Ultimatum Périgord - avril 1459 - vote clos

Citation :: A ceux qui liront ces lettres, salutations ~~en Deos et Ses prophètes~~ aristotéliciennes. (modifié par Notwen)

De Leprieure, avoyer (ce qui correspond à la fois à maire et duc, en le Royaume de France) de Genève, et de son consistoire d’honnêtes bourgeois de la ville, aux autorités régnantes et légitimes du Périgord-Angoumois.

Qu’il soit su et connu par tous que nous sommes tout émerveillés et scandalisés des troupes battant bannière périgourdine, les armées armées « Memento Domine famulorum » commandée par le capitaine Namaycush, et « La Dona » commandée par le capitaine Leyah.

Que ces armées sont soldées par Rome pour conquérir Genève et la Confédération et qu’elles y commettent moult actes très damnables, insufférables et pitoyables sur nos terres et nos gens qui sont à grand dol : forcement de filles, veuves et dames ; pillages ; bandes armées faisant carnavals, charivaris et autres chausses trappes répandant terreurs es rues de la ville et brigandage es campagnes ; absence d’hygiène corporelle ; vaines prétentions nobiliaires insupportable au peuple helvète et autres fautes de goût dans les vêtures ; tentative d’installer nouveaux mont-de-piété en notre pays.

Que Périgord nous était connu comme terre bonne et belle, de monts, pechs et vaux riants ; de bons peuples aristotéliciens et fermes au travail ; aux produits de la terre, de l’art et des arts qui font envie et admiration de toute l’Aristotélicité.

Que nous sommes bien marris de ce scandale des troupes qui maraudent en nos terres sous sa bannière et fermement décidé à faire stopper et rhabiller un tel abus.

Que pour ce faire, nous proclamons ici solennel et puissant ultimatum aux dirigeants de ce beau duché : que si les couleurs périgourdines ornent encore les susdites armées (hrp : agrément ducal) ce (jour) le (date) d’avril 1459, nous proclamerons guerre ouverte entre Genève et Périgord.

Que si ce triste événement doit arriver, qu’il soit alors su et proclamé qu’il est de vos faits et votre faute, nonchalance coupable ou méchanceté reposant sur fallaces et tromperies, et que notre cité en tirera vengeance exemplaire et mémorable.
Affronter un duché ne nous fait pas peur, pas davantage que le temps ou les espaces qui séparent nos États. Nul n'ignore ce qu’il advint des Béarnais qui méprisèrent nos avertissements ! Ni des Savoyards !
Deux guerres advinrent, deux guerres longues et douloureuses, à l'issue desquelles Genève obtint satisfaction de ses justes et légitimes demandes.

Qu’il soit alors su et proclamé que, de votre acte belliqueux, notre cité tirera vengeance exemplaire et mémorable.
Que nos soldats sont mobilisés et équipés depuis 3 mois, ils sont prêts à poursuivre l'action 3 mois ou 6 mois de plus.

Que si Genève est aristotélicienne et bonne fille assez, elle n’est pas putain à se laisser trousser ni si tendre qu’elle ne se laisse morguer.
Que son fer tranchera les chairs, que son feu ardera villes et chaumines, que les biens seront pillés, qu’arbres fruitiers seront arrachés, vignes ravagées, et truffes confisquées ; et ce, par compagnies en lance, artillerie à poudre et à trébuchets, bandes soldées, malédictions solennelles et toutes les forces que nous y pourront porter.

Genève ne le souhaite pas. Mais à l’heure-même du combat final qui s’annonce sous l’aile de l’Ange des batailles, elle doit savoir qui compter au rang des honnêtes neutres, qu’elle respecte et salue, et à celui de ses ennemis, sur qui le châtiment des péchés et offenses va s’abattre.

Aussi nous incitons-vous une toute dernière fois, très aristotéliciennement et de la manière la plus claire, à reprendre vos étendards au plus tôt.
Nous ne jugeons pas le Périgord à ce que font certains Périgourdins. Mais nous ne saurons accepter plus longtemps l’état de fait actuel.

Que le Très-Haut, Juge de toutes nos actions, vous guide sur le chemin de l’amitié aristotélicienne.

Depuis Genève, le .........

Je vous laisse voter, ultimatum repoussé au 7 avril, histoire qu'on ai le temps de voter, de publier et eux quelques jours pour y réfléchir.

Attention !

La formule liminaire : salutations en Deos et Ses prophètes
donne tout de suite une connotation très "réformée" à la missive. C'est pour cela que je l'avais remplacée par "salutations aristotéliciennes".

Il me semble que nous avons tout intérêt à avoir l'air plus orthodoxe que réformé. Cette formule est la première ligne, elle donne la première impression au lecteur, elle est donc essentielle.

Je ne peux pas voter pour ce texte en l'état.

D'accord avec Not, sinon, on va encore avoir le droit à la "République Réformée" !

loquace chez moi : Fribourg inscription le : 03/08/2009

Les salutations aristoteliciennes comprennent les deux cultes, à mon avis.
Nous sommes des aristoteliciens aussi , nous les réformés.
Donc, il n'y a rien de grave ou de discréditants contre nous. C'est bon ainsi, je pense.

Bon, alors comme le temps presse et que la modification semble bien acceptée, je modifie le texte dans le premier post.

Et sous cette forme, je vote pour !

Ca me convient. On leur piquera vraiment leurs truffes ??? Elle sourit, la mine gourmande.

Spoiler:

Pour.

loquace chez moi : Fribourg inscription le : 03/08/2009

Lève la main toute propre, car elle vient de prendre un bain dans la Sarine, et oui, la poussière pendant les missions, ça salit on dirait !

Pou-hour ! Dafür !

Spoiler:

Spoiler:

pour

la moitié du travail est fait.

Pour.

izaac a écrit:: la moitié du travail est fait.

Oui, du coup on doit remanier le texte

Pour :

même si j'aurais supprimé toute référence à la Religion. C'est d'un Canton souverain à un Duché que les choses se passent et ce sont eux qui en font affaire de religion.

(petite faute de frappe corrigée un "se" en place d'un "ce")

loquace chez moi : Fribourg inscription le : 03/08/2009

Vrai,c est une idée, puisque toute la CH n 'est pas sous un concordat (ah si,Sion je crois).

Réponse donnée de ce que je sais. Voir la suite à présent.

Arrive en retard comme d'habitude...

S'il n'est pas trop tard, je vote pour.

Bon, texte adopté et voté, peut on me refaire un texte correct avec toutes les modifs ? Comme ça j'affiche dès ce soir et on tranmets à Kartouche.

D'avance merci.

loquace chez moi : Fribourg inscription le : 03/08/2009

moui, et aussi à Berne.. sinon ils vont râler ^^

Heu, puisque si j'ai tout compris, les deux armées sont toujours là avec leur bannière, y'a pas grand chose à changer...
J'ai juste rajouté (en gras dans le paragraphe de l'ultimatum, à riper dans le final) qu'il s'agissait bien sûr de les avoir chez nous, peuvent les mettre ailleurs s'ils le veulent !

Citation :: A ceux qui liront ces lettres, salutations aristotéliciennes.

De Leprieure, avoyer (ce qui correspond à la fois à maire et duc, en le Royaume de France) de Genève, et de son consistoire d’honnêtes bourgeois de la ville, aux autorités régnantes et légitimes du Périgord-Angoumois.

Qu’il soit su et connu par tous que nous sommes tout émerveillés et scandalisés des troupes battant bannière périgourdine, les armées « Memento Domine famulorum » commandée par le capitaine Namaycush, et « La Dona » commandée par le capitaine Leyah.

Que ces armées sont soldées par Rome pour conquérir Genève et la Confédération et qu’elles y commettent moult actes très damnables, insufférables et pitoyables sur nos terres et nos gens qui sont à grand dol : forcement de filles, veuves et dames ; pillages ; bandes armées faisant carnavals, charivaris et autres chausses trappes répandant terreurs es rues de la ville et brigandage es campagnes ; absence d’hygiène corporelle ; vaines prétentions nobiliaires insupportable au peuple helvète et autres fautes de goût dans les vêtures ; tentative d’installer nouveaux mont-de-piété en notre pays.

Que Périgord nous était connu comme terre bonne et belle, de monts, pechs et vaux riants ; de bons peuples aristotéliciens et fermes au travail ; aux produits de la terre, de l’art et des arts qui font envie et admiration de toute l’Aristotélicité.

Que nous sommes bien marris de ce scandale des troupes qui maraudent en nos terres sous sa bannière et fermement décidé à faire stopper et rhabiller un tel abus.

Que pour ce faire, nous proclamons ici solennel et puissant ultimatum aux dirigeants de ce beau duché : que si les couleurs périgourdines ornent encore les susdites armées (hrp : agrément ducal) ce jeudi le 7 d’avril 1459 en nos terres, nous proclamerons guerre ouverte entre Genève et Périgord.

Que si ce triste événement doit arriver, qu’il soit alors su et proclamé qu’il est de vos faits et faute, nonchalance coupable ou méchanceté reposant sur fallaces et tromperies, et que notre cité en tirera vengeance exemplaire et mémorable.
Affronter un duché ne nous fait pas peur, pas davantage que le temps ou les espaces qui séparent nos États. Nul n'ignore ce qu’il advint des Béarnais qui méprisèrent nos avertissements ! Ni des Savoyards !
Deux guerres advinrent, deux guerres longues et douloureuses, à l'issue desquelles Genève obtint satisfaction de ses justes et légitimes demandes.

Qu’il soit alors su et proclamé que, de cet acte belliqueux qui perdure, notre cité tirera vengeance exemplaire et mémorable.
Que nos soldats sont mobilisés et équipés depuis 3 mois, ils sont prêts à poursuivre l'action 3 mois ou 6 mois de plus.

Que si Genève est aristotélicienne et bonne fille assez, elle n’est pas putain à se laisser trousser ni si tendre qu’elle ne se laisse morguer.
Que son fer tranchera les chairs, que son feu ardera villes et chaumines, que les biens seront pillés, qu’arbres fruitiers seront arrachés, vignes ravagées, et truffes confisquées ; et ce, par compagnies en lance, artillerie à poudre et à trébuchets, bandes soldées, malédictions solennelles et toutes les forces que nous y pourront porter.

Genève ne le souhaite pas. Mais à l’heure-même du combat final qui s’annonce sous l’aile de l’Ange des batailles, elle doit savoir qui compter au rang des honnêtes neutres, qu’elle respecte et salue, et à celui de ses ennemis, sur qui le châtiment des péchés et offenses va s’abattre.

Aussi nous incitons-vous une toute dernière fois, très aristotéliciennement et de la manière la plus claire, à reprendre vos étendards au plus tôt.
Nous ne jugeons pas le Périgord à ce que font certains Périgourdins. Mais nous ne saurons accepter plus longtemps l’état de fait actuel.

Que le Très-Haut, Juge de toutes nos actions, vous guide sur le chemin de l’amitié aristotélicienne.

Depuis Genève, le 5 Avril de l'an de grâce 1459

édité et ulmtimatum posé pour le 7 avril, posté sur la halle et à Berne.

» Vote sur les grilles de salaire [vote clos, grille abrogée]
» vote des amendements à la charte de la compagnie du Léman [vote clos]
» Vote de la Charte du Tribunal cantonal [vote clos]
» Amendement de la loi sur le contumace [VOTE CLOS]
» De la préstation du serment [vote clos]