[RP] consulat de Fribourg

Un petit pigeon arriva tout essouflé à Genève.. Il avait pas l'habitude de se rendre dans ces lieux et s'était quelques peu perdu en chemin, prennant ainsi pas mal de retard.

De plus il était dans un état de stress intense, une rumeur circulait chez les pigeons qu'il valait mieux éviter Genève... Paraîtrait que beaucoup ne sont jamais revenu de leur visite dans cette ville.

Bref il déposa son message et s'écroula de fatigue:

Citation :

Cher Genevois,
Fribourg, afin de confirmer son lien avec les villes souveraines de Genève et Grandson, et faire vivre notre serment, cherche un genevois qui remplirai la fonction de Consul de Fribourg à Genève :

Sa charge consistera en :
à défendre au mieux les intérêts du Canton de Fribourg, à Genève,
à tenir le Conseil de Fribourg au courant des affaires en halle de Genève,
à tenir le Consulat de Fribourg à Genève, et y accueillir au mieux les fribourgeois de passage à Genève,
à informer ceux-ci de ce qu'il faut faire et ne pas faire, en le Canton de Genève,
Enfin, à faire vivre le Serment des Trois Vallées, et œuvrer pour rappeler l'amitié perpétuelle entre nos trois communautés.

Je remercie d’avance la ville de Genève de recueillir les candidatures afin de présenter un candidat à ce poste à la ville de Fribourg.

Amicalement
Prongs
Avoyère de Fribourg

Hum Hum
Genor était un peu impressionnée de faire son entrée dans l'auguste assemblée de Genève. Elle vérifia sa coiffure, s'essaya à sourire, se rappela l'accueil chaleureux de Messire Izaac, respira un grand coup puis franchit le parvis de la Mairie. Elle avisa l'huissier
- Hola, jeune homme veux-tu annoncer Dame Genor, Avoyère adjointe de Fribourg en mission d'ambassade de Fribourg à Genève et consul de Genève à Fribourg. je viens apporter les salutations de Dame Prongs, notre Avoyère.

Dame Prongs, mes respects. Je pense que dans six mois notre avoyer viendra sans doute vous accueillir.

Je me nomme Don Traviatore, actuel conseiller et en procès pour défaut de grande gueule. Bienvenue dans le modèle démocratique helvète.

Citation :

Décret de nomination du Consul de Fribourg à Genève

Moi, Prongs, avoyère du canton souverain de Fribourg, en vertu du Serment des Trois Vallées, et au nom du Conseil Cantonal de Fribourg,

Nomme Messire Nicbur Consul de Fribourg à Genève,
Lui confie la mission de défendre les intérêts de Fribourg à Genève,
Lui confie la mission de tenir informé le Conseil Cantonal de Fribourg des affaires genevoise,
Lui confie la mission d'accueil des citoyens fribourgeois en voyage à Genève,
Nomme dès ce jour Messire Nicbur au Conseil Cantonal de Fribourg,
Attribue à Messire Nicbur la citoyenneté fribourgeoise,

L'avoirie de Fribourg félicite Messire Nicbur pour sa nomination, et lui souhaite bienvenue et réussite dans ses attributions.

Fait à Fribourg, le 2ème jour du mois de février, de l'an de grâce 1457
Prongs, avoyère

Mélian arriva en retard certes et s'en voulait, mais s'il avait su que le bouffon cantonal se serait chargé de l'accueil... Il s'inclina bassement devant les deux hôtes de marque.

Dame Prongs, dame Genor, un plaisir et un honneur de vous recevoir à Genève. Je vous présente à nouveau humblement mes plus plates excuses. Nous connaissons quelques soucis avec nos serrures et cherchons à y remédier rapidement.

Hum...je vois que vous avez fait la connaissance de messire Traviatore, vous apprendrez très certainement à le connaitre plus amplement. Il gesticule beaucoup, parle beaucoup, mais n'est tout compte fait pas bien méchant...

[HRP: pour votre inscription au forum, on ne sait pas quoi faire de plus ]

Un pigeon se pose sur le bureau du Tribun. Un crieur habitué à de telles méthodes s'en vient lire le message.

Citation :

Genevois, genevoise

L'Avoyerie de Fribourg, Dame Prongs son Avoyere et tous nos concitoyens s'associent à moi pour féliciter Dame Tatoumi pour son élection à la tête de la Mairie de Geneve.

Nous esperons que la collaboration entre nos deux villes sera fructueuse et pourra porter haut les couleurs de la Confédération.

Au plaisir de venir visiter votre bonne ville.

Nicolas de Cues, pour l'Avoyerie de Fribourg.

(hrp: Mille excuses. Manifestement, il y a eu un bug, parce que le voyant de "nouveau message" n'est allumé que depuis ce soir.)

Elle avait songé un moment à faire parvenir son pli par pigeon, puis se ravisant, avait décidé de le porter en personne. Si cela n'apportait rien de plus à la teneur de son courrier, cela permettrait de se présenter autrement qu'à travers les quelques lignes qu'elle avait échangé il y a quelque temps avec l'avoyère en fonction. Emmitouflée dans sa lourde cape, ses yeux rieurs seuls étaient visible et c'est d'une voix légèrement étouffée par les couches de tissus qu'elle s'adressa à l'accueil :

Le bonjour. Pourrait-on annoncer l'arrivée de l'avoyère de Fribourg et remettre ce pli à dame RGMax ? Je vous en remercie par avance.

Citation :

Par la présente, nous, Cleophee, avoyère pour Fribourg, remercions sincèrement la ville de Genève pour son geste envers l’armée cantonal ACF.
Bien que pas toujours en accord avec les décisions et les actes de sa sœur Genève, Fribourg ne lui en est pas moins reconnaissante et lui réitère sa proposition d’aide à la mesure de ses possibilités, tant économique que politique.

Fait à Fribourg
Le quatrième jour du premier mois de l’an 1458

Cleophee,
Avoyère pour Fribourg.

Puis desserrant quelque peu sa cape, elle laissa glisser son capuchon et observa autour d'elle pour patienter.

Le regard posté sur les rempart colossale de Genève, elle était enfin arrivée a destination. Elle avait reçu plusieurs jours, et plusieurs heures auparavant une lettres de l'Avoyer de Genève, qui était assez craintif. Le regarde porté, sur deux silhouette au grande portes de la ville. L'avancée de ses pas, lui faisait un mal de chiens. Elle était venu avec la chariolles et ses enfants qui ne pouvaient être gardé par faute de personnes, elle pénétra enfin dans l'enceinte de ces immense mur. Puis par un geste instinctif, elle regarda dans tous les coins de la villes cherchant une infime petite parcelle connue, point de succès. Elle s'avertit, quel allais ne pas reconnaitre Genève, mais de la à ne pus reconnaitre....

Le regarde portais sur un enfants, et un vieillard qui faisait glissé sa jambes derrière lui peut être un ancien combattant de guerre. Puis une bonne femmes, qui parcourait la ville avec un panier de marché.

Elieanor était vêtu quant a elle, avec une cape tous autour d'elle. des pantalon à mis tibia. Et d'une pull qui avait était tricoter par une tisserande Fribourgeois suite a son élection. Puis, vient le tour des garde autour de l'avoyerie. Petit comme des nains de jardin, décidément...... L'air robuste, et taillé comme de la marbre. Elle était vraiment étonné, et regarda les gardes un par un.

"Halte qui va la?!"

Elieanor qui avait oubliée de se dévêtir avant de s'annoncé, pris ses enfants dans ses bras. et pris son sac de passage, le coeur lourd. Elle ne savait pas très bien ce qu'elle faisait ici, mais elle le devais pour les deux peuples fraternelles.

"Je suis Elieanor de Marigny,dict"Lyli" Avoyer de Fribourg. Faite moi annoncé a mon homologue l'Avoyer Meliandulys."

Mélian, semblait se décrisper un peu et affichait à présent un sourire digne d'un jeune éphèbe prêt à passer à la casserole. Un sourire indéfinissable à dire vrai.

Et bien ma dame de Marigny, évitons de nous perdre dans une bienséance étouffante et dans des courbettes à n'en plus finir. Nous sommes frères helvetes après tout. Appelez moi donc Mélian, tout simplement.

Ouvrant grand un bras pour indiquer la direction et encourager son hôte à se mettre en marche.

Si vus voulez bien vous donnez la peine d'entrer, nous serons plus à notre aise dans mon bureau.
C'est tout droit. Suivez donc le couloir sombre qui se dresse devant vous. Il est plus accueillant qu'il n'en à l'air...

Horrible pensée venant de rattraper son éphémère bonne humeur... foutu chienlit qui poussait dans son bureau comme du chiendent sur un tas de fumier. Fallait l'éviter à tout prix. Alors qu'ils s'étaient déjà mis en route, Mélian toussota pour attirer l'attention de la fribourgeoise.

Excusez moi, mais je viens de penser que mon bureau n'est peut être pas le lieu le plus adéquate pour une entrevue en toute quiétude, parce que... euh... un grand moment de solitude... parce qu'il y a quelques menus travaux en cours. Suivez moi, nous allons trouver une pièce plus au calme où nous pourrons disserter plus à notre aise.

Il l'avait alors mené dans un des petits salons adjacent à la chancellerie. Une petite pièce baignée de soleil, guere plus meublée que par quelques anciens fauteuils confortable. Cette même pièce ou le vieil Izaac se plaisait à déguster un p'tit armagnac ou une absinthe comtoise les soir d'hivers au coin du feu. L'avoyer genevois laissa son hôte entrer la premiére et s'installer...

Combourgeois, combourgeoises, je propose de nommer monsieur Atomlik, consul des genevois à Fribourg où il vient de s'installer. Comme ça, c'est lui qui se fera enguirlander par Cromwell quand notre armée arrivera là-bas et qu'il n'y aura pas de petits fours ni de boissons fraiches. En outre, ce consulat lui ouvrirait ici les portes des huis clos.

Bien sur !

Pas de soucis

il en faut..........

pour.

S.