[RP] Ambassades du Duché de Modène.

izaac a écrit:: Le chancelier impérial nous a un peu dans le pif depuis que je lui ai proposé de placer la Franche Comté sous protectorat genevois alors que son gouvernement manifestait son incurie exemplaire à interdire son territoire tant aux armées bourguignonnes, romaines que genevoises. M'enfin, ce n'est pas bien grave. Il est ombrageux et moi quelques fois maladroit sur le sujet des Honneurs des aristocraties. Notre commerce est florissant, l'abondance de denrées fait la réputation universelle de notre marché, notre tournoi est le rendez-vous pacifique de soldats le plus important à l'Est de l'Oural, nos croisades sont le plus vaste rassemblement ecclésiastique annuel, devant le pélerinage du Puy et les conclaves romains, notre port de pèche est devenu un arsenal, les plus grands savants de l'Aristotélité s'accordent à considérer que la mer Méditerranée prend sa source dans notre Lac, notre population se compte comme le bon tiers de toute la population de toute la Franche Comté. Encore un petit effort et Genève seule sera plus populeuse que le duché de Lorraine. J'ajoute que nos marchands, ambuleurs camelots, négocient en toute liberté, sans proscription ni assassinat, dans toutes les pars imperii et que la question religieuse que nous avons posée ici, dans notre petit Etat, est désormais au coeur même des campagnes électorales royales de France.

Andrea nota son petit bureau d’une façon insolite fréquenté de citoyens de la communauté genevois, certains connus et avec lesquels il eut le plaisir de parler, dans le passé.
Ce fut un plaisir de parler avec eux.
Il ne connaissait pas Madame Tataoumi et Monsieur Luc la Misère.
Après avoir répondu à une question de Madame Tatoumi, Andrea écouta Messieurs Izaac et SembreEnDevant.

"Monsieur Izaac, c'est un plaisir de vous revoir. Vous parlez très bien de Genève: Je pense que vous, les habitants de Genève ou ceux qui y séjournent, vous devriez être fiers des progrès que, au fil des ans, votre glorieuse république a fait. Vous êtes une grande puissance, presque au cœur de l'Europe. Votre prospérité économique, la liberté dont les genevois, les marchants, les étudiants aristotéliciens jouissent à Genève, sont considéré avec beaucoup de respect par le peuple du Duché de Modène. Nous espérons atteindre votre niveau de prospérité, et à chaque nouveau Duc nous travaillons dur pour améliorer les conditions de vie de Modène, accroître les échanges et rendre prospère nos coffres. C'est pourquoi nous envoyons nos ambassadeurs dans tous les postes diplomatiques en Europe, de la Baltique aux colonnes d'Hercule.
En qualité de Ambassadeur je vous remercie de me mettre à jour. Je informerai Modène de ce que vous m’avez dit. Mais, alors… l'armée de Monsieur Thoros ? Elle est cité dans le dernier échange de lettres entre Genève et l'Empire. S'il vous plaît, aidez-moi à comprendre, de façon je peut rendre compte à Monsieur Alex Carafa della Spina, mon Grand Chambellan."

Par la suite Monsieur SembreEnDevant parla.
Andrea écoutai avec beaucoup d’attention, pour essayer de bien comprendre les problèmes diplomatiques entre la République de Genève et l’Empire.

Monsieur l'ambassadeur, je ne pense pas que vous ayez la moindre leçon ni le moinde conseil à recevoir lorsqu'on observe la richesse de la pars imperii lingua italicum. Votre duché, Genova, Sienna... Vos Etats sont puissants et populeux. Ne soyez pas si complaisant à notre égard, je vais croire que vous voulez me demander une truc... Smile

Andrea répliqua à Monsieur SembreEnDevant

"Monsieur SembreEnDevant, je ne crains rien. Et, surtout, je ne veux pas faire comme si Genève n'existait pas: autrement je ne serais pas ici, aujourd'hui, pour parler avec vous, avec Monsieur Izaac et d'autres citoyens. Sachez que j'ai écrit deux fois au Chancelière, en demandant et en espérant que cette crise diplomatique avait été résolu. La réponse a été, malheureusement, négatif, mais je n'ai pas été interdit de maintenir les contacts avec la République: j'e n'ai pas été autorisé à signer des traités avec vous. Mon français n'est pas très bonne, mais j'espère que ce que je viens de vous dire tout le monde peut le déduire de mon parchemin daté 7 de Mars.

Après Andrea parla avec Monsieur Luc la Misère.

"Monsieur, Donna Lucrezia est le Porte-parole de notre Duché. Ellle travaille avec moi dans le Conseil de Sa Excellance le Duc MIchele de Montefeltro. J'ai une petite lettre pour vous."

Andrea donna le petit vagabond d'Annecy un petite parchemin.

Citation :: Mittente : Lucrezia59 , Madama Deversi-Aslan da Mirandola
Data d'invio : 16/03/2012 - 23:05:11
Titre : Re: Piccione con dei saluti per Voi.

Qu'elle surprise savoir que quelqu'un se souvient de moi.
Je suis très sincère, je me rapelle du petit vagabon d'annecy, mais vous me pardonerez si je vous confesse je me souviens du prénom Luc mais pas du nom complet.
La période d'annecy m'apporté maintes joie non seulement de la souffrance, j'en aurrais un souvenir qui ne s'éffacera jamais, comme je me souviendrais de toutes les personnes merveilleuse que j'ai rencontré.
Mes amitié.
Lucrezia

Et Andrea ajouta "Monsieur, je ne pars pas: je suis affectioné a Genève, à son beau lac et a son Peuple. Comme j'ai déjà dit, l'Empire m'a seulement enterdiit de signer des traités. Je laisserai la République si ma présence ici sera pas appréciée ou si mon Grand Chambellan le demande."

Ensuite Monsieur Izaac régola sur l'etre si complaisant.

Laughing

"Monsieur Izaac, le seul truc que je voulais vous démander je l'ai vous demandé il ya un instant... "

C'est fou comme l'oreille se dresse à certains mots !

Citation :: Mais, alors… l'armée de Monsieur Thoros ? Elle est cité dans le dernier échange de lettres entre Genève et l'Empire. S'il vous plaît, aidez-moi à comprendre, de façon je peut rendre compte à Monsieur Alex Carafa della Spina, mon Grand Chambellan."

Mais elle est à Genève, Monsieur l'Ambassadeur, et elle participe, chaque jour que Déos fait, à la défense de notre République, après avoir respecté, selon les accords passés, l'intégrité des territoire Comtois et Savoyards, et ce, malgré les multiples provocations qu'Imladris a dressées sur sa route.

Au fait, je me présente à vous, Monsieur l'Ambassadeur, je suis Bigmamma de Cianfarano, Lieutenant-colonel de la Garde Genevoise et, à cet égard, au fait de la situation présente de Monsieur Thoros et de son oriflamme.

Une dame intervint à la discussion intéressante qui se fit dans l siège du diplomatie e modèniene.

"Lieutenant-colonel, c'est un plaisir de vous connaître."

Andrea dit à la dame, en s'inclinant et en baisant sa main.

"Merci pour les explications que vous m’avez donnés: comme le soleil dans les journées les plus chaudes, enfin, le brouillard sur la surface de votre beau lac a lentement disparu."

Il y avait une courte pause, après avoir utilisé cette analogie.

"J'espère ne pas d’avoir été inapproprié de poser la question sur l'armée de Monsieur Thoros: elle est citée dans le texte du parchemin, dont une copie m'a été soumis par le Chancelier de l'Empire lui-même. Je voulais juste comprendre le lien entre cette armée et votre volonté de créer un nouveau protectorat. Mon travail consiste en m’informer en ce qui se passe à Genève et à Berne, puis le rapporter à mon Grand Chambellan, dont je toujours dépends, et qui parle au nom de Son Excellence le Duc de Modène: enchanté, Madame Bigmamma de Cianfarano, mon nom est Andrea Gritti, Vicomte de Carpineti et Ambassadeur du Duché de Modène en la République de Genève et en la Confédération Helvétique."

Andrea sortit une bouteille de vin rouge de la petite vitrine derrière de lui, avec quelques verres à pied en verre soufflé de Murano.

"Peux-je avoir le plaisir de vous offrir un verre de Labrusco? C’est un vin de nos collines!"

Citation :

Andrea démanda de parler avec l'Avoyer de Genève:

"Bonjour Monsieur l'Avoyer. Au nom de mon Duc, je voudrais demander à la libre et souveraine République de Genève s'il fût possible de ne pas accorder l'accostage et de refuser toute forme d'aide (en particulier les réparations), au vaisseau nommé Hell’s star on, de Ghell et Musartine. Ils sont considérés des pirates dangereux. En qualité d’Ambassadeur du Duché de Modène, et au nom de mon Duc Nicola de Montefeltro, Baron de Rivalta, je reste bien sûr à votre disposition."

loquace chez moi : Genève inscription le : 16/09/2008

Recevoir l'ambassadeur fut un plaisir qui n'eut d'égale que la surprise quant au motif de la visite :

Messire l'ambassadeur,

c'est avec attention que je prends connaissance de votre demande.

Mais la piraterie est chose subjective, et le navire ainsi que son équipage n'ont pas nuit à des intérêts ou à la République de Genève. Il ne nous est donc pas possible de déroger à notre sens de l'hopitalité et de l'entraide en refusant l'accès de nos installations à des personnes qui nous la solliciteraient.

De plus, je n'ai pas souvenir que votre Duché se soit insurgé contre les différentes croisades que nous avons subies, il y avait d'ailleurs parmis nos agresseurs, des soldats relevant de votre autorité !

Mais je reste, moi aussi à votre disposition pour en discuter .

Etcomme il passait par là...

Cher Ambassadeur! Bienvenu encore à Genève. Vous y êtes toujours le bienvenu bien sûr. Je m,exprimerai à titre personnel mais je n'ai pas le sentiment de devoir beaucoup de considérations à la Provence qui a eu un comportement plutôt cavalier avec nous. Il est bien différend en cela de l'estime que je porte pour votre Province. De ce fait, je vous demanderais de comprendre notre position. Chez nous, ces gens sont libres de venir. Les relations avec l'Empire auraient pu aboutir à une considération mutuelle pour lutter contre des ennemis communs mais jusqu'ici, ce travail demeure à faire.

Alors permettez-moi plutôt de continuer nos saines relations sur un terrain où tout deux nous pourrons prospérer soit le commerce. Comment notre République pourrait établir les termes d'un commerce durable avec vous et réciproquement?

Il fut reçu par l'Avoyer.

"Monsieur l'Avoyer, je vous remercie de me recevoir. La mienne voulait être une simple demande: il est évidemment votre propre droit de faire accoster et de donner de l’assistance au navire nommé et à son équipage. Si la République de Genève eût des demandes ou des requêtes à nous faire, mon nom est Andrea Gritti, je suis l’Ambassadeur du Duché de Modène et il sera un plaisir, pour moi, de vous écouter. Sans aucun préjugé. Comme d'habitude.

En ce que concerne les croisades qui, malheureusement et à mon grand regret, vous avez dû souffrir, le Duché de Modène s’a toujours exprimé pour une solution pacifique et diplomatique du problème au sein de l'Empire. Malgré cela, nous avons pu seulement exécuter les ordres reçus. Permettez-moi, Monsieur l’Avoyer, de vous faire présent que le Duché de Modène n'a jamais attaqué ou envahi aucun depuis sa naissance jusqu'à maintenant. Au contraire nous avons été attaqué toujours par des forces des autres. Et la dernière fois ce qui s'est passé, nous avions envoyé des soldats à Genève. A cette époque, l'armée de O.N.E. Amesha a profité de notre faiblesse défensive pour se diriger directement au château de notre capitale, en destituant notre maire et en tentant l'assaut : moi-même je suis mort dans la défense du mon Duché. Seule la grâce de Dieu m'a donné l'occasion de revenir à la vie. Monsieur l'Avoyer, j'espère vraiment d'avoir clarifié une fois pour toutes la position du Duché de Modène, a ce propos."

Andrea vit Monsieur John Edward passer et parler avec Andrea.

"Monsieur John Edward, je suis très heureux de vous rencontrer: J'espère que vous vous aillent bien. Je n'ai jamais quitté la belle Genève: c’est vous que ne venez jamais à boire du bon vin et a manger mon gourmand fromage dans mon bureau. Il est ici, autour du coin; il me ferais un grand plaisir de vous voire plus souvent!"

Andrea sourit.

"En ce qui concerne l'accostage et l'assistance au navire nommé, comme je viens de dire à Monsieur l'Avoyer, il s’agitait juste d’une simple demande. Rien de plus. Et j'ai pris bonne note de vos raisons, croyez-moi. Plutôt, je vous remercie de votre considération à l’égard de mon Duché: il me plaît de penser que Modène toujours travaille pour le respect et la prospérité mutuelle. J’irai parler de votre proposition avec notre Grand Chambellan et, quand j'aurai des nouvelles, je vous les communiquerai."

Bonjour monsieur, je suis Freng. J'aurais juste une remarque à vous faire concernant notre avoyer.

C'est une femme. Je pense important de vous le dire, ce n'est pas forcément ce qui fait le plus plaisir de se faire appeler monsieur quand on porte une robe. Enfin, je suppose que vous devez bien vous rendre compte que cela ne met pas forcément à l'aise pour parler autours d'une table.

"Bonjour à vous, Monsieur (ou Madame? ) Freng: mon nom est Andrea Gritti, Vicomte de Carpineti et Ambassadeur du Duché de Modène dans la Confédération Helvétique.

Je vous remercie pour avoir spécifié le sexe de votre Avoyer: elle aura mes plus sincères excuses. Aussi je suis sûr qu’elle eût une Dame avec beaucoup d’expérience et qui fait attention plus à la bonne substance d’un discours, que aux les involontaires conjugaisons errées de mon Français."

Et John ricanna un coup...

Effectivement mon ami. Je suis certain qu'elle comprend parfaitement l'essence de votre message! Et de mon côté, puisque semblerait que j'aille manqué à mon devoir de prendre un verre avec vous... Faisons cela!

Et du coup il versa deux verres pour lui et l'ambassadeur...

Andrea, vous m'excuserez cette familliarité mais je ne suis pas à l'aise avec tout les titres... Donc, je crois qu'ensemble nous sommes en mesure d'établir un sein commerce entre nos régions. Outre le poissons de Genève qui est délicieux à souhait, je suis en mesure de vous offrir du fromage de vache ainsi que des tapisseries pour décorer les plus beaux endroits de votre Province. C'est là sans compter l'épicerie fine de la Compagnie du Leman qui tient son comptoir sur notre marché. Divers produits de luxes s'y retrouvent et nous sommes ouvert aux demandes particullières.

Il prit une gorgée...

Du coup, si vous êtes en mesure de nous dire ce qu'offre votre Province, les prix concernant le fer et la pierre ainsi que d'autres produits intéressants, partagez-le nous. Ensemble nous trouverons bien un terrain d'entente! Aussi s'il y a quelque spécialités de luxe que vous voulez nous offrir, nous sommes tout ouïe.

Et une autre gorgée!

À la vôtre!

John ricanna, en saisissant la balle au bond, en offrant une verre à Andrea et en faisant des propositions commerciales intéressantes. Quand il eut fini de parler et il offrit un toast à sa santé, Andrea intervint avec joie:

"Je bois à votre santé et à celle de nos Provinces ..."

Il dit, en levant son verre.

"... appelez-moi Andrea, je pense que nous nous connaissons assez pour abbatre quelques formalités."

En dégustant du vin avec plaisir.

"Aujourd'hui même j’enverrai un messager jusqu’au mon capital avec vos propositions, pour voir si un échange commerciale est possible. John, il sera un plaisir de vous mettre à jour."

Il dit, en faisant lui porter une parchemin et en commençant à chauffer la cire à cacheter.

Et d'une gorgée à l'autre la conversation progressait.

J'attendrai le retour de votre courier concernant nos affaires économiques avec impatience. Mais dites-moi, d'où exactement venez-vous en Modène? De la ville portuaire de Massa ou près des vastes forêts de Mantoue? Et comment se passe la vie dans les provinces italiennes?

Il enfillait les questions une après l'autre et s'en rendit compte...

Comme vous voyez, je suis très curieux et j'aimerais beaucoup mieux connaître votre région. J'aime aussi quand les gens en parlent avec coeur comme je le fais pour la République de Genève. C'est ainsi que la beauté d'un lieu s'admire à merveille sans pour autant y mettre les pieds.

Il reversa un peu de bon de vin... Bah quoi?! C'était pas une discussion de bonnes femmes...

Un messager frappa à la porte.
Andrea fit entrer.
L’envoyé livra un parchemin fermé : le sceau portait les insignes du Duché de Modène.

"Veuillez m’excuser un seul instant: il doit s’agir d’une communication importante de mon Duché."

Andrea s'approcha à la lumière de la fenêtre, brisa le sceau de la cire à cacheter et lut le contenu du parchemin, dont il annonça à l’Ambassadeur Gritti sa nomination comme 31ème Duc de Modène. Andrea fut visiblement émotionné et il s’approcha encor plus à la fenêtre pour ne faire pas trahissaier ce moment de faiblesse émotionnelle de ses yeux. Puis il se tourna vers John Edward.

"Je vous dois des excuses pour ne pas avoir répondu tout de suite: je viens de Modène, la capitale du Duché. Modène est la plus petite ville, mais la possibilité d'acheter deux domaines a augmenté sa population et son commerce ... à peu près elle équivaut Mantoue, maintenant. Rien au comparaison avec votre très florissant Genève, mon JohnEdward. Toutefois la vie est très agréable. Nous sommes un Duché libre, de paix et, bien que les trois principales factions politiques, en cas de besoin nous sommes toujours très compact. Ceci, et notre vieille amitié avec la République de Venise, sont nos points forts."

Une courte pause.

"Ah ... je n'ai pas encore dit: Je viens d'être nommé Duc de Modène. Vous aurez l’amabilité d'excuser l'émotion du moment, à disparaître bientôt. C'est la première fois que je suis choisis pour guider mon Duché."

Il dit, en mettant son mouchoir chiffonné dans le manchon.

Messire Duc, je vous félicite pour votre désignation et espère que vos hautes fonctions vous permettrons de venir encore ou de désigner quelqu'un de confiance pour développer les relations entre Genève et Modène.

Avez vous des besoins de commerce ? Ou de coopération dans un autre domaine ?

Il laissa d'abord le Chancelier de la République libre et souveraine de Genève faire les félicitations en son nom propre et aussi, John se doutait, au nom de la République. Puis il s'avança vers son ami nouvellement Duc et lui mit une bonne tape à l'épaule pour le courage à devoir à venir.

Et bien mon ami! Voilà une bonne nouvelle pour votre peuple, et je rajouterai, pour notre République! J'espère qu'au fil de vos fonctions vous trouverez le temps de venir discuter avec nous. Je partage ici le souhait de mon Chancelier de voir nos bonnes relations continuer dans cette voie. Puissiez-vous inspirer votre peuple dans la tolérance que je vous connais. Aussi, comme nous étions entrain de discuter, nous espérons que votre nomination marquera le début de saine relation commercial entre votre Province et la République.

J'invite donc les maires de vos villes à vous fournir leurs besoins, ainsi que dès qu'il vous sera possible, nous faire le topo des besoins de votre Province. Ainsi, nous verrons ce que nous pouvons faire pour vous aider.

Regardant les verres entamés, John eu un sourire...

Aussi, votre région me semble merveilleuse. Veillez bien sur elle que je puisse à mon tour y amener une bonne bouteille pour y boire là bas. J'espère que vous daignerez me faire visiter hein!

Andrea remercia Messire SembreEnDevant et Messire John Edward.
Esuite il partit immédiatement pour son Duché.
Pendant les deux mois dans lesquelles il fut Duc le travail et les discussions du son Conseil prient beaucoup de temps et il réussit pas de mettre à jour ses ambassades, ni de se faire rmplacer.
Mais, à la fin de son règne, il retoruna a ses devoirs d'ambassadeur.

"Messieurs et Mesdames de la République de Genève, je suis trè désoles pour mon silence et avec plaisir je suis retourné. J'ai, pour vous, les compositions des le dernières Conseils."

Citation :

Citation :: 10ème jour d'Août, a. D. 1460

XXXII Duc de Modène: Nicola Deversi Aslan di Massello, Vicomte de Fivizzano (Texwiller7).
Shérif: Lodovico Katamazai Deversi Aslan (Katamazai).
Capitaine: Michele de Montefeltro, Comte de Spilamberto (Maniero).
Ministre des Mines: Barisone III d'Arborea (Paperogue).
Ministre du Commerce: Hamea Carafa della Spina, Baronne de Bomporto, Seigneur de Poiano (Hamea ).
Préfet: Gilraen85 Ferrari (Gilraen85 ).
Sergent: Lucrezia Leanor Deversi Aslan (Lucrezia59).
Juge: Alex Carafa della Spina (Alex011).
Procureur: Carlo Ferdinando della Rovere (Leonil).
Porte-parole: Ludovico Borgia de Reggio (Lvdovico).
Conseiller: Giovanni Marcolando Borromeo, Marquis de Carrara (Marcolando).
Conseiller: Real86 Ferrari, Comtesse de Reggio (Real86).

Et John qui s'en alla accueillir le Vicomte...

Cher ami, nous pouvons nous douter que votre fonction vous a largement prit de votre temps. Nous vous remercions pour cette petite mise à jour! D'ailleurs, comment fût vécu la crise de Venise dans votre belle région? Vous n'avez pas eu de soucis avec Rome j'espère?

Il pointa une bouteille puis un siège...

Vin bien sûr?!

Il connaissait bien l'homme et versa donc deux coupes sans hésitation!

Andrea remercia et s'assit avec John Edward.

"Ah, il me manquait votre vin ... c'est délicieux!"

Il dit, en buvant à petits coups.

"Si pour crise vous vous référez à la croisade et à la démission du Doge de Venise Vespasiano, en qualité de Duc j'ai personnellement parlé avec notre Impératrice: je n'ai jamais toléré la création d'une armée qui n'était pas Modénaises dans mes frontières! Et seulement après épuisantes discussions nous sommes arrivés à une position commune pour tout l’Empire à l’égard de Venise. La situation était très, très délicate, mon cher John Edward: mon Duché a des relations d'amitié et d'alliance très fortes avec la Sérénissime République de Venise. La question, après tout, était purement religieuse ... et comme telle a été affrontée: je ne voulais pas mettre en danger mon peuple, ni endommager les liens d'amitié et de coopération avec notre voisin. Je pense que vous bien compreniez ce que je veux dire. Bien même loin, qu'il a pensé la République de Genève à l’égard de la situation politique/religieuse vénitienne?"

Demanda, en faisant porter à son serviteur du jambon de Parme et en faisant le servir à son ami Genevois.

Salve signore Andrea

Je voulais vous prévenir d'un événement exceptionnel qui vas se passer a Genève le Grand Tournoi si vous pouvez l'afficher dans votre taverna on serait enchanté de voir quelques gens de Modena

Citation :: Grande Torneo di Ginevra
Novembre 1460

Oyez ! Oyez !

La società commerciale del Léman, in Ginevra, annuncia a tutti!

In questo giorno di fiera della società, questo venerdì degli umili, il secondo giorno di novembre, di l'ano 1460.

È organizzato a Ginevra, un grande Tournoiement dove si affronteranno prode e coraggiosi, secondo le regole vecchie del libro di ore di Bon Roi René.

I combattenti si affronteranno in gruppo semplice per gruppo di due, in battaglia ad una miglio della città, a Nyon, vicino alla miniera d'oro. Un palco sarà installato alle spese della società, ed è dato autorizzazioni a tutti i commercianti di frittelle, brioscine, carni girate, fiori, semi salati e vini, di tenere bulino.

Il diritto d'iscrizione è fissato a 50 ECU. Il combattenti porta la sua iscrizione su lui.
Il vincitore porterà via il suo prezzo.

A Ginevra, i rettori ricevono le candidature.
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2054268
Parere ai dilettanti!

(HRP) i giocatori si incontreranno in modo “rubare la gente IG„ in gruppo da due con 50 écus in tasca
il 2 e il 3 novembre. Le candidature sono aperte, qui. Il vincitore sarà quello che avrà intascato la più grande messa, associata ad una GDR in Taverna elvetica francofona. [/HRP]

Si passa cosi :

- giovedì 1, innizio del GDR
- venerdi 2, si viagge fina al nodo 549.
- Sabato 3, clic "rubare la gente", prima volta
- dimanche 4, on clique "rubare la gente", seconda volta
- lunedi 5, si entra a Ginevra
- martedi 6 o dopo......elezioni dei vincitore

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