[RP] Plainte pour diffamation

III.3. Diffamation, insultes, coups et blessures.
Tous ces délits sont traités par le Lieutenant de Police, et ses sergents.
Ils instruiront la plainte, recueillerons les preuves et tenteront une médiation entre les parties.
Si celle-ci est acceptée dans un délai de 48 heures, et hors des cas de récidive, il sera mis un terme aux poursuites par sa réalisation.
En cas de désaccord, l'affaire sera jugée par le tribunal cantonal.
Les accusés dans ce cas seront enregistrés comme fauteurs de trouble.


en train de perturber le bon déroulement de l'élection du juge, interpelant les Genevois et menaçant l'ordre public par des interjections qui n'avaient pour but que de jeter le trouble sur les électeurs. Certains ont chanté des chansons paillardes


Tout ceci constituent de la diffamation. Je porte plainte contre Zarathoustra.

C'estions point Zarathoustra, c'estions le procureur qui vous avions incriminé. Son nom estions accessoire pour l'instant, c'estions sa fonction qui estions importante.

Fonction qui assure qu'une telle manœuvre ne pouvions avoir d'effet. Si le Juge a accepté, c'estions durant le procès qu'il faudra vous défendre et prouver l'inanité de l'incrimination.

Un homme en armes se dirigeait vers les geôles. Avant de repartir pour le front il voulait faire une petite visite aux croisés dans les cages pour se rappeller pourquoi il combattait. Comme souvent quand il était de fort belle humeur il chantait, enfin il chantonait, il ne voulait pas gêner le travail des autres.

Le curé de camaret a les couilles qui pendent...

Quand soudain venant d'un bureau il entendit une voix bien connue. Ce n'était pas tellement la voix en fait, c'était le ton qui était inimitable.

Freng Akhilleúsyon a écrit:

Certains ont chanté des chansons paillardes
Tout ceci constituent de la diffamation. Je porte plainte contre Zarathoustra.

Oups pensa t'il, je vais me taire on va encore dire que je diffame. Moi qui pensais m'être battu pour libérer genève des croisés, en fait c'était pour qu'on interdise les chanson paillarde
Puis il se souvint à qui il avait affaire. Il n'allait pas laisser les pisse froid faire la loi à genève. Aussi reprit il un peu plus fort.

ET QUAND IL S'ASSOIT DESSUS, ELLES LUI RENTRENT DANS LE...

AH, le factionaire!

Salvé frère, dis voir t'as des croisés dans les cages? J'ai bien envie d'aller voir les anciens maîtres du monde avant d'aller taper sur la gueule de leurs collègues.

edit admin - je zape l'acherpé

Le Suisse s'appuyait paresseusement sur sa hallebarde plantée dans le sol. Il roupillait à n'en point douter. Enfin, les cliquetis de fer le tirèrent de ses rêveries qui l'emmenaient loin de cette geôle humide. Ça râlait comme d'habitude derrière, demandant à aller au petit coin... comme s'il y en avait un. On était pas à l'hôtel de ville ici. Quoique si, mais ses sous-sols où s'entassaient les prisonniers de droit commun. Le gens d'armes fronça les sourcils en entendant le visiteur, puis sourit en coin, sadique. Sa main se porta sur la première porte dont il entrouvrit le judas pour s'enquérir de la santé de ses locataires.

« Vous préférez un entretien privé avec notre docteur ès lois? » lui demanda-t-il après avoir jaugé que celle-ci était la cellule de Freng. Mais déjà il se portait à une nouvelle porte pour recommencer son manège.

« Ou bien un général sans armée? » persifla le garde-chiourme en découvrant Blue à côté.

« Nous avons aussi un cardinal, monsieur, et un de ses soudards... Je vous passe la catin, vous n'êtes pas de ce genre... »

C'est bien ce que je craignais, ici on ronfle aulieu de travailler.
C'est encore gage du niveau de la justice.

Mes Sieurs bonjour,

dites-moi, accuser un procureur de diffamation, n'est-ce pas similaire à accuser un bourreau de coups et blessures volontaires ?

Dans le genre on pourrait accuser le prêtre qui baptise de tentative de meurtre par noyade... ou encore l'avoyer qui paye les soldes de la garde de dilapider l'argent cantonal...

Donc c'est bien cela, un procureur en civil peut tout se permettre ici.

Car non, il ne dressait pas l'acte d'accusation, il venait seulement pour me diffamer.

Tiens, je dis une chose et vous en tirez une conclusion différente. Étrange.

Dire une chose n'est pas en soi une conclusion.

Mais je m'étonne - façon de parler... - de n'avoir vu encore aucun officier de police faire son office. Faudra-t-il les renvoyer ou les accuser de ne pas faire leur travail?

Mais, vous savez que hier encore j'étais à Sion, non?

Mais il ne s'agit pas de cela aujourd'hui. Ce me semble que c'est alors à vous de vous occuper de ma plainte et de la traiter avec toute la diligence qu'elle mérite.