Les "je", "nous" sont bien placés. Souvent au milieu des jambes.
Les "on" englobent ceux qui ont, de prêt ou de loin eut un rapport avec Genève.
Surtout le "nous", car même si "je" suis le seul à vraiment pardonner, "nous" bénéficions d'un statu quo qui permet à "on" de choisir ceci ou cela.
Je trouve cela assez drôle ces petits dons.
C'est une habitude Genevoise. Vas savoir un jour il postulera pour devenir un membre du Lion...