[RP] Demande d'inculpation de Dame Libertyy pour diffamation

III.3. Diffamation, insultes, coups et blessures.
Tous ces délits sont traités par le Lieutenant de Police, et ses sergents.
Ils instruiront la plainte, recueillerons les preuves et tenteront une médiation entre les parties.
Si celle-ci est acceptée dans un délai de 48 heures, et hors des cas de récidive, il sera mis un terme aux poursuites par sa réalisation.
En cas de désaccord, l'affaire sera jugée par le tribunal cantonal.
Les accusés dans ce cas seront enregistrés comme fauteurs de trouble.

Ha! les procédures. Quand la procédure de médiation a-t-elle été entamée?

Waldemar qui s'était tout de même rendu dans les locaux de la justice genevoise écouta les dires du juge.

- Bien monsieur le juge je vais suivre votre procédure.

La demande de Messire Waldemar a bien été prise en compte et la médiation mise en route.

Attendons sereinement les résultats.

La méditation commence quand ? Ou bien est-elle en cours ? Quelqu'un est là?

Waldemar se demandait pourquoi la justice genevoise était si lente...

Un vieil homme entra dans la salle d'audience. Il se nommait Gutemberg.
Après avoir posé sa canne, il s'assit et sortit de sa poche un cornet, le plaça sur son oreille pour mieux entendre les débats.
Lorsqu'il jugea le moment opportun, il se leva et prit la parole en s'adressant au juge.

Votre honneur
Il parait qu'on me cherche pour que je témoigne dans ce procès...
Mais témoigner de quoi ? J'étais au moment des faits sous une table de la taverne "Trafalgar" en compagnie de dame Véro.
Je n'ai donc rien vu.
De plus, avec la surdité qui me frappe, due à mon âge avancé, et la table qui faisait écran je n'ai rien entendu.
Je suis au regret de ne pouvoir vous aider sur cette affaire.

Une fois finie sa déclaration Gutemberg retourna s'assoir parmi le public.

A moins que dame Vero n'ait l’ouïe plus fine, il n'y a aucun témoin.


Tous ces délits sont traités par le Lieutenant de Police, et ses sergents.
Ils instruiront la plainte, recueillerons les preuves et tenteront une médiation entre les parties.
Si celle-ci est acceptée dans un délai de 48 heures, et hors des cas de récidive, il sera mis un terme aux poursuites par sa réalisation.


C'est donc au lieutenant et à ses sergents de s'occuper de la médiation...

Monsieur le Procureur, vous n'avez donc aucun élément permettant d'ouvrir un procès pour le moment.

Cependant, je voudrais savoir si la médiation a commencé.

vous êtes partial , Freng !
C'est votre compagne si je me trompe pas.

Je demande de restituer Freng de cette affaire !

Se récuser. Ou se démettre.

... ce sont des mots compliqués, mais je pense que l'idée est là : on ne peut pas être juge impartial de ceux qu'on aime beaucoup, ou qu'on haït beaucoup.

Je souris à Gaïa.

Enfin, quelque chose comme cela.

Sans vouloir me prononcer au fond sur cette affaire, parce que cela m'embête beaucoup que pareille affaire ne soit pas réglée par conciliation, parce qu'un jugement n'arrange jamais une dispute.

Et comme on ne peut plus les mettre tous les deux dans une armoire jusqu'à ce qu'ils ressortent réconciliés ... euh ... enfin, je n'en suis pas sûr ...

Bref ... c'est toujours mieux que les gens arrangent eux-même leurs disputes sans encombrer les prétoires avec cela. Et de tout faire pour en tous cas.

Donc ... pour en revenir à ce que Gaïa disait ... voilà ...

... je pense que Gaïa a raison, Freng : ceux qui aiment Lib ne peuvent pas la juger. Toi, son compagnon, moi, son frère, Jeanne, Adèle et Blanche nos soeurs, Jean-Jacques et Gertrude certainement aussi. Et d'autres sans doute. Et ceux qui pourraient la haïr intimement non plus. Idem pour ceux qui seraient proches de Waldemar ou ses farouches ennemis.

Donc ... il va falloir un autre juge peut-être.

Qu'en penses-tu ?

Et si on fait le fayot en disant que c'est bien? on a le droit de prendre les prisonniers pour son usage personnel?

Appel? pas d'appel possible puisqu'il n'y a pas eu de procès.