Le temps maussade n'avait pas freiné Guilhem, il avait la volonté depuis toujours de rapprocher les deux villes, aujourd'hui son sentiment vis à vis de Genève était pris entre les feux de son âme, lui criant de leur faire confiance et les feux des Savoyards, l'insultant de faire tant confiance à ces personnes.
Un regard levé vers le ciel, un soupir et il s'approche de l'avoyerie, ses bottes toujours sales, il descend lentement de son cheval et se frotte les mains. Puis doucement, les yeux un peu perdus dans ses réflexions il l'attache prestement.
Se tournant vers la porte il s'en approche et se présente à.. L'accueil chaleureux :
Le bonjorn, je suis Guilhem Capeblanche, invité plus ou moins par le Consistoire si j'ai bien compris.