[RP] ambassades romaines

Parfait, je vais donc demander l'ouverture d'un salon particulier. Preciosaa, peux tu demander à Madame ta belle-soeur si elle est désire venir elle-même ou si elle veut déléguer quelqu'un. Parce que je serais d'avis de ne laisser parler que les seuls négociateurs et l'observateur de l'Eglise tout en laissant l'accès à d'autres dignitaires ayant intérêts aux discussions, comme l'intendante, l'un ou l'autre conseiller et quelques personnes choisies par le Béarn. En tout, une dizaine de personnes.

Le moins qu'on puisse dire c'est que notre picarde, occitane d'adoption, plus habituée aux plats pays, elle s'en mangeait de la montagne depuis que les aléas de la vie l'avait menés dans le Sud. Pyrénées, Cévennes, et enfin les Alpes, la totale.
La seule chose qui ne changeait pas c'était le cours immuable que suivait la connerie humaine dès lors qu'on parlait de pouvoir.
Et non, pas de charmante humeur, la Comtessa. Les voyages, le séant malmené dans une boite en bois sur roues, elle n'avait jamais aimé. Même la compagnie de sa blonde chancelière n'arrivait pas à lui faire oublier que malgré des airbags latéraux relativement dodus, elle allait se payer des courbatures durant des jours.

Coche arrêté devant la marie de G'nève - comme ils prononçaient ça dans le coin - un dernier soupir d'agacement et enfin on peut procéder au décoffrage. La Saint Just se laisse guider là où elle est attendue.
Une blonde alpine semble les attendre, surement l'Ambassadrice, sa soit-disant belle-soeur si on en croyait la rumeur... De toute façon, là n'était pas le but de la visite. On règlerai les histoire de famille plus tard.
Agnès hocha la tête en guise de salutations.

Excellence... Saludi et Patz !
Oui, nous avons fait bon voyage et oui, nous vous suivons là où nous sommes attendues.

Ouais, bon, un peu brut de décoffrage, certes. La Varenne devait en pâlir et rêver de meurtre. Agnès préférait ne même pas s'en assurer, pour sur la môme boiteuse allait lui en glisser un mot dès qu'elle en aurait l'occasion. autant ne pas lui donner de suite.*


[multiples edits pour multiples fautes de frappes et d'ortho... On finit par s'y d'habituer...^^]

Comme ce sujet semble avoir dérangé plusieurs personnes et comme j'en suis l'auteur je me suis permise de les efface. Je regrette cependant de l'avoir fait puisque ce que j'y disait n'était en rien compromettant. Je sais que ce n'est point une façon de faire que d'avoir fait cela. Je vais donc tenter de recréer la scène pour que les postes qui viennent après aient un peu de sens.

Marianne arriva à Genève et se dirigea vers la mairie. C'est là qu'on lui avait dit de se rendre pour entrer en contact avec l'avoyer Messire Geoffroy de Villiers.

Elle arriva donc à la porte de la mairie et demanda à ce qu'on lui indique l'endroit où elle pourrait trouver cette personne.

- Bonjour je suis Marianne de Cognin-Franchesse dict Mammylou et je voudrais voir Messire Geoffroy de Villiers pourriez-vous m'indiquer l'endroit où je puis le rejoindre?

Elle attendit qu'on lui indique l'endroit.



HRP : Comme des personnes semblent mal interpréter la venue de cette personne elle préfère effacer son passage. Cela ne sert à rien de se servir d'une excuse aussi puéril pour discréditer le travail fait par l'avoyer de la ville. Il n'a en rien entaché celle-ci en recevant en diplomatie une personne qui ne venait que dans le but de l'aider à se débarrasser des Lions de Judas et autres brigands. Les hérétiques ne sont point tout le monde que je sache. Il ne faut point confondre. Quel mal y a t-il a vouloir une ville qui soit saine où tous les habitants pourraient vivre heureux sans craindre pour leur foyer dites-moi?r


Edit par Mélian (changement de couleur et taille de texte)

En passant faire la distinction qui s'impose: Un membre de l'Ordre Teutonique est un Teutonique et non un Teuton comme plusieurs le crois.


Edit par Mélian

Elle vit alors arriver une personne qui se disait être le chancelier. Il lui demanda la raison de sa venue et elle se demandait si elle devait la donner.

- Je suis enchantée de vous rencontrer Messire, C,est juste une visite de courtoisie comme je passais par Genève je suis diplomate dons j'aime faire des rencontre avec les personnes. On m'a recommander de parler avec Messire l'avoyer. Y aurait-il un problème? Comme c'est la première fois que je viens icelieu j'aimerais savoir s'il y a un endroit où je puis me rendre pour prendre un repas en attendant qu'il puisse me recevoir?

Elle attendit sa réponse

Merci pour l'accueil

Elle lui sourit et le suivit au bureau de l'avoyer .

- Merci pour tout je suis désolée de vous causer ce dérangement. Je vais attendre qu'il se libère.

Elle lui sourit de nouveau pendant qu'il partait chercher son repas....

Elle prit place dans le fauteuil qu'on lui avait indiqué et attendit que l'on apporte la nourriture. Dès que celle-ci fût arriver elle se mit à manger tout en repensant à la raison de se venue icelieu. Une visite diplomatique n'était en rien une chose banale mais il y avait plus que cela et elle le savait.
Elle était venue icelieu à la demande d'une personne. Elle attendit donc que l,avoyer fasse son entrée avant de donner la raison de sa venue. Il ne fût point très long à venir.

- Messire l'avoyer Geoffroy de Villiers je présume. Je suis Marianne de Cognin-Franchesse je suis chef de la diplomatie dans mon Ordre. Si je suis venu icelieu c'est afin de vous proposer nostre aide enfin nostre support contre les hérétiques (lions de Judas) et les sicaires entre autres. Suite à la demande du Chevalier Akkar, Grand Maître des Templiers et que nous sommes là pour empêcher les Sicaires de tenir ce qu'ils ont dit sur la reprise de Genève."

Elle espérait qu'il comprendrait qu'elle était venue avec de bonnes intentions

Monsieur Acar, cela faisait si longtemps. Vous nous amenez quelques spécialités béarnaises ?

Spoiler:

Welcome !

Messieurs, le bonjour. Passant par là, enstendant du bruict, je sus vesnu.

pour les spescialités, nullement, je presfere d'austant celles de vostre pays.

Spoiler:

Monsieur Acar, dois-je demander à notre Avoyère de vous recevoir ? Venez-vous nous trouver en votre nom propre ou en celui de Mgr Groar ? ou en celui d'Alveran, ou encore du duc Fenthick ? La duchesse de Bourgogne ? les vénitiens ? la reine Beatrix ?

Salutations.

Passant par la, car estant adjoint de l'administratrice de Genève, je venais porter un message à ce faux conseil.

Ainsi je dis, les sicaires se jouent de vous fiers Genevois. Ils se servent de vous pour leurs causes, quitte à vous voir mourir sans fin. Peu importe qui vous estes, cesla est esgal pour eux, vous n'estes qu'utiles à leurs folies.

Pourquoi je viens iscelieu, parler devers vous ? Simple... Il fuct un temps ou mon Béarn fuct attaqué par le Lion et ses sicaires, car un nommé Yohann65 s'y estait restranché. Commissionné par ma comtessa, je fis partir ce triste sire, hors Béarn. Mais malgré cesla et malgré le courrier du triste sire, copié et adressé au chancelier Izaac, le Lion prict malgré tout nostre casteh, ses escus et sa capitale. La cause estait fausse, tout comme iscelieu, se servant de vous pour arrisver à leurs fins.

Genevois, vostre avenir n'est pas descision de ces sicaires, Geneve n'est pas vostre enfer mais le leurs.

Sachez que nous resterons, sachez que nous aimons le peuple Genevois qui viendra à nous, sachez que nous sommes iscelieu pour chasser le mal qui vous domine et que nous vesnons habiter en ces murs, poinct respartir car ce mal est tenace.

Un appel sur tous les duchés et comtés se faict céans, pour lancer moult armées en cette terre malmenée, dirigée contre vous, par le Lion et ses sicaires. Cette croisade n'est que le desbut tant que le Lion parlera en vos noms.

Oui, ce qui arrisve, vous leurs devez !!

Je nomme vostre enfer : Le lion de Juda !!

Je nomme vostre seul ennemi : Le Lion de Juda !!

Néanmoins, Rome tend les bras à ceux qui se libérerons du joug des sicaires. Qu'il se manifeste et ils seront protégés, puis placés par la suite en l'avoyerie pour la gouverner. Libesrez-vous de vos oppresseurs, ceux par qui tout arrisva et resprenez le controsle de vos biens, de vostre liberté, de vostre parole, de vostre honneur !!

Que les brasves Genevois me parlent enfin, nous parlent enfin, sans haine, car le but de Rome n'est poinct de ressembler ou copier le LIon, contre vous.