[RP] L'affaire Léamance

Léamance et son machin ont racketté ma coéquipière cette nuit, alors que le tournoi n'était pas commencé. A n'en pas douter, c'est comme ça qu'ils vont accueillir les jouteurs. Ca fout en l'air le tournoi. Je demande aux conseillers présents de bien vouloir s'exprimer rapidement sur la possibilité de mettre en place une procédure d'urgence, pour mettre les deux petits malins hors d'état de nuire, en taule, pendant la durée du tournoi, via la procure confédérale.

Citation :: Salvé !

Menteur ! j'ai protégé une Dame qui risquait de tomber dans un trou formé par l'effondrement de la mine. Sans moi aussi bien elle serait morte.

http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2166605

On tente de finir de sécuriser les lieux ce jour. Beaucoup de personnes sont arrivées dans la nuit.

Le Très haut vous garde.

Léa

Zarathoustra fit une boulette avec le papier, et l'envoya au loin d'une pichenette.

Léamance a toujours aimé les fessées. Elle les cherche ostensiblement en tendant le croupion comme un évêque maitre de choral avant le Te Deum. Esclandres est un homme faible qui est dominé par sa succube. Je gage d'ailleurs que lorsqu'il a pris l'avoyerie l'an dernier, à ma suite, c'est la bougresse qui lui a soufflé l'idée. Notre Juge-Tenancière-Evêque mérite une attention exemplaire. Le truc, c'est de trouver celle qui la redressera sans lui donner trop de plaisir...

Aller vivre seule 3 mois à Soleure ?C'est peut-être trop cruel...

Hmm, curieuse affaire... il faudrait que l'on entende Léamance en personne. Je propose qu'on éclaircisse ça après le tournoi. En attendant, qu'on considère que mademoiselle Eleonore participe sans payer le prix d'entrée, gracieusement.

Et si Léamance et son vilain préparent un sale coup pour l'arrivée des tournoyeurs, ils auront fort à faire avec la cinquantaine d'équipes qui s'approchent...

Toujours est-il que j'ai bien reçu une lettre dépitée de ma coéquipière ce jour, m'affirmant avoir été rackettée par Léa et Esclandres. Je suis colère. Je vais partir avec 100 écus en espérant leur tomber sur le râble plutôt deux fois qu'une.

Entre 2 coups de marteau, pour remettre en état la mine, un pigeon tout laid, type Lordhammerien, se pose sur un caillou. Ca loupe pas, c'est bien du teuton- que Léa ne comprend pas.

- Ca doit être les Bourbines, qui n'apprécient pas les Joutes Genevoises...ils sont indécrottables, pas Déos.

Citation :: Expéditeur : Le tribunal du Comté
Date d'envoi : 01/02/1462 - 12:00:24
Titre : Sie wurden am Gerichtshof der Provinz angeklagt
In diesem Bescheid wird Ihnen von den Polizeibehörden der Provinz Ihre Anklageschrift mitgeteilt.
Es wird Ihnen folgendes vorgeworfen: Störung des Öffentlichen Friedens.

Heute beginnt der Prozess gegen Sie. Sie werden gebeten, sich innerhalb der nächsten zwei Tage zu Gericht zu begeben. Während der Beweisaufnahme verbleiben Sie in Freiheit.

loquace chez moi : . qualité particulière : .. inscription le : 01/02/2013

courrier a écrit:: 'lut les fiottes !
J'ai cru savoir qu'l'avoyer d'opérette m'avait app'lé l'machin alors qu'je cherchais des ragondins et qu'jen ai trouvé un gros... Allez savoir c'qu'il faisait là deux jours avant l'tournoi... L'aurait pu s'faire brigander... Ou pire ! Attaquer quelqu'un pendant ces deux jours. 'Reus'ment qu'on était là ! En plus avec l'mine qu'est tombée... On a pu protéger Granvilain, Lidia et Cmyrille de ces méfaits.

Sinon dites à l'avoyer qu'j'y pet'rai les dents et qu'je l'virerai d'l'avoyerie sitôt r'venu pour avoir parlé d'moi comme ça. Pis j'y taill'rai les orteils en choux fleur à c'lui qui m'a traité d'vilain, j'ai pas un'gueule d'amour, c'est d'la faute à ma mère, et on parle pas mal d'maman, ça lui apprendra à mal parler d'moi aussi. J'ai un nom.

J'ai r'çu un courrier en bourbine, rien compris, j'croyais qu'le conseil d'Fribernbourg d'vait parler les deux langues...

J'ai envoyé un courrier à mon patron, l'cousin Cendres pour qu'il ouvre un procès cont' Genève pour m'avoir mal parlé, pis un aut' procès cont' l'conseil de Fribernbourg pour m'envoyer un courrier bourbine.

Spoiler:

Non mais scrogneugneu, qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre ?!?
Je vais porter plainte en diffamation !

Alors comme ça, on prétend que les mines s'effondrent !
Des mines helvètes, donc récurées à l'eau claire chaque soir !
Des mines bien tenues, entretenues avec amour et passion !
Des mines soigneusement régulées, pour que nous ayons toujours de quoi les entretenir comme la prunelle de mes yeux !
Des mines surveillées, gérées avec minutie, pour que les mineurs soient toujours en sécurité !
Des mines bichonnées, optimisées, pour toujours donner de bons salaires aux Helvètes !
Des mines productives, améliorées à coup d’ingénierie financière pour toujours fournir l'or permettant de bons quotas aux cantons !

Et ces mines en or massif s'effondreraient subitement ?
Subrepticement ?

Non, en vérité je vous le dis, aucune mine ne s'est effondrée. Il ne peut s'agir que d'une odieuse diffamation contre notre commissaire aux mines, à moins que ce ne soit pire : une exploitation minière clandestine !

Parchemin et belle écriture a écrit:: Très cher cousin,
j'ai bien reçu ton courrier et j'ai bien pris note de tout ce que tu m'as écrit. Mal... J'ai mis du temps à comprendre, il serait temps que tu saches mieux écrire que tu ne parles. Cela aiderait...

Il n'y a pas de tribunal chez les Ambuleurs, mais l'idée me plait, je vais donc en parler à la famille afin que nous transformions le mess du Jardin des Délices en salle de procès. Picoler en condamnant quelqu'un sera du plus bel effet.

Pour la plainte que tu as déposé contre Genève, c'est à dire son avoyer, qui est aussi un membre de notre famille, démerde toi. Je m'en tape le coquillard de comment il t'appelle.

Pour avoir confondu Eleonore. avec un ragondin... Pardonne-moi, mais tu confirmes la pensée que j'ai de toi depuis que feu ma tante a trépassé...

Pour la demande de réparation sur le fait que notre ami le capitaine de la confédération helvétique t'ai traité de "vilain". Il a tout à fait raison, t'es laid comme un pou et tu ressembles à ma bien aimée tante. Rappelle toi, dès qu'un nourrisson la voyait, il pleurait jusqu'à ce qu'elle quitte les lieux.

J'ai lu le courrier de justice. C'est bien du bourbine... C'est une insulte du conseil à notre encontre. J'en prends compte. Je demanderai 9500 écus de dommage est intérêt au conseil pour t'avoir écrit en bourbine. Que veux tu ? Genève a toujours baissé la culotte face au nord,un jour la mousse y poussera, ce sera peut être esthétique.
Profites du fait que celui qui a instruit l'affaire soit précoce, tant que ce procès est en route, tu peux brigander autant que tu veux, puisqu'un juge ne peut instruire deux affaires pour la même raison... Si il parlent d'une autre affaire du même cas dans ce même procès ou qu'ils t'en mettent un autre, tu sauras à qui te plaindre. Quoiqu'il en soit, le second sera caduque. Prends des notes, je ne te le répéterai pas deux fois. Bref...

Pour la fait que ce soit la confédération helvétique et non Genève qui t'ai mis un procès sur le dos, c'est parce que Genève a le bras très long et que leurs coursiers sont très rapides parcourir Fribourg - Rolle en 2 ou 3 heures, tu en conviendras, seuls les français du Domaine Royal étaient capables de telles choses, Genève et la confédération progressent. On ne peut pas leur retirer leur efficacité. Si vice de procédure il y a, à toi de le découvrir. Ce qui est sûr c'est que Genève n'est plus un canton libre, sinon, elle t'aurait mis en procès elle même ou aurait demandé à Kartouche de te réceptionner. Tu ne peux pas reprocher à Genève d'être devenue faible, nous n'y vivons plus pour veiller sur son bon fonctionnement. Tu sais que nous l'avons quitter parce qu'elle n'avait pas le courage d'affronter les malfaiteurs de Solothurn et Fribourg. C'est toi qui a voulu y revenir. Assume.

J'ai appris il y a peu que ta tendre et douce avait nommé notre frère à une fonction religieuse. Je m'en vais de ce pas écrire à Sanctus et Méliandulys afin de les prévenir que la corruption Romaine de la Provence est arrivée dans la réforme et à Genève. Je ne sais si Léamance avait prémédité cela, je te remercie de lui demander et qu'elle m'en instruise dans les plus bref délais. Si cette fâcheuse nomination est encore en place demain lorsque je poserai pied à Genève, je devrai prendre une décision quand à ta douce et notre frère.

Sur cela, je te souhaite une bonne nuit. Embrasse ma cousine et ne m'emmerde plus avec tes conneries à l'avenir...
Ton cousin et patron.
Cendres

Ecoute... secoue la tête...

Et bien franchement, quel foin pour une si petite histoire. Pourquoi un procès ?

Eléonore est assez grande pour proposer une revanche à Léamance et Esclandres. Ca ne regarde pas Genève et encore moins la Confédération. Des baffes, des roulades dans la gadoue, des pinçages de postérieurs, et on en parle plus.

Il y a eu plus grave comme affaire et personne n'a levé ni le majeur ni le petit doigt. Laissons-les se débrouiller, ce sont des grandes personnes.

Je suis absolument contre ce procès.

[édit : rajout d'une phrase]

Quelle affaire plus grave? Il y a toujours plus grave. On a envoyé aux dodo pendant six semaines il y a peu quelques clampins qui avaient brigandé sur le territoire cantonal, je ne vois pas pourquoi, si ce n'est par pur copinage, Léamance devrait bénéficier d'un régime particulier.

Ça n'avait pas traîné. Zarathoustra avait reçu au petit matin un billet de sa coéquipière lui signifiant qu'elle avait été dépouillée bien comme il faut par le couple Léamandres. Sa bile, échauffée par quelques semaines de préparation du tournoi et par d'autres trucs encore, ne fit qu'un tour.

Amer mais pas surpris, il pria le procureur confédéral de dépêcher quelques sbires au nom de Genève pour appréhender les chasseurs de ragondins. Et puis, il diligenta Hartwig, sergent de la Compagnie Républicaine de Sécurité pour assurer le bon déroulement du tournoi et voir un peu ce qu'il en était, et le cas échéant, faire place nette. Là par contre, ça prit un peu de temps. Il fallait d'abord passer la pause syndicale, le déjeuner réglementaire et la pause café. Après quoi, monté sur un courant d'air, le sergent Hartwig se rendit enfin à Rolle.

Léamandres! Esclances! J'ai une lettre pour vous de l'avoyer de Genève. Deux en fait.

Il fit deux petits avions en papier recyclé qu'il envoya, et qui furent portés par une douce brise hivernale.

Citation :: Esclandres,

Tu me passeras le quolibet -ou pas- mais il faut dire que tu t'es effectivement conduit comme un machin, entre les mains de ta donzelle. Me dis pas le contraire, c'est du Léamance tout craché, je la connais bien, elle adore jouer au scorpion et à la grenouille. C'est pas la première fois d'ailleurs, toi même tu te rappelles sans doute quand elle t'est tombée dessus à l'improviste, alors que tu croyais que vous formiez un groupe sympa qui marchait de concert. Tout rouge et ivre de colère, que t'étais. Elle adore ça.

Tout le monde parle pas l'ambuleur, et ne connait pas la signification codée de la chasse au ragondin! Et franchement, si vous étiez pas lié par vos stupides promesses de nonnettes, vous auriez autre chose à foutre en ayant du temps à passer tranquille sur un noeud, que de partir à la chasse au ragondin alors que tout le monde sait que le ragondin, l'hiver, ça reste tapis à l'abri et ça grignote les réserves de l'hiver.

Enfin je suis content que cette histoire t'ait fait sortir de ton mutisme de machin, des siècles que j'avais pas lu ou entendu un mot de toi. J'ai eu vent de tes projets concernant ma dentition. Je suis à ta disposition pour une ordalie champêtre, avec un peu de chance tu me feras sauter quelques caries qui m'indisposent de temps en temps, avec un peu plus de chance et si Deos le veut, je passerai sur toi quelques unes de mes humeurs, et éclaircirai à peu de frais ma bile qui à tendance à se troubler au cœur de l'hiver. Un vrai duel à la genevoise, ça à quand même plus de gueule que d'aller se plaindre au patron ambuleur. Quant à me faire sauter de l'avoyerie, je ne vois pas le rapport.

A bientôt donc,

Zarathoustra

Citation :: Léamance,

Je n'ai rien compris à ton histoire de sauvetage et d'effondrement de mine. Ce que je sais, c'est que ma coéquipière à la bourse vide, qu'elle me dit que c'est de votre fait, enfin surtout du tien, que ça ne m'étonne pas du tout, que ça m'emmerde, comme je te l'ai dit, et que la commissaire aux mines me confirme la bonne santé de celles-ci, et particulièrement de celle de Nyon. Quant à expliquer comment un sauvetage peut se transformer en vidage de bourse en règle, j'ai beau retourner ça dans tous les sens, j'ai beau j'ai beau, je vois pas.

Tu t'attendais à quoi, après ces hauts faits? A ce qu'il pleuve du chocolat suisse? L'Arsitotélité n'est pas assez grande pour que tu viennes brigander justement là où on a installé un terrain de jeu? Les règles te font chier, j'en ai bien conscience, mais elles existent pourtant. D'ailleurs, si elles n'existaient pas, tu ne pourrais pas les enfreindre, et ça te ferait encore plus chier. Tu devrais donc m'en être reconnaissant de vouloir les faire respecter. Pas de règle, pas de contrainte, pas de jeu. Si tu crois que ton statut de juge de garantit l'immunité, tu te mets la sica dans l'oeil. On en fera élire un pour l'occasion, il est évident qu'une même personne ne peut être accusée et juge dans la même affaire. Ça fait partie des règles élémentaires de la justice sur lesquelles tu as l'habitude de t'asseoir, je dis juste ça pour ton instruction. Et inutile de dire que l'accusation n'aura pas de mal à trouver des témoins, vous n'étiez pas seuls sur le noeud. Mais aucun procès n'est véritablement lancé encore, simplement de mesures de prévention prises en accord avec le procureur confédéral au nom de Genève.

Il se trouve que ma coéquipière a recouvré ses cinquante écus indispensables pour le tournoi en jouant aux dés avec des volatiles. Me demande pas comment elle fait. Nous serons d'accord, peut-être pour y voir un signe du Très Haut. Je le connais, Hartwig ne va de toute façon pas vous courir après dans la campagne, il est gros et feignant, la milice genevoise manque d'exercice ces derniers temps. Et si tu as un caractère de cochon, je sais que tu as aussi le jarret vaillant. Aussi, voilà ce que je te propose:

-tu t'abstiens de réitérer, tu nourris Eleonore quasi à l'oeil pendant la durée du tournoi avec ton feu de camp, la grenouille et le scorpion passent ensemble la rivière, et on en reste là.

-tu obéis à tes pulsions primaires, tu tentes ta chance contre la marée de tournoyeurs qui arrive ce soir, le scorpion pique la grenouille et tous deux coulent ensemble. Deos seul sait ce qui arrivera alors.

Zarathoustra

Pour moi, cette affaire reste obscure tant qu'on n'aura pas entendu Léamance.

Sur le fond, je serais assez d'accord avec Léamance. D'autant plus si mademoiselle Eleonore avait été invitée à se joindre à la partie.

Une enquête minutieuse établira tout cela, mais en attendant je propose qu'on se concentre sur la castagne demain et après-demain...

On ne peut pas se prononcer avant d'avoir entendu la victime et les accusés. Pourquoi s'être précipité à lancer un procès alors qu'ils ne vont pas quitter le territoire ? Il nous faut tous les éléments pour prendre la juste décision.

Et les mines helvètes ?
Vous y pensez aux mines helvètes ?

Ne suis-je donc blanchie dans les travaux miniers
Que pour me voir aujourd'hui ainsi diffamée ?

Ces mines, qu'avec respect tout Helvète admire,
Ces mines qui tant de fois résistèrent à l'empire,
Tant de fois affermirent de bons et gros quotas,
On les traîne dans la boue, dans ce gros brouhaha ?

Que nenni ! Pas une mine ne s'est hier effondrée !
Je veille bien sur elles, sur leur solidité !

Non mais quoi, hein, sans blague...

Tenez... en passant, il faudrait miner des pierres et du fer, sinon elles vont d'effondrer pour de bon, ou alors nous devrons les fermer
Allez donc miner à Grandson, Fribourg, Sion ou Soleure svp...

Oui Zara, il y a eu plus grave, et il y aura encore, très sûrement. Et pourtant nous n'avons rien fait. Je ne citerai pas d'exemple car cela nous ferait sortir du sujet.

Là il s'agit d'une genevoise, qui s'implique pour son canton, qui défendait dernièrement encore, et qui est prise parfois de petites pulsions au point de s'impliquer un peu plus qu'il n'est nécessaire, je l'avoue. Mais c'est une femme, c'est donc normal.

Et je crois - j'en suis même certaine - que le fait qu'Eleonore soit ta coéquipière t'a fait agir plus prestement qu'en temps normal. Une pulsion en somme ?

Allons, l'affaire n'est pas bien grave, ils vont se prendre la culotte à canons pendant les joutes et on racontera ça à nos petits enfants en riant lors des veillées au coin de feu.

Citation :: Salvé Zarath,

Ta coéquipière n'est qu'une perfide menteuse, à l'esprit vérolé de mauvaises pensées. Je maintiens que je me suis jetée sur elle, pour éviter qu'elle ne tombe dans un trou. A ce moment là, sa bourse est tombée.

Ses élucubrations ne sont que volonté de me nuire, même si je n'en connais pas la raison. Si elle était droite dans ses chausses, elle porterait plainte, et aurait envoyé la liste des témoins. Car oui en effet, il y'avait des témoins sur place.

Et si vraiment tu soutiens mordicus que j'ai brigandé en territoire Hélvète, alors tu connais la procédure: ordonne la montée d'une armée, puis envoie les à mes trousses. J'ai tellement confiance en la justice de Déos, que je te laisse le temps de le faire, et t'annonce que des soldats auront l'occasion de me cueillir à mon retour de Fribourg.

Cette Eleonore influe négativement sur toi, c'est mal.

Le Très Haut te garde la bile claire,

Léa