sur la suite. Ce pourquoi je fermai les yeux un instant, tâchant d’oublier l’espace d’un instant l’environnement qui n’aidait en rien à me rendre à l’aise et je songeai que mon unique juge était Déos et que peu m’importerait le jugement des autres, tant que moi je demeurai intègre. Je n’étais pas l’initiatrice de ce procès. Si nous nous trouvions là en ce moment précis c’est que quelques amis commençaient sérieusement à s’inquiéter de mes humeurs, de ma nervosité, du fait que je ne m’alimentais plus très bien et que je dormais peu chez moi car j’étais craintive. J’avais dans l’expression eu ''le couteau accoté sous la gorge'' et je m’étais gardé d’en parler pour ne pas causer de tort ou de préjudice et ainsi tenter de gérer ce problème seule. Mais en vain, un ami avait déposer une plainte pour m’aider .. et maintenant que c’était fait, je lui en étais reconnaissante puisqu’enfin je n’aurais plus le terrible fardeau de ce silence entêté que j’avais porté.
Lorsque je retrouvai la sérénité intérieure, je rouvris les yeux, en paix avec moi-même puis je répondis d’une voix placide à la demande du procureur ainsi qu’à celle du juge.
'' Vous dites que le sieur Antoine était gai et qu'il fréqentait un homme ? ''
- Non, je n’ai pas dit qu’il était gai, j’ai dit que je le considérais comme un ami gai. Et oui, il fréquentait un homme dont jamais icelieu ou autre part vous m'entendrez dire le nom.
'' Mais quel rapport avec votre relation ? Veuillez m'excuser Dame Eireen, mais je voudrais comprendre. ''
- Le rapport étant que sachant cela, je ne pouvais suspecter au début que certains des gestes ou paroles du sergent était déplacés autant que s’il avait s’agit de tout autre homme, j'essayais de débanaliser cela dans mon esprit.
'' Savez-vous Dame Eirren que vous portez en tant que victime de graves accussations contre la sieur Antoine, qui pourrait être considéré comme un sodomite. En avez-vous conscience et quelles sont vos preuves ? ''
- Je ne porte aucune accusation à l’encontre du Sergent pour cela, il s’agit de sa vie privée et en aucun cas je ne juge de cela. Mais on m’a demandé ici de dire la vérité, ainsi je n’aurais pu ne pas mentionner ce détail important. Important, car cela explique pourquoi au début je ne prenais pas tout bien conscience des agissements du sergent à mon égard et que je me suis laissé entrainer inconsciemment par sa sournoiserie. Antoine me parlait à l’occasion de son amant et il avait hâte de me le présenter.
- J’ai bien conscience que ce que je viens de dire concerne la vie privée du sergent et croyez bien que je ne suis pas à l’aise non plus de dire cela devant tous ici et surtout en plus d’entendre des chuchotements à l’arrière. Mais vous m’avez demandé ceci : '' C’est ainsi que je me demande si le sieur Antoine ne vous a pas hypnotisé, comme le félin qui attend sa proie. Aviez-vous l’impression d’être sous son charme ? Dans l’affirmative, vous, une faible femme, c’est bien cela Dame Eireen, avez succombé à ses avances. Ainsi, le sieur Antoine pourrait être ce prédateur, prêt à bondir sur sa proie. ''
- Qu’aurais-je du dire ? Omettre ce détail et vous racontez une histoire à dormir debout pour répondre à la question ? Ce n'est pas bien mon fort de raconter la vie privée des gens d'ordinaire. Donc, je n’ai pas pu succomber à des avances puisque je le considérais au départ comme un ami gai.
'' Dame Eireen, je suis là pour vous aider, hors, malgré votre plainte, vous évoquez les faits et gestes de votre ami Antoine. Ainsi donc, vous le connaîtriez bien plus que ce que vous nous avez dit. n'est-ca pas ? ''
- Lorsque j’ai rencontré le sergent au début, il était gentil avec moi et drôle. Il me faisait rire et aimait me voir rire, je passais du temps en sa compagnie, ne me doutant pas qu’il pouvait avoir les idées aussi déplacées puisqu’il était pour moi une image d’autorité, il avait une compagne, une relation particulière avec un homme et en plus je croyais son amitié sincère si c’est ce que vous entendez par le fait que j’aurais pu le connaitre plus que ce que j’ai dit.
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| | | lauralou
chez moi : canada qualité particulière : employée inscription le : 01/04/2011
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 22:28 | |
| Ouvre la porte doucement sans faire de bruit; s'installe sur le banc près d'elle ; pose son chapeau ainsi que sa cape à coté d'elle, relève la tête en attendant que M. Garwin la demande....écoute attentivement | |
| | | leo Bourgeois
chez moi : Arles qualité particulière : bourgeois inscription le : 26/12/2009
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 22:44 | |
| - Cameliane a écrit:
- - Léo... je ne comprends pas certains mots, comme piscologique, enfin un mot comme ça, et pourquoi dit-elle qu'Antoine est gai et que ce n'est pas le genre d'homme qui lui plait ? Antoine est gai et joyeux, c'est pour ça qu'il est assez apprécié, même s'il s'emporte de manière parfois exagérée.
Antoine, oui c'est un gai compagnon, de là à dire qu'il n'aime pas les femmes, surtout quand il va se marier.... Sinon psychologie ça vient du grec qui veut dire discours et de psycho qui veut dire la tête. Mais ça c'est le mot compliqué pour ceux qui aiment se la raconter et éblouir les gens avec des mots compliqués. Le vrai mot c'est têtologie. Là c'est simple, tout le monde comprend. Ca consiste à faire apparaître par al parole une vérité fondamentale à une personne. L'usage le plus répandu de la têtologie est de démontrer aux gens l'utilité des casques ou la noblesse des vaches. Un autre usage de la têtologie est pratiqué par les réformés du lion de juda qui démontrent aux voyageurs l'intérêt de verser une contribution à la lutte contre l'EA, ses mensonges et ses complots.
Ce que je ne comprends pas c'est comment la têtologie peut occasionner des blessures, parce que c'est justement quand les gens ne comprennent pas l'utilité de porter un casque ou de verser leur contributioin qu'ils risquent des blessures très graves. Quand les clients se coupent avec un outil ou se font embrocher par un taureau peut être? - Cameliane a écrit:
- - C'est du cidre breton...
Attends je n'ai plus rien à faire passer avec ça, je vais passer une commande.Leo se mit à héler un huissier.PSTT PSTT...Comme l'huissier s'approchait il lui glissa un petit mot dans la main et lui désigna Iksander du doigt.Vous pouvez faire passer ce petit mot au tavernier s'il vous plait?- Spoiler:
Bonjour, je voudrais vous commander deux saucisses, le menu et la carte des vins s'il vous plait.
Dernière édition par lionelpsl le Sam 18 Fév - 23:01, édité 1 fois | |
| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 23:00 | |
| M. le Juge, depuis le début du procès, nous avons quelques agitateurs dans ce tribunal. Aussi, je vous demanderais de faire cesser ces chuchotements qui troublent l'assemblée. Et aussi à rapeler que la salle d'audience n'est ni une taverne, ni une cuisine. Merci.
Dame Lauralou, puisque vous êtes là, je suis disposé à vous entendre. | |
| | | Cameliane Bourgeois
chez moi : Dans les bras de son époux. Ou à genoux devant lui. Pour lui emberlifiquoter ses lacets. qualité particulière : Capitaine de l'Edelweiss inscription le : 07/08/2009
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 23:11 | |
| Elle allait mettre sa main sur la bouche de Léo mais... il parlait trop vite. Infernal Léo ? Oui mais c'est comme ça qu'on l'aime. S'il n'existait pas, il faudrait le faire naître.
- On en parlera plus tard, maintenant tais-toi ou tu vas te faire renvoyer...
Elle se dépêcha de sortir le pâté de son panier et lui tartina rapidement une grande tranche de pain épaisse qu'elle lui fourra entre les mains. Si elle avait pu la lui fourrer directement dans le gosier, elle l'aurait fait, mais on ne traite pas son frère ainsi. Prête à dégoter ensuite le saucisson, la marmelade de coing et les galettes au miel...
Têtologie... casque... Son idée de bonnet tricoté lui revint en mémoire, dommage qu'elle n'ait pas apporté ses aiguilles et fils.
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| | | Andaevinn badaud
chez moi : Genève - Confédération Poissonière Helvétique qualité particulière : conseiller municipal inscription le : 16/11/2010
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 23:20 | |
| Andaevinn fit un petit signe de la main à Caméliane, sous entendu: mettez-lui l'léteignoir ou je le fais sortir...
- Je pense que ces ennuis mineurs disparaîtront bientôt, Messire Garwin, ne vous inquiétez pas! Poursuivez je vous prie!
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| | | lauralou
chez moi : canada qualité particulière : employée inscription le : 01/04/2011
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 23:24 | |
| Sursaute en attendant son nom,...sourit se lève fait un signe de tête à M. Garwin ...s'assoit...
M. Antoine est un homme très respectueux, on n'est de bon ami depuis longtemps, je suis souvent avec lui dans mon auberge, nous discutons beaucoup, je parle de mon atelier de vêtements ainsi que de mon champ aussi que je poursuis mes études ect....si j'ai besoin de lui pour un conseil, il est là pour moi. On se respecte beaucoup jamais M. Antoine a osé porter un geste ou une parole déplacée envers moi. Comme je suis en Auberge la plus part du temps pour recevoir mes clients je suis une femme qui respecte les autres et fait tout mon possible pour les servir en étant polie et souriante.
- M. Garwin avez-vous d'autres questions a me posé ....je vous écoute..! | |
| | | Cameliane Bourgeois
chez moi : Dans les bras de son époux. Ou à genoux devant lui. Pour lui emberlifiquoter ses lacets. qualité particulière : Capitaine de l'Edelweiss inscription le : 07/08/2009
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Sam 18 Fév - 23:24 | |
| Remarque les gestes d'Andaevinn... lui fait des petits signes de tête et des mains qui signifient "oui oui, voyez il a la bouche occupée, je vais bien réussir à le maîtriser jusqu'au bout..." Lui sourit tendrement...
Bon sang, après les galettes, que restait-il dans le panier... Au pire elle trouverait bien la solution ultime qui consisterait à tomber en pâmoison pour qu'il l'embarque dehors et de là elle trouverait une boutique de charcuterie pour faire le plein. | |
| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Dim 19 Fév - 0:19 | |
| Dame Lauralou, quand on est tavernière, il me semble que l'on sert les clients et non sa propre personne. J'aimerais vous croire mais il se passe de drôles de choses dans votre établissement et j'en suis un témoin, n'oubliez pas. Vous décrivez le sieur Antoine comme un être respectueux, c'est donc que vous avez envie de le protéger ? Mais mis à part ces considérations et la Cour appréciera, vous êtes portée ostensiblment vers la divine bouteiille. Alors comment croire vos allégations surtout que les faits se sont déroulés dans votre taverne.
Ce sera tout pour le moment. Merci. | |
| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Dim 19 Fév - 0:36 | |
| Puis se tournant vers le prévenu.
Messire Antoine, que pensez-vous des paroles de Dame Eireen à votre encontre ? Elle affirme que vous aviez une relation avec un autre homme. Je respecte votre choix mais cela n'empêche que vous pourriez être considéré comme un sodomite, ce qui serait contraire à l'éthique de nos lois morales et religieuses.
Mais dans un autre sens, et si cette liaison se révélait exacte, l'amour platonique n'est pas un délit.
Alors ma question est simple mais très importante, quel genre de relations avez-vous et peut-on connaître le nom de votre ami afin qu'il puisse déposer en cette cour ?
Enfin, vous fréquentez régulièrement la taverne de Dame Lauralou. Est-ce pendant vos heures de sercice ? Etes-vous également accroc à l'alcool ? Merci. | |
| | | Andaevinn badaud
chez moi : Genève - Confédération Poissonière Helvétique qualité particulière : conseiller municipal inscription le : 16/11/2010
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Dim 19 Fév - 1:15 | |
| Andaevinn frappa de son marteau:
- Messire le Procureur, il n'est point encore temps d'interroger l'accusé, je vous prie. Veuilliez garder vos questions pour tout à l'heure.
Il soupira.
- La partie de Dame Eireen souhaite-t-elle ajouter quelque chose? Sans quoi je passe la parole à la défense! | |
| | | Garwin loquace
chez moi : Quelque part en France inscription le : 28/01/2008
| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] Dim 19 Fév - 1:21 | |
| M. le Juge, vous m'aviez donné la parole pour interroger Dame Eireen, Dame Lauralou et le prévenu.
Mais vous avez raison pour le prévenu, je vais attendre quelque peu que le procès s'étoffe. | |
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| Sujet: Re: 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] | |
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| | | | 16 février 1460: Eireen VS. Antoine. : harcèlement et usure [EN COURS] | |
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