Vous souhaitez faire partie du Consistoire des Bourgeois de la République

Il était là encore tard le soir à lire les courriers du jour. Il y avait aussi des quotas à voir et que dire des échanges commerciaux?! Dans tout les cas ça parlait de poissons... Côté truite y'avait pas à dire Genève avait la quote! De beaux poissons... Gras, de belles moustaches ornant une bouche avide de vers... Savez des poissons parfait à la consommation et à l'exportation pas comme l'ombre-Chevalier! Ah nah cette espace était bonne que carapaçonné et se tenait à fond du Lac Leman... La pêché était vraiment d'une inutilité vallait mieux la laissé là quant à penser en manger? C'était qu'un plan à vous en briser une dent!

Néanmoins entre paperasse et autres divertissements tel un cordial aux effluves d'amandes, il demeurait que des gens aussi trouvaient le chemin du bureau de l'Avoyer. Certaine entrait par les fenêtres et d'autres par la porte... Quel lieu de divertissement après-tout. C'était aussi le lieu de belles surprises comme quand John releva la tête en entendant Camy parler non loin... La toile de fond que représentait le couloir était un beau tableau car en son centre se dessinait Maripo! Haussement de sourcils intérogé de l'Avoyer... Il aurait quelques questions à poser...[/i]

Marie Paz! Entrez donc... Je vous laisse le choix entre fauteuil ou divan mais pour ce soir, je n'ai qu'un cordial sous la main, nous devrons faire avec!

L'Avoyer tira le tiroir et en sortie un verre qu'il remplit en le poussant en direction de la Miss.

Que puis-je donc?

La lumière se fit enfin en ce sombre dédale! Et un edelweiss vint illuminer le visage paumé.
La brune portant enclume conduisit alors la blonde égarée jusqu’à la porte espérée.

Un amical Merci Caméliane s’échappa des lèvres sincères alors que les yeux curieux découvraient déjà, posté en son siège, le recherché.

John!

Poussant davantage la porte entrouverte, Mariposa découvre un avoyer à l’accueil cordial. Et s’approchant du bureau, elle accepte volontiers la boisson aux amandes, profitant des subtiles parfums avant de s’en satisfaire le gosier. Puis, elle s’installe dans le grand fauteuil.

Attrapant la question Que puis-je donc? au moment même où son derrière trouvait coussin confortable, l’helvète se contenta de sourire bêtement. Appréciant ce moelleux moment un court instant, trop peu habituée à ce confort déconcertant.

…


J’euhm…
Pourquoi était-elle donc là déjà?! C'était pourtant simple.

J'suis ici pour faire partie du consistoire des bourgeois de not' belle cité!

Je me dirigeai vers le bureau de l'avoyer, je souhaitais lui faire part d'une décision qui était murement réfléchit et j'espérais qu'il ne me tiendrait pas rigueur ou jugement pour ce que j'allais lui demander.

- Bonjour John ! Il me faudrait vous exposer une .. euhh deux demandes en fait. Auriez-vous quelques brefs instants à m'accorder ?

Je pris place devant lui, demeurant debout, les mains jointes sous ma poitrine et l'observai un instant.

- John, vous savez à quel point je me suis attaché à cette République. Aujourd'hui, j'aime tout autant Genève mais je ne me sens plus tant à mon aise d'être citoyenne, milicienne et bourgeoise. J'ai un peu l'impression au fil du temps que je perds de ma liberté chaque jour.

- Ainsi, sans pour autant renier toutes les valeurs qui m'attachent à Genève, sans oublier tout ce que vous m'avez apporté comme soutien, j'aimerais mon retrait du consistoire bouregois ainsi que celle pour ma citoyenneté. Je suis consciente qu'une fois cette citoyenneté retirée, je ne pourrai plus jamais l'a demander.

Sans compter que l'on peut être citoyen Genevois sans pour autant faire partie du conseil.

Je l'observai s'adosser un instant, il avait toujours été pour moi de bon conseil, je ne pouvais le nier. Ainsi donc, je l'écoutai attentivement puis acquiesai d'un petit geste discret de la tête.

- Je vous remercie pour votre compréhension et la patience que vous user à mon égard !

Je m'éclipsai doucement, non pas pour fuir mais davantage pour prendre un temps de répit spirituel, le temps de faire un peu de tri dans mon esprit. En sortant, je crosai Léo qui sembla avoir entendu ma conversation. Je lui adressai un sourire.

- Vous avez entièrement raison, je crois que le mieux soit que je prenne un petit moment pour mieux me situer, il n'est jamais bon d'agir sur un coup de tête.

Je quittai ensuite l'endroit, n'ayant pas bien intention d'aller loin .. juste le temps de faire le point, le temps de démêler tout cela, en espérant que l'on ne me tiendrait pas trop rigueur ou jugement pour ceci.

Félicitations pour cette élection!


Du coup, je souhaiterais aussi continuer à être dans le conseil.

Félicitations Max.
Tu as ma démission ... Rien à voir avec toi.

Bonne chance.

Toutes mes félicitations Rg !

Si tu le veux bien, je souhaite continuer à faire partie du Conseil des Combourgeois.

merci à tous, je prends note
et au plaisir de revoir ceux qui partent pour d'autres horizons

Citation :

Le vingt et un de ce mois d'avril de notre an 1460, de Autun - actuellement sur les chemins

Rgmax,

par la présente, je souhaiterais d'abord vous porter mes félicitations pour le mandat d'avoyère qui s'entame et j'aimerais aussi vous faire part de mon souhait à quitter le conseil des bourgeois ainsi que la milice Catonale. J'ai donc acheminé une missive au lieutenant général également pour l'aviser de ma démission de la milice cantonale.

Le motif est simple, je me trouve actuellement sur les routes avec mon compagnon et nous souhaitons trouver un endroit pour nous établir autre part, un déménagement est donc envisagé.

En vous espérant un bon mandat, mes respects,
Eireen

merci Précye, contente de retravailler avec toi

pour vous Eireen, et bien que les vents vous soient favorables pour votre vie future avec votre compagnon

Féliciations Dame Rgmax.

Je profite de l'occasion qui m'est donné pour vous avertir que nous n'avons plus de greffier au tribunal et que la situation est urgente, car d'après M. le Juge, si nous ne trouvons pas de greffier avant le 23, c'est ma personne qui devrait établir les convocations.

D'autre part, j'aimerais bien que le Juge temporaire puisse se rendre en salle d'audience dans le procès opposant Dame Eireen au sieur Antoine.

Merci.

Bien à vous.

Garwin.

Citation :

De Chinon en Touraine,

Dame avoyère,

De loin, certes. Je souhaite poursuivre mon travail de bon bourgeois genevois.
Je souhaiterais que le consistoire reste ouvert à mes pigeons.

A Genève,

I.